Yoann FOULON, Ambassadeur TRANGOWORLD nous partage son expérience grimpe au Gran paradiso et Valle dell’orco
Informations sur des Vacances Italiennes au Gran paradiso et Valle dell’orco
Date du séjour
19/08/12 – 26/08/12
Lieu
Italie/Alpes/
Grand paradis (Valsavarenche, Pont) 5h30 de voiture depuis Montpellier (576km)
Val del Orco ( Ceresole Reale) 6h30 de voiture depuis Montpellier (609km)
Participants
Jade Berthelot & Yoann Foulon
- Activités principales
- Voie normale du Grand Paradis (4067m)
Difficulté : PD-
Dénivelé, de Pont au refuge Victor Emmanuel II: 790m ; du refuge au sommet du Grand paradis: 1317m
Engagement : II
Qualité de l’équipement en place : P2 (partiellement équipé)
Escalade dans le Val d’Orco
Rocher : granit
Style principal: fissure, dalle, vertical
Equipement : Très peu de voies équipées
Matériel nécessaire : 2 jeux de friends minimum, câblés, strap, sangle et tout le matériel classique d’escalade.
Où dormir en Italie ?
- Pour la Voie normale du Grand Paradis :
Camping de Pont, confortable
Refuge Victor Emanuel II
Bivouac en amont du refuge
- Escalade dans le val d’orco (autour de Ceresol Reale)
Camping « La Peschera » situé en aval de Ceresol Reale, sous le secteur du sergent.
Ou plusieurs hôtels possibles
Où se restaurer / Où s’approvisionner ?
- Voie normale du Grand Paradis:
Au village de Pont, épicerie et restaurant à proximité du camping
- Escalade dans le Val d’Orco (autour de Ceresol Reale)
Epicerie à Prese et à Ceresole Reale
Restaurant : lien.
Quoi d’autre dans le coin
Beaucoup de randonnées. Il existe un nombre important de lac (rando, pêche).
La maison du parc du grand paradis à Céresole Reale.
Pour organiser un voyage en Italie, rendez-vous sur cet article.
Bibliographie
Carte détaillée : IGC 101 : Gran Paradiso La Griola Cogne
IGC 102 : Valsavarenche Val di Rhême Valgrisenche
Topo escalade : Valle dell’Orco – From trad to sports climbing, de Maurizio Oviglia
Lien internet
– Camp to Camp
– Big Chiken poulailler
– PNGP
Vacances Italiennes grimpe et alpinisme au Gran Paradiso et Valle dell’orco
Idée de départ: Gran paradiso et Valle dell’orco
Suite à l’ascension du Pic de Bure avec Florian Desjouis je retrouve Jade en balade dans les forêts du Dévoluy et nous partons pour l’Italie. Deux objectifs sont préalablement fixés : Atteindre le sommet du Grand paradis (4067m) et aller jouer dans les fissures granitiques du Val d’Orco.
Les quelques heures de route se font vite oublier lorsqu’on commence à monter la longue vallée de Valsavarenche, les étages de végétations se succèdent jusqu’au niveau sub-alpin où les grands sommets montrent la pointe de leur cime. Le Grand Paradis se situe dans le parc national du Gran Paradiso. Bien que d’autres sommets nous paraissent imposants (Ciarforon, La Grivola…) le Grand Paradis domine largement tout le massif. Nous arrivons en bout de route, au village de Pont. Ce sera le point de départ de notre course.
Le village se termine par un camping ou nous passerons la nuit. Le temps nous semble quelque peu instable. Une visite à l’office de tourisme nous informe d’un créneau de beau temps les trois jours à venir:
« c’est parfait, on peut partir demain matin ».
En cette saison le lieu est très fréquenté, et nous décidons de faire l’ascension sans passer par le refuge Victor Emmanuel II probablement surpeuplé en ronfleurs, nous passerons donc une nuit sur les zones de bivouac situées 200m plus haut que le refuge.
Le camping situé dans les prairies de cette haute vallée est grandement agréable et il est facile de succomber à la tentation d’une sieste dans l’herbe. Cependant, vue notre arrivée tardive au camping, nous ne traînons pas à enfiler nos pulls et l’orage de fin de journée nous pousse à dîner dans la voiture.
Un réveil difficile mais un petit déj parfait
Le matin au réveil, la vallée est encore bien dans l’ombre et il nous faut une bonne dose de courage pour sortir de la tente et prendre un bon petit déjeuné avec du pain tout frais et de la confiture préparée avec amour à la maison. Quelques tasses de café après, nous remplissons les sacs pour les 2 jours d’immersion en montagne.
