Gwendoline nous raconte l’ascension de l’arête des cinéastes : une belle première !
Information sur l’ascension de l’arête des cinéastes
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Date
22 / 23 sept 2012
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Lieu
Provence alpes côtes d’azur, Hautes Alpes, Ailefroide (05340), départ du Pré de Madame Carle.
Refuge glacier blanc
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Depuis Montpellier
Montpellier => Ailefroide : 4h48, 382 km, 22 euros de péage.
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Participants
Attia Gwendoline : Ingénieur en bureau d’études aquacole, réside à Montpellier depuis 7 ans. Pratique l’escalade depuis 6 ans, le ski de randonnée depuis 5 ans et plus rarement la randonnée ou l’alpinisme. Pratique le vtt uniquement sous la contrainte, quoi que le plaisir a pu récemment pointer son bout du nez. Aime mettre ses mains à profit pour autre chose que serrer les réglettes : bricolage, couture, cuisine…
Pascal R., Pascal M. et Antoine R. : Tous « compagnons » (salariés de La Compagnie du Vent), tous les trois grimpeurs du dimanche (préférant de loin les sorties falaises aux entrainements résine), tous les trois surmotivés pour s’organiser un we alpi, à notre niveau.
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Où dormir
Nous avons dormi au refuge du Glacier Blanc, partie d’hiver ouverte, c’est très confort. Eau, toilettes, plusieurs dortoirs avec couvertures, salle à manger ; il y a même des popotes à dispo (mais nous avions porté les nôtres sans savoir).
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Toutes les infos sur ce refuge ici
– Refuge glacier blanc
– Téléphone du refuge : 04 92 23 50 24.
– Téléphone hors période de gardiennage : 06 08 07 35 80
Possibilité de dormir au refuge Cézanne, au pré de madame Carle (qui ferme fin septembre en général).
Ou au champêtre camping d’Ailefroide, à 15 min en voiture du pré de Madame Carle.
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Où se restaurer/où se réapprovisionner
A Ailefroide : nourriture et matos alpi/grimpe de fin juin à fin août.
A Vallouise : nourriture toute l’année, matos grimpe uniquement en haute saison.
Argentière : essence, nourriture, etc… donc tout et tout au long de l’année.
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Office du tourisme
Toutes les informations concernant le massif des écrins, tout y est
Arête des cinéastes (AD)
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Que faire d’autre dans le secteur
Alpinisme dans les Ecrins à Ailefroide incluant le Pic d’Arsine.
Mais aussi, en plus difficile :
Alpinisme dans les Ecrins : le glacier noir des Hautes-Alpes : Couloir dérobé.
La Bonatti dans la face nord du pic Coolidge.
Le pilier sud de la barre noir, pour de l’alpi estival.
Le coup de sabre.
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Bibliographie
« Oisans nouveau Oisans sauvage » Livre Est de Jean Michel Cambon de 2004. 250 itinéraires d’escalade et d’alpinisme parmi les moins pires des massifs des Ecrins Est, du Briançonnais et des Cerces. Page 176.
Les topos et commentaires camptocamp.
Récit sur l’arête des cinéastes
Tout commence en août lors d’un pique-nique à la plage qui clôture une journée de boulot. Pascal m’évoque des envies de reprise de la grimpe (après opération d’un coude, plus de 2 ans d’arrêt) par des voies d’alpinisme facile, de quoi se faire plaisir sans trop tirer sur ses bras. Excellent, ça me dit bien aussi de me lancer dans cette discipline à petit niveau, apprendre à gérer une cordée, etc. C’est un bon moyen de varier les habitudes vu qu’en général, Florian m’emmène et je n’ai que ma condition physique à gérer.
De fil en aiguille, deux collègues de Pascal se greffent à cet hypothétique we « alpi facile ». Ne connaissant pas leur niveau grimpe ni montagne, je ne compte pas me reposer sur eux, ce we est l’occasion parfait de prospecter les courses potentielles, d’analyse le niveau de chacun, les conditions météo, bref de « topoter » comme disent certains.
