Alexandre Colonges, Ambassadeur Millet, nous partage son expérience d’une semaine d’escalade sur bloc à Albarracìn .
Informations pour préparer un trip bloc à Albarracìn
Dates :
Du 11 au 19 Mars 2018
Localisation :
Albaraccìn, province de Teruel, Espagne
Participants :
Colonges Alex
Où dormir :
Beaucoup d’auberges et de gîtes dans les environs. En plus du camping du Village.
Nous avons choisi d’aller à Casa Josefina. Un super endroit, très agréable avec une propriétaire sympathique. Je le recommande vivement, c’est le top et c’est à 20 minutes à peine du parking principal d’Albaraccìn.
Où se restaurer / se réapprovisionner :
Vous trouverez dans le village d’Albarracìn plusieurs petits magasins. Des supérettes avec le nécessaire, une boulangerie, une boucherie, quelques restaurants et bar et aussi le magasin d’escalade du village avec un rayonnement bien complet !
Sinon la ville la plus proche est Teruel, vous y trouverez tout ce que vous voudrez.
Office du tourisme :
L’office de tourisme se situe dans le village, on trouve des infos sur internet, je n’ai pas réussi à trouver leur site directement.
Caractéristiques :
Petit village située au sud-est de la Province de Teruel, en Aragon, Albarracìn a été déclaré Monument National en 1961 et proposé comme Patrimoine de l’humanité par l’UNESCO. Au-delà du village lui-même, la région est aussi connue grâce au Site Protégé de “Los Pinares de Rodeno” situé à 5km du village, qui est étendu sur tous les secteurs de grimpe.
D’importantes recherches archéologiques ont amené à découvrir des peintures rupestres étendu dans la plupart des grottes du site. Ce serait les deux premiers refuges d’art rupestre levantin de la péninsule Ibérique.
Entre 1800 et 2000 espèces de plantes, mousses, champignons, etc. Se côtoient sur place dans cette grande étendu de forêt de pin, maritime pour la plupart. Un grand nombre d’oiseaux sont aussi présents, les plus communs étant l’aile Culebrera et l’aigle Roux. Ajoutez à cela sangliers, chevreuils, cerfs et autres mammifères.
Le climat reste méditerranéen mais avec une grosse influence de continentalité par les hauts plateaux. Ce qui en fait un endroit sec. Le froid est généralement très fréquent, pouvant entraîner des gelées entre 8 et 10 mois de l’année, le paradis du grimpeur ?!
Quoi d’autre dans les environs :
Possibilité de faire pas mal de randonnée dans les environs. Sur le site même des blocs, on retrouve beaucoup de randonnée pour faire le tour de fresque murales qui datent de la préhistoire.
Le village d’Albarracìn vaut lui aussi le détour lors d’un ou plusieurs jours de repos. Se poser au café dans les petites rues de l’ancienne ville, monter jusqu’aux remparts ou jusqu’à l’ancien château. Tant d’endroits vraiment splendides !
Et bien évidemment de l’escalade bloc à Albarracìn !
Bibliographie :
Vous trouverez le topo ICI
Sinon vous retrouverez dans les supérettes du village le topo en Espagnol plus récents avec les côtes mises à jour et plus de bloc sur les secteurs.
Le récit du trip bloc à Albarracìn
J’ai quelques jours de vacances en ce début Mars 2018 et après avoir passé quelques jours en Italie avec de la famille, où je suis tout de même allé jeter un œil aux blocs de Varazze, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses.
Tout d’abord Albarracìn ce n’est pas la porte à côté ! Il faut au total 8h30 de route sur l’autoroute pour rejoindre l’Espagne puis la traverser avant d’enfin être dans ce petit paradis du grimpeur. Nous décidons avec ma mère, et oui c’est elle qui m’accompagne sur ce trip, de couper la route en deux et de nous arrêter au bord de la côte près de Tarragone.
Après une bonne nuit de repos nous voilà reparti et quelques heures plus tard nous arrivons au petit village de Gea de Albarracìn, 15 minutes avant le village même d’Albarracìn. Nous resterons toute la semaine dans ce petit gîte qui peut abriter jusqu’à 8 personnes. Nous avons de la chance, personne ne sera présent de toute la semaine.