Le départ est donné vers 10h. La monté commence dans les forêts de Mélèzes dont l’odeur et l’ombre qu’ils apportent rafraichissent l’atmosphère. Vers 2000m en sortant des bois le Grand Paradis se laisse entrevoir, il paraît si loin… « Nous ne sommes pas rendu ! ». A midi nous arrivons sous le refuge Victor Emanuel II et nos ventres crient déjà famine, un petit ravitaillement s’impose.
Le coin est magnifique, le Ciarforon situé en face de nous transporte aisément notre esprit et on s’imagine le gravir par tous les couloirs et faces possibles. Il est toujours difficile de redémarrer après un pic nique, mais là nous savons que nous avons fait le plus dur de la journée et que nous serons dans quelques temps à la zone de bivouac. Nous n’aurons ainsi plus aucun effort à fournir de la journée.
L’appel d’une bonne sieste nous motive à redémarrer. Succédant le refuge un grand pierrier nous mène dans une zone de pâturage ou nous traversons un sympathique troupeau de chèvre.
Un peu de repos s’impose
Nous arrivons à la zone de bivouac en début d’après midi, plusieurs zones aménagées s’offrent à nous et toutes sont libres, il n’y a qu’à choisir : le plus plat, le plus spacieux et le mieux abrité du vent (quel luxe !). Un petit torrent coule calmement à côté de notre emplacement et nous repérons rapidement un petit ruisseau dans lequel nous pourrons nous servir en eau potable (ou presque).
Un coucher de soleil magnifique coloriant les montagnes d’une couleur flamboyante clôture cette belle journée. Quelques nuages noires apparaissent toutefois, et nous espérons éviter un orage de fin de journée, « nous avons bien fait de prendre la tente ».
Nous décidons de nous lever tôt afin d’éviter les bouchons matinaux. Le réveil nous sort de nos songes à 3h du matin, un thé préalablement préparé la veille nous permet de ne pas trop traîner et surtout de sortir des duvets plus en douceur. Sauf si on a la mauvaise idée de renverser notre tasse dans la tente « aïe ! Ça brule ! », « grr !ça commence mal… ».
Cette petite péripétie passée, la tente pliée dans les règles, nous pouvons décoller pour rejoindre l’arête maurénique menant dans la direction du glacier de Laveciau, il est 3h30. Hormis deux points lumineux plus haut nous sommes seuls avec les étoiles, « Il y en a qui ont osés se lever encore plus tôt ». Suite à l’arête maurénique, nous traversons un large plateau lunaire.
Une vue remarquable au Grand Paradis
En se retournant nous pouvons apercevoir les lumières du refuge et surtout le serpentin de lumière résultant des frontales des ascensionnistes du Grand Paradis qui nous succèdent. Après quelques zigzags dans ce dédale granitique nous atteignons le glacier. Le Grand Paradis se dévoile petit à petit avec l’aube, c’est magnifique. En cette saison le bas du glacier commence à montrer ces entrailles, certains ponts de neige semblent fragiles: vigilance donc !
L’altitude se fait ressentir et notre rythme de montée ralenti. Au passage de l’épaule, le vent nous rappelle que nous sommes bien en montagne et si il fait des températures caniculaires à Montpellier en ce moment, cela ne nous empêche pas d’avoir l’onglet sur ce massif :
« une bonne climatisation naturelle ».
Nous apercevons le sommet du Ciarforon, il est tout petit. Cette montagne qui du bas révélait une grande ampleur, ne fait plus que piètre figure. Les derniers mètres en neige sont vraiment splendides, une courte arête permet de voir le soleil qui brille de l’autre côté du sommet et le vent fait décoller la neige de l’arête vers le soleil qui fait tout étinceler.
Ensuite il y a encore quelques mètres sur du rocher avec quelques pas en III, c’est une première pour Jade de grimper avec des crampons et surtout c’est la première fois qu’elle passe la barre des 4000
Zone du bivouac Dix mètres avant le sommet nous croisons la cordée qui nous précédait, ils nous ont dit qu’ils étaient partis du refuge à 2h du matin. Nous leur souhaitons une bonne descente et allons profiter seuls du sommet. Quelques instants seulement car le vent ne nous invita pas à rester trop longtemps ou à prendre une collation prolongée (dommage…).