L’idée de l’arête des Cinéastes m’est proposée par le trio de grands gaillards. Le nom me séduit, bon feeling, s’enchainent alors des soirées à lire tous les commentaires de camptocamp, analyser les photos pour prendre des repères. Les allusions à « un pas » un peu plus dur que la cotation n’en finissent pas, mes insomnies et réflexions non plus, un petit challenge en jeu me dis-je.
En avant
La veille, les 3 compagnons m’appellent pour annoncer qu’aucun ne se sent de mener la cordée et de passer le dit « pas ». En somme : soit je mène la danse, soit nous ferons une autre sortie où des heures de marche d’approche n’offrent que peu de grimpe / alpi. Renoncer avant même de partir serait une déception, pas possible. Banco, le choix de l’Arêtes des cinéastes est validé !
Vendredi midi, Pascal me récupère à la sortie du boulot, surpris de la taille de mon sac de 70l, je lui confie que je compte bien le décharger en refilant popote, gaz & cie à nos compagnons que nous rejoignons sur Odysseum. Oh malheur, ils n’ont que des sacs de 30 litres déjà bien pleins, ça semble compromis. Lorsque Pascal déballe les tas de courses (on rapportera une bonne partie), mes espoirs s’effondrent, la montée au refuge s’annonce vraiment plus rude que prévue !
Les heures de route s’enchaînent vite, et nous nous réjouissons qu’un parking comme celui du Pré de Madame Carle reste (encore à cette date) libre d’accès et gratuit.
Après une courte discussion, nous ne prenons que deux brins de 50mètres car il est indiqué que la course passe avec des longueurs de 25m… Aurons-nous raison ? Toujours est-il que le poids des deux brins restés dans le coffre ne nous manque pas.
Au refuge
Arrivée à la frontale au refuge ou le soulagement de déposer nos charges dans un dortoir entièrement libre. La plat de pâtes à la truite fumée est bienvenu pour nous quatre, même si certains semblaient s’étonner du luxe d’avoir porté de quoi se faire des repas chauds (la montagne symboliserait un certain coté rustique n’offrant que des sandwichs froids, déjà accompagnée d’une doudoune et du bonnet, loin de moi cette potentialité) !
Samedi, réveil matinale, petit déjeuner sans trainer, chacun se prépare efficacement, la motivation bat son plein. Au moment d’ouvrir la porte pour partir, découverte de la réalité, tromperie des prévisions météorologiques : il pleut et la visibilité est quasi nulle.
Deux alpinismes hésitent mais n’étant pas disponibles pour tenter la course le lendemain, ils se lancent … puis reviennent une heure plus tard trempés et gelés.
Regards par la fenêtre toutes les 5 min, rester ?, tenter ? Ce sera patienter, guetter l’amélioration, manger et jouer.
Finalement, la matinée passe vite entre des pique-niques à répétition, les espoirs de mettre le nez dehors, et les prières pour la météo du lendemain.
De courtes éclaircies nous permettre de nous lancer pour le Pic d’Arsine, courte course que nous prévoyions initialement le dimanche pour rentrer tôt afin que les papas puissent voir leurs petits avant d’attaquer la nouvelle semaine. C’est loupé d’avance et ils n’ont plus qu’à profiter pleinement du we en montagne.
Remontée vers le refuge des Ecrins, avant de l’atteindre, il faut bifurquer à droite pour le Pic d’Arsine.
Sommet
A peine ou peut-être même pas au sommet, l’air ambiant vire d’un coup au brouillard, la froideur de l’atmosphère nous renvoie rapidement vers notre chaleureux refuge.
La fin d’après-midi permet de réviser quelques manips au chaud dans le dortoir.
Dimanche, réveil encore plus matinal que la veille (retour à Montpellier oblige), la nuit est noire, pas possible de voir le temps extérieur, mais les étoiles parlent d’elles-mêmes.
Le chemin se transforme rapidement en pierrier.