Vers le site
A peine les affaires posées et déballées que nous accourons vers le site de bloc à Albarracìn. Comme toujours la découverte d’un nouveau site d’escalade est un moment que j’apprécie beaucoup ! On cherche à se repérer dans un dédale de bloc plus beau les uns que les autres, on se perd un peu mais on profite tout de même, on se trouve comme sur un petit nuage.
La météo nous rappelle vite que le temps peut rapidement changer sur ce plateau et il se met à neiger. Cela passe assez vite et quelques minutes plus tard me voilà à grimper les premiers blocs du secteur de Fuente. Quelques 6A et 6B plus tard, je commence à me familiariser avec le rocher et à prendre confiance, il est temps d’aller voir plus dur.
Je me mets alors à la recherche d’un bloc un peu plus dur et je tombe sur une perle, El Chorro. Ce bloc en 7A+ pourrait avoir été ouvert dans une salle d’escalade. On sort d’un petit toit avec de bonnes prises avant de faire un mouvement dynamique vers une bonne rampe. La sortie est plus délicate pour se rétablir sur le bloc. Il me faudra quelques essais pour caler le mouvement dynamique mais je fini par sortir ce bloc splendide et classique du secteur.
La Fuente
Si j’ai choisi ce secteur pour commencer aujourd’hui ce n’est pas vraiment par hasard. Lors des 3 mois précédents mon départ à Albarracìn, grâce à Jonathan qui m’as développé un planning spécifique, je m’entraîne sans relâche pour arriver en forme et réaliser “La Fuente”, un 7C très connu de ce site Espagnol. Cela tombe bien, c’est le bloc juste à droite d’El Chorro.
Un groupe d’Anglais est en train de le travailler et je me joins à eux pour essayer les mouvements. Je n’arrive bien sûr pas à faire tous les mouvements dès cette première séance mais j’avance dans les mouvements et le bloc me semble faisable, avec un peu d’acharnement bien sûr.
Le bloc est plutôt direct.
On part avec des prises correctes de main et des pieds crochetons mais petit. Un mouvement semi-dynamique nous amène sur une réglette verticale un peu fuyante qu’il faut alors serrer bien fort. On bascule le poids du corps sur notre pied gauche et là il faut dynamiser sur une toute petite prise main droite. C’est le crux du bloc. Cette prise main droite n’est vraiment pas bonne et il est crucial de bien viser pour la tenir au bon endroit. Le problème étant que si on se focalise trop sur cette prise, alors la pression se relâche dans la main gauche et “pop” ! On tombe !
S’ensuit 2 autres mouvements bien plus faciles et un réta pas si dur si on l’a déjà travaillé avant de tenter l’enchaînement. Tout un programme donc, j’ai tellement hâte de revenir sur ce fameux bloc à Albarracìn!
Cela fait maintenant un moment que je suis sur place et la fatigue se fait sentir, il est temps de rentrer à notre gîte, de profiter d’un bon repas, d’une bonne douche et d’une bonne nuit de sommeil pour recharger les batteries et être prêt à tout donner le lendemain matin.
Changement
Le lendemain matin je décide de plutôt changer de secteur et de grimper dans des blocs plus faciles. Pour continuer à me familiariser avec le rocher, la gestuelle propre à ce site et puis aussi simplement me faire plaisir, j’ai envie de faire mon projet bien sûr mais je suis en vacances alors je me dois de profiter !
Un peu de marche nous attend aujourd’hui puisque nous allons au secteur de bloc à Albarracìn le plus éloigné du parking. Je suis chargé comme une mule avec mes trois crashs pads + toutes mes affaires. Le pas se fait lourd mais doucement et sûrement j’arrive aux premiers blocs.
Je me retrouve sous un toit géant ! Un rocher de 10 mètres de haut avec une avancée d’environ 8 mètres, le lieu est splendide. Je grimpe quelques blocs dans le 5 et 6 puis mon œil est attiré par une ligne en 7A. Après un peu de temps passé à décortiquer les méthodes me voilà parti pour le run d’enchaînement de ce bloc en traversé sous un toit avec encore une fois un mouvement dynamique pour sortir avant le réta.