Moment photos et descente vers des lieux au chaud
A 8h, après quelques photos en compagnie de la vierge du sommet nous entamons la descente vers des lieux plus chauds.
Nous croisons à la descente beaucoup (beaucoup, beaucoup !) de cordées, nous sommes contents d’avoir pris la décision de partir tôt pour éviter toute cette peuplade. Vers la moitié du glacier nous croisons les dernières cordées et profitons de la fin de descente plus calme pour nous imprégner des paysages et de la beauté des lieux. Mais étant toujours à l’ombre du massif, nous attendons avec impatience de pouvoir retrouver le soleil et sentir ces rayons nous réchauffer.
redescente dans la vallée
C’est finalement le cas lorsque nous quittons le glacier pour remonter sur la grande terrasse granitique. Un bon casse croûte au soleil après avoir atteint notre objectif constitue un bonheur bien agréable. En continuant la descente nous rencontrons des bouquetins : merveilleux spectacle de la nature, leur agilité nous laisse impressionnés et nous nous demandons s’il ne serait pas possible d’en apprivoiser un pour qu’ils portent nos sacs.
Nous repassons récupérer la tente et les duvets au coin bivouac et continuons la redescente, cela nous a semblé interminable, j’ai l’impression que c’est pendant la descente qu’on se rend réellement compte des dénivelés grimpés. En repassant devant le refuge nous sentons une agréable odeur, l’heure du repas approche déjà. La bave à la bouche nous nous promettons d’aller manger une merveilleuse pizza italienne au village.
Difficile de gérer la chaleur
La chaleur nous accabla sur tout le retour et en arrivant au parking on ne rêvait que de boire des litres et des litres d’eau, difficile de croire que quelques heures plus tôt nous avions l’onglet. Après quelques étirements succincts nous passons le reste de l’après midi à l’ombre d’un arbre à lire et à faire la sieste étendus dans l’herbe. A 19h nous craquons et allons au restaurant. « Excellente ! La pâte à pizza est exceptionnelle ! ». Ce fut parfait pour clôturer la fin de cette première étape de vacances.
Le lendemain matin nous partons pour la vallée d’Orco située juste derrière (au sud) de la vallée. Mais les montagnes ont l’habitude de rendre les choses plus compliquées… Il faudra faire un grand détour pour passer du bon côté. C’est l’occasion de s’arrêter acheter deux-trois produits locaux : du fromage (Grana Padano, Mozarella) et des olives (jamais vu des olives aussi grosses et aussi bonnes). Après quelques incertitudes (« mais si c’est par là, mais non ce n’est pas par là… ») nous arrivons dans la bonne vallée en milieu d’après midi, en même temps que la pluie. Nous posons le camp au camping de Prese, zone fréquentée par des pécheurs et des grimpeurs.
La vallée recèle d’une multitude de secteurs offrants grandes voies et couennes.
Escalade traditionnelle
L’escalade est essentiellement en mode traditionnel (pas de spit ou très peu, la protection se fait à l’aide de coinceurs). Le camping est pris en sandwich entre deux de ces secteurs. Nous décidons donc de profiter de la fin de la journée pour monter voir les secteurs qui nous entourent. Toutes ces fissures et ce granit parfait nous motivent et nous impressionnent, j’en ai les mains qui transpirent toutes seules.
Nous longeons toute la falaise pour repérer les plus belles fissures, parmi elles : « Incastromania ». Une fissure de rêve en 6a seulement, c’est décidé demain on vient grimper sur ce secteur (en espérant que la pluie décide de s’arrêter et la falaise de sécher).
Une nuit à rêver des fissures et c’est le jour j. La météo est un peu meilleure que la veille et surtout les falaises son sèches. Nous testons un premier secteur avec deux petites fissures en 5. Parfait pour commencer à se familiariser avec le style du site. Jade y dépose ses premiers coinceurs, non sans un air dubitatif quant à leur efficacité en cas de chute.
Etape suivante : le secteur situé au dessus « secteur du sergent», il s’agit d’un secteur de grande voie. Mais quelques voie « école » y sont présentes dont « Incastromania » le fameux 6a. Nous ne trainons pas à aller jouer dedans, et nous n’en sommes pas déçu, en plus d’une esthétique irréprochable elle est agréable à grimper et il est facile de poser les friends convenablement.