Chacun apprécie la fraicheur matinale et le ciel exempt de nuage. La vue sur le dôme des Ecrins progressivement inondé des rayons du soleil nous accompagne.
Amusant de découvrir sans trop de surprises, il est rare que je lise aussi précisément le topo avant la course ou une voie, très souvent Florian s’en charge et la confiance permet de s’offrir la découverte sur l’instant. Cependant, c’est un autre plaisir que celui de concrétiser une préparation.
Remontée du pierrier jusqu’au col sur la gauche, puis traverser vers la droite (passage un peu expo) pour rejoindre plus ou moins la base de la première dent et se lancer corde tendue vers le fil de l’arête.
Grimpe
La grimpe est grisante, étonnement le gaz ne m’intimide pas. Simplement, je savoure ; les prises sont bonnes et le caillou sain.
L’attente se répète et s’éternise un peu jusqu’ au passage « du pas » de la 3ème dent. Heureusement qu’il n’y a qu’une autre corde sur cette voie normale !
Cette 3ème dent verra deux fois trop de relais. Un premier trop bas car la bonne place juste au-dessus est occupée.
Une fois libérée, je refais un relais pas bien loin mais le plus haut possible pour maximiser les chances de ne pas manquer de corde pour passer le toit. Souvenez-vous les brins restés dans la voiture… Lancée sur cette 3ème dent, je suis bien concentrée mais un peu surprise par un petit bas en dièdre morpho car mes jambes sont courtes (finalement ce sera là le « pas dur » pour mon gabarit).
Pas assez de corde, il faut refaire un relais d’équilibriste juste sous le toit. La douce impression de passer plus de temps à faire des relais qu’à grimper se fait sentir ! Pascal me rejoint et c’est parti pour le passage du toit qui passe comme une lettre à la poste. Les prises sont pile comme il faut et là où il faut, il suffit de se recroqueviller un peu sous le toit puis il le contourner par la gauche. Quelle joie nous avons bien fait de ne pas se priver de cette course !
3ème dent
Pascal me rejoint sur le 4ème relais de cette 3ème dent. Moralité : ça passe avec un seul brin de 50m, mais ça vaut quand même le coup de pouvoir faire des longueurs de 50m en prenant les deux brins. Enthousiaste, il prend la tête pour se lancer corde tendue.
Des petits rappels viennent varier le plaisir de l’ascension.
A chaque dent sa particularité, grimpe pile sur le fil, ascension par le versant Ouest, sur la face Est, ou alternance de pas d’escalade et de désescalade.
La descente
Alors que nos deux compères réapparaissent derrière une dent, je reprends la tête pour finir l’arête. Nous essayons de mettre un peu de rythme, assez perdu de temps entre les attentes et les relais supplémentaires et la descente s’annonce longue.
Nous savourons la 5ème et la 6ème dent sachant que ce sont les dernières avant la série de rappels qui nous déposera sur l’autre versant de l’arête, face Est. Rejoindre nos deux brins permet de gagner du temps et de descendre une bonne partie du pierrier pas terrible et raide en rappel.
Le thé est servi ! Quelques gorgées sucrées avant d’attaquer la descente à pied en plein soleil. Les foulées s’enchaînent jusqu’au refuge. Je profite de la légèreté du petit sac de grande voie qui ne va pas tardé à se retrouver compacté dans le gros sac au milieu des autres affaires laissées au refuge.
La fin de journée est un peu trop précipitée à mon goût, le pique-nique se fera dans la voiture et non au refuge, l’enchaînement de la descente de l’arête avec celle jusqu’à Madame Carle est alors un peu rude. Et la petite mousse n’aura pas sa place dans le planning. Cette fin d’après-midi dénote un peu avec la bien belle journée. Cette initiation réussie mérite toutefois d’être trinquée, là-dessus l’avis est partagé, nul doute. Mais les papas sont déjà attendus de pied ferme à la maison. Ils nous devront un pot montpelliérain pour cette précipitation finale.