Je continue
avec un jeté en 6C puis je me mets en direction d’un autre bloc que j’avais en tête, A ciegas 7A+. Certainement l’un des 7A+ les plus durs que j’ai testé. Un gros dévers avec des règles franches et douloureuse vous amènent jusqu’à un mouvement très dynamique. Le grosse problématique du jour reste le fait que je n’ai pas de pareur et j’aurais bien voulu avoir un crash pad en plus pour tester le dernier mouvement plus sereinement.
J’y mets pas mal d’essais, de peau et d’énergie et au final lors d’une chute sur le dernier mouvement, je réveil une vieille douleur dans ma cheville. Je me sens fatigué et un peu désespéré, alors je préfère arrêter pour aujourd’hui. Retour au gîte, repos un bon massage de la cheville pour la remettre en place et le lendemain c’est repos de prévu, la peau et les muscles en ont bien besoin !
Journée de repos
Pas de bloc à Albarracìn pour aujourd’hui. La journée suivante sera une journée de repos. Après 2 jours de grimpe d’affilé je commence à avoir très peu de peau et je suis tout courbaturé. Ce sera donc une journée course, visite de Teruel et petit tour sur les fortifications du village d’Albarracìn.
Il ne fait pas très beau aujourd’hui mais le cadre reste splendide. La ville fortifiée est un dédale de petite rue donnant sur des terrasses ou escalier. Il faut avoir envie de monter car le tour est à flanc de montagne et nous sommes entourés par des falaises.
Dommage que les magasins ou autres café et bar soient fermé aujourd’hui. Je me serais bien arrêté pour un thé ou un café, l’endroit est si paisible, cela s’y prête vraiment. Nous continuons notre tour du village. Nous en apprenons un peu plus sur l’histoire de cet endroit et je conseille vraiment à toute personnes venant grimper sur place d’aller faire un tour au village.
Retour sur le secteur de bloc
Pour aujourd’hui c’est retour sur le projet ! Me voilà donc de bon matin, reposé, et après un petit échauffement prêt à me remettre les mouvements en mémoire. Je m’échauffe encore un peu plus et je commence alors à y mettre des vrais runs.
Je me sens plutôt bien, de toute façon tout se joue sur un mouvement dynamique, si ça passe c’est gagné, aussi simple que ça ! Quelques essais infructueux et enfin, alors que je ne m’y attends pas, je tiens la prise main droite pile au bon endroit. Je suis un peu étonné sur le moment mais me ressaisit vite et exécute les trois mouvements suivant mécaniquement jusqu’à arriver au réta.
Je cherche un petit peu mes pieds et enfin je me retrouve debout sur le bloc ! C’est fait, mon objectif est atteint, j’ai réalisé un 7C à Albarracìn ! La pression retombe et je suis sur mon petit nuage, les gens autour de moi me félicitent et je profite de ce moment, les joies de l’escalade.
Je choisi alors de grimper quelques heures dans le même secteur sur des blocs plus faciles, puis je change de secteur pour aller découvrir un nouveau projet en 7C nommé Zarzamora. Le problème étant que les prises sont trempées. Je grimpe tout de même dans le départ debout en 6C et essaye de sécher les prises comme je peux.
Je me décourage assez vite et change décide d’aller essayer des blocs un peu plus faciles. Après tout ce n’est pas la quantité qui manque ici ! Mon corps commence à fatiguer de plus en plus. Nous décidons alors de rentrer à l’auberge et de se poser. Du travail m’attend ce soir, j’ai un montage à faire !
Nouveau projet
Après encore quelques jours d’escalade de bloc à Albarracìn à tenter différents blocs sans grand succès, c’est déjà l’heure du dernier jour. Comme tout dernier jour qui se respecte, je décide de grimper dans un niveau plus facile, avec tout de même un petit projet en tête, Ineschakra 7B.
On m’a parlé de cette ligne plusieurs fois au cours de la semaine et apparemment c’est un bloc à ne pas manquer si vous êtes à Albarracìn. Et effectivement je le recommande aussi ! A peine arrivé sur place je nettoie le bloc, j’appréhende un peu les prises, j’imagine les mouvements et le placement du corps. C’est un des moments que je préfère en bloc, cette phase d’observation. On imagine une séquence de mouvement, les temps de relâchement, les muscles utilisés, et aujourd’hui par chance tout se passer comme je l’imagine.