Grande voie « Canabis »
Mais déjà, nous sentons qu’il y a toute une gestuelle et une technicité nouvelle à intégrer : la fissure c’est spéciale. Juste à sa gauche une fissure toute fine attire le regard. Il s’agit de la première longueur en 7b d’une grande voie « Canabis ». Elle m’attire mais le fait que ce soit de l’escalade traditionnelle me fait hésiter. Après une heure de questionnement, je décide de m’y lancer.
A mon grand désespoir je m’arrête assez vite et rate le à vue. Il faut un peu de patience pour repérer ou mettre les petits câblés dans la fissure et voir comment en trianguler certains pour engager dans la partie supérieure. Après avoir calé toutes les méthodes et récupéré les protections, je décide de remettre un run 1h plus tard. En reposant les protections aux endroits préalablement repérés, et ça marche. « Forte en émotion cette journée ».
Le lendemain toujours sous un temps maussade nous décidons d’aller sur un secteur de couennes présentant des voies traditionnelles. Également aussi des voies équipées pour apprendre sereinement la pose des coinceurs. Il s’agit du bucolique secteur « de la boîte aux lettres ». Nous grimpons au fil de la journée une bonne dizaine de voies. Du 5c au 7c+ équipés en passant par un 6b+ et 6c+ en « trad ». Toutes les voies sont à faire, c’est un excellent secteur pour apprendre à grimper en fissure. Au pied des voies, une boîte aux lettres présente un livre d’or ou il est possible d’y glisser un petit mot.
Troisième jour dans la vallée
Au réveil du troisième jour dans la vallée, nous commençons à sentir un peu les dégâts des journées précédentes. Courbatures, pénurie de peau et fatigue générale, nous décidons donc de faire une dernière journée d’escalade avant de rentrer tranquillement sur Montpellier. Le secteur de la veille nous ayant bien plu, nous essayons d’en trouver un qui y ressemble. Nous irons au secteur de Prese, quelques voies dans le 5 et 6 sont possibles en «trad », « Allons poser des coinceurs ! ».
Jade se lance dans un sympathique 5c en posant les friends, après quelques tremblement (de l’assureur), elle parvint à clipper le relai (ouf !). Une belle fissure très large en son début et traversant en oblique nous appelle, on ne peut s’empêcher d’aller y faire un tour, c’est un 6b+. Coincement de poing et équilibre sont au rendez vous, j’ai vraiment l’impression de débuter l’escalade, apprentissage, apprentissage… Jade part dedans en artif, excellent moyen d’assimiler la pose des coinceurs convenablement.
Repas au bord du lac
Après ces quelques émotions nous allons déjeuner au bord du lac de Ceresole Reale. Ce lac artificiel est d’un bleu magnifique, s’il n’y avait pas de vent, il serait facilement tentant d’aller y piquer une tête. Mais bon pour des Montpelliérains comme nous, si la température de l’eau n’excède pas les 26°C on ne se risque pas d’y tremper un orteil. Pour le reste de l’après midi nous souhaitons prendre un peu de hauteur avant de redescendre au bord de la mer. Nous montons ainsi en voiture dans la partie haute de la vallée jusqu’au lac de Serrù (2240m).
Il est possible d’en faire le tour, et décidons d’aller nous balader en son bord. La fin de journée nous offre en dépit du vent de magnifiques couleurs. Plusieurs marmottes montrent le bout de leur nez, l’endroit nous inspire nous passons donc une dernière nuit sur cette montagne. A profiter de l’ambiance induite par ces vastes espaces, avant de prendre le long chemin de retour vers la maison.