Conclusion de cette ascension de l’arête des Cinéastes
Un we réussi, bien rempli, varié entre beau et mauvais temps, entre belotte et ascension, bref un we dépaysant à souhait partagé avec une équipe bien sympathique.
Une première course d’arête menée de A à Z qui en appelle d’autres, une approche différente que celle de se faire emmener. De nouvelles portes en montagne semblent s’ouvrir pour l’avenir.
Matériel utilisé lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
Équipement utilisé lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
BÂTONS PLIABLES | trial compact | BLACK DIAMOND | Atouts : – Se divisent en 3 donc pas trop haut, pratique pour le voyage. – Clip pour l’étendre ou le rétracter (j’avais un système à vis avant, le clip est de loin plus pratique et plus fiable). – Grip en mousse sur une vingtaine de cm sous la poignée. – Poignée en mousse dense agréable (avec les poignets en plastique j’ai des ampoules). | ||
MOUSQUETON À VIS | BLACK DIAMOND | Léger | RAS | Je prends les mêmes. Attention, les plus légers sont souvent petits, ne conviennent pas à certaines manips sur glacier. | |
BAUDRIER | women acheté au yeti en 2009, équivalent du « lotus » | BLACK DIAMOND | Cf CR Taghia au MarocConfort, Bon marché, Boucle de la ceinture à blocage automatique | Idéalement pour ce genre de sortie où l’on est jamais suspendu dessus à un relais, un baudrier plus minimaliste (certes moins confortable). Donc plus léger et plus compacte serait idéal, car le sac se remplit vite d’affaires pour la nuit en refuge, de matos friends, sangles, etc. | A voir si le modèle Artéryx est très confortable (pour l’utilisation grande voie plus classique). En plus d’être plus léger et compacte que ses concurrents. Je préfèrerai que les jambières ne soient pas réglables car la boucle de réglage peut être gênante quand on est suspendu pendant longtemps ! |
Équipement utilisé (2) lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
CASQUE | elios taille | PETZL | Peu de choix pour les petites têtes. Prix attractif. | Pas très confortable et ne tient jamais en place, bascule toujours d’un côté ou de l’autre, ou encore en arrière. | Je souhaite en changer, mais ne suis pas encore fixée, un modèle Black Diamond semble un meilleur compromis que les modèle Petzl testé. Il me reste à tester d’autres marques encore avant de choisir. |
SANGLE | 60cm, 120cm, 180cm | PETZL | Léger, Maniable, Beaucoup plus facile de faire des nœuds avec moins de « mou » | Tout à fait adapté, agréable à manipuler. Mais en avoir de différentes peut être gênant, elles se sont emmêler autour du torse et c’était un peu galère d’y voir clair. | Je reprends les mêmes, 120 cm est la taille idéale à privilégier, et c’est celle qui est la plus confortable (surement fonction des gabarits des personnes) à porter doubler en diagonal sur le torse. |
SYSTÈME D’ASSURAGE | reverso | PETZL | Simple à manipuler | Pourquoi pas tester le smart de MAMMUT (la version corde à double) car il est autobloquant (pour prendre des photos du premier plus facilement) ! A voir à l’utilisation ce qu’il en est, mais ça semble moins fluide que le reverso. | |
CORDE À DOUBLE, UN BRIN PAR CORDÉE | rubix triaxale | MILLET | Durabilité annoncée (et vérifiée : aucun signe d’usure après une cinquantaine de sorties) | Adapté, mais une corde à double par cordée reste plus pratique pour les longueurs à tirer dans la 3ème dent puis les rappels finaux. | Je garde cette corde qui semble bien vouloir durer et c’est appréciable. |
Vêtements utilisés lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