Echauffement
D’après un ami présent sur place avec moi, le premier mouvement est le plus dur. Je teste alors en premier les mouvements suivants. Échauffement en décortiquant un peu le bloc, je fais le réta, pour moi c’est un passage crucial d’un bloc que j’aime valider avant de tenter l’enchaînement. Ce serait bête de tomber de là-haut en aillant fait le plus dur.
Après 40 minutes d’échauffement et de repérage, je décide de tenter de mettre un essai. A ma grande surprise, le premier mouvement ne me parait pas si dur. C’est un gros blocage en épaule et je suis généralement à l’aise sur ce genre de mouvement. La suite s’enchaîne alors bien et comme je l’avais imaginé.
Je me retrouve très rapidement au réta où j’applique ma méthode à la lettre et hop ! Ineschakra, 7B au premier essai !!! Pas de flash puisque j’ai testé les mouvements avant mais tout de même au premier essai je suis bien fier de moi. Ma semaine se finit en beauté ! Mais bon maintenant que j’ai fait mon projet du jour et qu’il me reste encore quelques heures à profiter, quel est la suite ?!
Prompt invitation
Les gens présents sur place me proposent alors d’aller avec eux essayer un autre 7B pas loin. Et j’accepte avec grand plaisir, c’est bien mieux que de grimper seul ! Nous arrivons donc devant un autre grand classique du secteur Arrastradero, Rammstein 7B. Le rocher est hallucinant, comme coupé au sabre, déversant, juste assez de réglettes pour grimper et un grand mouvement dynamique à la toute fin pour aller sur un bac.
Il faudra quelques essais pour caler les méthodes mais après environ 1 heure à travailler le bloc, j’arrive à tenir le mouvement du crux. Je reprends ma respiration et fixe le bac final, un jeté et c’est fini ! Je m’élance et tiens la prise, ouf ! Deux 7B en quelques heures, je n’avais jamais réussi cet exploit, comme quoi l’entraînement ça paye !
Il est déjà l’heure de rentrer et j’en ai pleins les yeux. Je suis tellement heureux d’avoir pu découvrir de site majeur et d’avoir aussi pu en profiter avec ma mère. Peu de gens ont cette chance d’être accompagné par des personnes attentionnées et compréhensives !
Encore pleins de projets en tête, Albarracìn est définitivement un endroit où je reviendrais souvent, si seulement ce n’était pas à 8 heures de route. Merci de m’avoir lu et à bientôt pour de nouvelles aventures !
Matériels utilisés pour le trip escalade bloc à Albarracìn
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIS LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART ? | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉ DANS CE ROADBOOK ? | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
CHAUSSURES | Trident Guide | MILLET | L’adhérence de la gomme en Vibram et le tenu au pied | Adhérence parfaite et confort optimal ! | Sans aucune hésitation je les reprends. Ce sont mes chaussures d’approche et de grimpe en grosse, simplement parfait. |
PANTALON | Stone pant | MILLET | Léger et résistant | Tissu très léger et résistant, fluidité des mouvements, serrage au niveau des chevilles pour les chaussons | Mon pantalon de grimpe de tous les jours, donc oui. |
DOUDOUNE | Dry microloft JKT | MILLET | Léger et chaud | La nouvelle gamme de doudoune Millet, compressible, résistant et chaud | Une doudoune de folie ! Une coupe parfaite pour l’escalade, confortable, chaud. |
SAC À DOS D’ALPINISME | Elium 30 | MILLET | Dotation du magasin « Le Yéti » | Excellent matériel, léger, résistant | Certainement le sac le plus agréable que j’ai pu emmener en montagne. Que ce soit en roche ou en neige, tout y est. Attache piolet, système de portage confortable et aéré, beaucoup de poche de rangement. Gros plus : ouverture latérale même avec le sac fermé sur le dessus ! |
LAMPE FRONTALE | Tikka | PETZL | Ma lampe depuis plus de 5 ans | Incassable ! | Un autre outil qui est toujours dans mon sac c’est ma Tikka. Les piles ont tendance à s’user un peu vite mais à par ça elle est infatigable. Toujours dans le même état après 5 ans d’utilisation. Parfait ! |