Matériel utilisé pour ce séjour grimpe et alpinisme au Gran Paradiso et Valle dell’orco
Matériel présent pour la course au Gran Paradiso
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE ROADBOOK | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
DOUDOUNE | M vega jkt | MOUNTAIN EQUIPEMENT | Très bon compromis entre légèreté, compacité et chaleur | Oui | Je la reprends mais j’ajouterai dans le sac une veste imperméable |
PANTALON ALPI | Wdeson | EIDER | Chaud | Un peu trop chaud pour de l’alpi estival | Je prendrai plutôt un pantalon léger : le « champ pants » de Mammut |
SOFTSHELL | Bionnassay | QUECHUA | Le prix, la légèreté et la chaleur | Oui | A refaire |
GANT | Alpinism 500 | SIMOND | Léger, fin et bonne adhérence pour tenir le piolet et les manips | Oui | A refaire |
SAC À DOS | Bionnassay 55 | QUECHUA | Facilité d’ouverture et confortable | Oui, très résistant à l’usure | A refaire |
PIOLET | Snow walker | PETZL | Piolet assez long pour faire une canne | Oui | Bien pour cette course, pour des courses plus raides favoriser un piolet plus incurvé comme le « Air tech évolution » de Grivel |
CRAMPONS | Lynx | PETZL | Tehnique et précis pour les parties en neige raides, glace ou dry | Pas besoins d’autant de technicité pour une telle course. | Je prendrais plutôt une paire plus légère: les Ivris de PETZL |
HARNAIS | Ophir | MAMMUT | Réglage simple et renfort du pontet | Oui | A refaire |
MOUSQUETONS | Jumbo HMS | SIMOND | Grande ouverture, confortable pour les manips | Oui | A refaire, mais je pourrais optimiser en prenant le model plus léger de PETZL : « Attache 3D SL » |
POULIE TRACTION | Micro traction | PETZL | Indispensable pour réaliser un secours en crevasse | Oui | A refaire |
CORDE | Joker | BÉAL | Corde fluide et légère | Oui | A refaire |
CHAUSSURE | Alpinism 300 | SIMOND | Bon rapport qualité prix et très légère | Oui, suffisant pour les courses en été | A refaire |
BROCHES | Express ice screws 16 | BLACK DIAMOND | Facile à amorcer, la manivelle intégrée permet une mise en place rapide | Oui | A refaire |
MONTRE ALTI | On go up 500 | QUECHUA | Le prix | Oui, très précise | A refaire |
FRONTALE | Tikka 2 plus | PETZL | Bon éclairage et différents mode d’éclairage (puissance) | Oui | A refaire |
Matériel bivouac présent pour l’escalade dans le Val del Orco
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODEL AU DÉPART | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE ROADBOOK | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
POPOTE | Popote aluminium 1 | QUECHUA | La prix faible et sa légèreté | Oui, prévu pour une personne mais suffisant pour deux | A refaire |
RÉCHAUD | Twister plus | CAMPING GAZ | L’allumage automatique Piezo | Oui | La légéreté étant un critère de choix je prendrai un model plus léger et plus compact : « Express stove duo » de primus |
MATELAS | M100 | QUECHUA | La prix faible et sa légèreté | Oui, en plus c’est un excellent isolant thermique | Un peu encombrant donc, on pourrait optimiser avec le model : « couchage Z lite Sole Regular » de Thermarest |
TENTE | T2 | QUECHUA | La prix faible | Oui | Je favoriserai une tente plus légère et plus compacte : la « Tadpole 2-bamboo green » de The North Face |
DUVET | Phantom 0 | MOUNTAIN HARD WEAR | Chaud et léger | Oui | A refaire sans hésitation |
Matériel présent pour l’escalade dans le Val del Orco
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODEL AU DÉPART | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE ROADBOOK | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
COINCEURS | Flit flex | KONG | Bon rapport qyalité prix | Oui | Pour ce type d’escalade sportive je favoriserai plutôt les Camalots de Black Diamond car ils ont une meilleure flexibilité et une échelle d’ouverture plus grande |
DÉGAINES | Spirit | PETZL | Bonne tenue en main | Oui | Un peu lourdes pour ce type d’escalade |
CHAUSSONS | Testarossa | LA SPORTIVA | Très précis et confortable | Oui | Sans hésiter |
ASSUREUR | GriGri | PETZL | Bonne tenue en main, reposant pour l’assureur et securit car autobloquant (vigilance quant même) | Oui | A refaire |
MOUSQUETONS À VIS | Jumbo HMS | SIMOND | Grande ouverture, confortable pour les manips | Oui | A refaire, mais je pourrais optimiser en prenant le model plus léger de PETZL : « Attache 3D SL » |
HARNAIS | Ophir | MAMMUT | Réglage simple et renfort du pontet | Oui | A refaire |
SANGLE | Anneau 60 | PETZL | Pratique pour rallonger les points de protections (spits, pitons, coinceurs…) | Oui | A refaire |
SANGLE | Fin anneau 120 | PETZL | Pratique pour faire des relais | Oui | A refaire |
CORDE | Joker | BÉAL | Corde fluide et légère | Oui | A refaire |
SAC À MAGNÉSIE | Mai cocoon | BÉAL | Surface d’ouverture | Oui | A refaire |
CASQUE | Rockstar | CAMP | Le prix | Un peu trop lourd et mauvaise tenu sur la tête | Je prendrai plutôt le « Meteor III » de PETZL |