MÉRINOS MANCHES LONGUES | laine mérinos womens 260 midweight | ICEBREAKER | Cf CR Grande Ruine | J’ai aussi un 200g/m² dans zip, nickel aussi. | |
T-SHIRT MÉRINOS | womens ss tech scoop scatter. 150 g/m² ultralight | ICEBREAKER | La laine mérinos, la matière idéale : Sèche vite, ne sent pas, ne gratte pas, confortable – Première rando avec : top ! | Le même. Attention même en XS ça taille un peu trop grand. | |
CHAUSSURES D’ALPINISME GWENDOLINE | k11+-taile 23 | KAYLAND | Pas le choix de taille ! Achetées pour la Cordillère des Andes (thermiques). Très bien pour ce type de courses aussi. – Confortable, jamais eu la moindre ampoule.– Bonne tenue sur les prises. | RAS | Les mêmes, ou voir selon les modèles existants à ma taille. |
DOUDOUNE GWENDOLINE | sigma taille 8 | MOUNTAIN EQUIPMENT | Cf Récit Taghia Maroc | ||
BRASSIÈRE | xs w’s active mesh bra | PATAGONIA | Robustesse, je l’ai depuis 7 ans et elle reste comme neuve | RAS, si ce n’est que la même en matière mérinos serait parfait, car actuellement, une fois mouillée elle sèche bien moins vite que les mérinos portés dessus, ça laisse une sensation froide contre soi pour la descente. | Modèle mérinos d’Icebreaker testés, mais la forme / taille ne va pas du tout, en XS l’élastique principal étouffe, le reste maintient bien. En S, l’elastique est bien mais le haut ne tient plus rien. Dommage. |
CULOTTE | w’s active hipster | PATAGONIA | Le top pour le sport comme pour la vie quotidienne | On y goutte et on ne s’en passe plus… malgré un prix bien élevé. | |
PANTALON /ALPINISME SKI | guide pants, taille 4 | PATAGONIA | Cf récit Initiation Alpinisme : La Grande Ruine | ||
SOUS PANTALON POUR LE REFUGE | capilène 4 | PATAGONIA | CF récit Pérou |
Sac à dos utilisés lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
SAC À DOS DE RANDONNÉE ET DE VOYAGE | altra 621 | ARC’TÉRYX | Gros litrage Légèreté Confort : un système rotatif permet à la ceinture ventrale de suivre les mouvements du bassin sans faire pencher le sac d’un coté ou de l’autre. En restant bien droit bien que la ceinture s’incline, on est bien moins déséquilibré. Un peu étonnant au début, on l’adopte vite, belle innovation ! | RAS, Je ne l’ai que depuis une année. Il a fait un voyage en Jordanie et cette course. | Je voulais pouvoir mettre un maximum d’affaires dedans pour en avoir le moins possible accroché à l’extérieur : plus confortable car le sac est moins déséquilibré, plus sécurisant en voyage dans les transports en commun, avion, etc. et plus protecteur pour les affaires. |
PETIT SAC DE GRANDE VOIE | magnum | BLACK DIAMOND | – Compact – Bas du sac étroit : dégage mieux les portes matérielles – Volume idéal pour la grande voie – Choisi pour sa taille car c’est le seul qui n’empêche pas Gwendoline de pencher la tête en arrière (et utile en escalade de regarder en haut !!). – poids : très léger – poche intérieur zippée pour les clés par exemple. – élastiques extérieurs pour pouvoir caler une polaire ou autre par manque | Bien rempli, on sent rapidement une boule dans le dos. | Dépend du choix possible pour ma taille de dos… |
Accessoires utilisés lors de l’ascension de l’arête des Cinéastes
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
MONTRE ALTIMÈTRE | t6d | SUUNTO | Cf récit Taghia Maroc | ||
PAIRE DE LUNETTES DE SOLEIL GWENDOLINE | Varient de l’indice 2 à 4 en fonction de la luminosité : top pour les garder même lors de passage sombre en forêt, ou d’un nuage. Egalement très pratique à vélo, m’évite d’acheter des lunettes transparentes. | ||||
POPOTE | kit avec 2 casseroles, 2 tasses, 2 assiettes, un couvercle, un manche | MSR | CF récit Pérou | ||
RÉCHAUD | pocket rocket | MSR | CF récit Pérou |