CRASH PAD | P’ti WRAP | SNAP | Mon premier achat de crash pad | Mon modèle préféré en terme d’amorti ! | Ce n’est pas le plus grand de la marque. Ni le plus compact mais pour moi c’est une valeur sûr ! Je ne pars jamais sans. Une réception parfaite, comme tous les modèles de la marque ! |
CRASH PAD | Backcountry Pad Collaboration Mystery Ranch X | ORGANIC CLIMBING | Avoir une énorme surface de chute | Répond parfaitement à son utilisation | Parfait pour tout type de bloc ! Ce n’est pas le meilleur en terme d’amorti mais le système de portage ceinture est magique (surtout quand on sangle ses autres pads pour les porter). Et la surface de réception est gigantesque ! |
CRASH PAD | Double air bag | BÉAL | Prêt du magasin Le Yéti. Matériel de location. | Un super pad d’ajustement. | Léger et pratique, parfait pour ajuster la zone de chute. Ou encore le déplacer lorsqu’un grimpeur bouge sur le bloc. |
CRASH PAD | Crash Pad block | SIMOND | Prêt de Jeremy Ciccione | Parfait pour l’ajustement. | Très bien pour ajuster la zone de chute, léger et pas trop encombrant. |
BROSSE | Friction 240 mm et 170 mm | I’BBZ | Mes achats régulier de brosse | Très bonne utilisation. Ce dégrade tout de même rapidement.. | Jamais sans mes brosses ! Pour nettoyer, très important, à ne pas prendre à la légère. Il est crucial de nettoyer les bloc avant et après la séance. |
PERCHE | Triple tube | I’BBZ | Investissement dans une perche pour brosser les projets ! | Vraiment vraiment trop pratique ! Un bonheur de plus avoir à chercher un bout de bois. Attention par contre ne s’adapte pas à toutes les brosses | Je ne par jamais sans depuis que je l’ai. Vraiment parfait ! |
SAC À MAGNÉSIE | Rock land bag | MILLET | Dotation d’ambassadeur | Un sac vraiment top. Le gros plus est sa fermeture hermétique, pas de magnésie qui s’échappe dans votre sac à dos ! | Je le prend toujours avec moi. Très résistant et agréable à utiliser. |
CHAUSSONS D’ESCALADE | Solution | LA SPORTIVA | Conseil d’un ami. | Il fallais bien que je les essais un jour. Le soit disant pur chausson bloc. | Je n’en suis pas déçu pour la tenu de prise, surtout en dévers sur les pointes. Par contre je préfère les talon souple et là c’est un coque. Pratique parfois, embêtant souvent, selon moi bien sûr. |
CHAUSSONS D’ESCALADE | Siurana | MILLET | Dotation d’ambassadeur Millet. | Le coup de foudre de ces trois dernière années !!! Un bonheur. | Je n’ai jamais eu de soucis à me chausser avec Millet (Myo Sulfur + Kalymnos) mais là c’est le paradis. Le chausson me conviens parfaitement, agressif mais pas trop, rigide mais pas trop, un vrai bonheur ! |
TROUSSE DE SOIN BLOC | Strap | STRAPPAL | J’aime prévoir à un peu toutes les éventualités comme un trou dans la peau ou une douleur aux doigts. | Parfait. J’utilise du strappal que j’achète en pharmacie pour une meilleure tenue. | Parfait. Je le coupe en différentes taille pour varier entre bout des doigt et phalanges. |
TROUSSE DE SOIN BLOC | Coupe ongle | Au cas où je me casse un ongle | Il m’est déjà arrivé de me casser un ongle salement en grimpant, depuis j’ai ça sur moi. | Parfait, je ne l’utilise pas souvent mais pratique quand j’en ai besoin | |
TROUSSE DE SOIN BLOC | Lime | CLIMBSKIN | Parfait pour retirer les peaux mortes et éviter les « steak » | Je n’ai vraiment pas envi de m’arracher méchamment la peau en grimpant alors il vaut mieux s’enlever les peaux morte avec les limes. | Ce modèle de Climbskin est parfait, avec deux grain différents pour vraiment poncer ou alors rafraichir. |
PORTE MONNAIE | Porte monnaie tour de cou | SEA TO SUMMIT | Parce que j’ai vu Yoann le porter | Vraiment parfait pour trimballer ses papiers d’un sac à l’autre. | Très pratique, bien compartimenté et ne prend pas de place. |