Florian Desjouis nous emmène faire une sortie couenne dans les Hautes-Alpes.
Information sur cette sortie couenne dans les Hautes-Alpes
Lieu
France, Provence alpes côtes d’azur, Hautes Alpes, Briançon (05100)
Depuis Montpellier :
Montpellier => Briançon : 4h34, 379 km, 22 euros de péage.
Participants
De nombreux partenaires au cours de ces dernières années..
Où dormir
Différents campings à Briançon et dans ses environs :
- Briancon-Vauban
- Camping-Iscledeprelles
- Camping 5 vallées
Où se restaurer/où se réapprovisionner
Briançon est une petite ville de 12000 habitants donc tout ce qu’il faut. En effet, supermarchés, station-service, boulangeries, magasins de grimpe, bar, restaurant, toutes sortes de magasins si une folle envie de consommer vous prend.
Office du tourisme
Briançon
Toutes les infos concernant les événements dans le secteur : Pays des Ecrins.
Quoi faire d’autres dans les Hautes-Alpes :
Bibliographie
« Escalade en Briançonnais, Haut val Durance, Queyras », par Yann, Martine et Jean Jacques Rolland. Le topo de référence pour la falaise et les grandes voies équipées dans ce coin-là.
Lien internet
Quelques photos de rocher gafouille, entre autres.
Séjour escalade sur les falaise de couenne dans les Hautes-Alpes
Couenne au Rocher Baron :
Caillou : Quartzite
Profil : majoritairement dalle et vertical, dévers pour les voies dures
Nombre de voies : une soixantaine
Niveau : du 4b au 7c, peu de voies en 7 (un 7a, un 7b+ et 2 7c), majoritairement de 6 mais largement de quoi faire dans le 4 et le 5.
Orientation : Ouest pour le secteur « face ouest », sud pour les secteurs « quand on a que l’amour » et « la sieste au soleil »
Accès pédestre : 10 petites minutes pour le secteur « face ouest », 1 min pour les secteurs « quand on a que l’amour » et « la sieste au soleil »
Accès routier : 20 min depuis l’argentière la Bessée, 15 min depuis Briançon.
Couenne au rocher Baron dans les Hautes-Alpes voies faites :
Secteur face ouest :
- « Joulik », 6c, voie n°8 : jolie voie où l’on négociera le mieux possible les rondeurs physiques de la deuxième partie, la plus raide. En conclusion, jolie.
- « Ivoucki », 6c, voie n°9 : la voisine de droite qui ressemble à Joulik.
Secteur « quand on a que l’amour » :
- « Dernière danse », 6c+, voie n°5 : jolie petite voie se jouant sur une séquence relativement courte d’une petite dizaine de mouvements en fin de longueur. Conclusion, intéressante.
- « Quand on a que l’amour », 7a, voie n°1 : jolie voie assez physique, pour un effort assez continu.
- « Chaque heure et chaque jour », voie n°2, 7b+ : effort de résistance ponctué de mouvements plus durs, assez teigneux mais la voie est néanmoins intéressante.
- « Pour qu’éclate la joie », voie n°3, 7c : du même style que la précédente, effort un peu plus long.
- « Je n’ai qu’une seule vie », voie n°9, 6b+ : jolie voie intéressante, cotation pas trop vache il me semble…
Secteur « La sieste au soleil » :
- « Vive la vie », 5c, voie n°8 : superbe envolée, très jolie voie dans ce niveau.
- « Pas de bille », 6a, voie n°7 : du même acabit que la précédente, pas moins belle, très joli caillou toujours.
- « Affirmatif yaka », 6c, voie n°13 : voie technique avec une section assez dure dès les premiers mètres. Et il faut gérer l’effort ensuite… Jolie.
- « Le toit », 6b+, voie n°16 : voie déroutante, il faut valoriser des prises genres strates verticales dans un dévers qui ne laisse pas trop le temps de se poser de questions. Donc pas si facile.
Une piste poussiéreuse qui vous chahute un peu, mais cette belle forêt fleurie, ces grands pins transpercés par la lumière nous font vite oublier nos lombaires tassées. Du coup, nous partons ce soir pour le glacier noir, quelques jours au cœur d’une montagne qui impressionne, qui met à l’épreuve. Nous venons profiter d’une autre montagne aujourd’hui, plus facile, celle des prairies multicolores, des chalets perdues au bout du chemin, du soleil éclatant qui rayonne de tout son astre, et de la sieste au pied des voies : on ne négligera aucune source de plaisir…
Ainsi un caillou original, des voies faciles de belles ampleurs, des voies plus dures assez résistantes, tout le monde y trouvera son bonheur, le temps d’une journée en tout cas.
Les Ayes Couenne dans les Hautes-Alpes :
Caillou : Calcaire
Profil : Dalle, vertical, léger dévers
Nombre de voies : une soixantaine
Niveau : du 5a au 8a, un seul petit secteur avec quelques voies entre 5b et 6a, il faut être à l’aise dans le 6 minimum pour se faire plaisir dans les autres secteurs.
Orientation : ouest et sud-ouest en fonction des secteurs
Accès pédestre : Entre 5 et 15 min en fonction des secteurs
Accès routier : 15/20 minutes depuis Briançon, 35 min depuis l’Argentière la Bessée.
Couenne Les Ayes dans les Hautes-Alpes voies faites :
Secteur « l’eau vive » :
- « La baleine », 6c, voie n°2 : joli caillou, pour une voie assez technique.
- « L’eau vive », 6c+, voie n°7 : bel effort de résistance, longue, pas si évidente, on louvoie autour de la ligne de points donc pas mal de mouvements au bout du compte. Donc beau caillou compact.
- « Heidi reine des montagnes », 7a+, voie n°18 : très jolie voie technique et variée, fissure et mur raide sont au programme. Pour conclure a faire.
- « Un cœur pour 2 », 7b+, voie n° 19 : très jolie voie se déroulant sur 2 sections assez résistantes et bien techniques (surtout le haut, pas facile à décrypter à vue), entrecoupées d’un repos médiocre.
Secteur « L’oiseau lyre » :
- « Petite fumée », 7a, voie n°6 : voie très bloc dans un caillou très fracturé assez moyen. En conclusion peu recommandable.
Secteur « grand corps malade » :
- « Le bonheur est dans le dièdre », 6a : très jolie voie technique, entre dièdre et dalle, rocher bien compact, très bien équipée (prenez un bon paquet de dégaines).
- « Barracan », 6b, voie n°1 : une escalade assez exigeante en dalle, cela fait toujours du bien de réviser ses bases techniques.
Didier nous attend sagement sur le bord de la route, à prendre le soleil après une nuit un peu courte et mouvementée. Parti pour le pilier sud de la barre noire, la météo capricieuse l’a fait lever toutes les heures de 3h à 5h du matin, on lui tolérera quelques cernes. En effet, les hauteurs sont recouvertes d’un manteau blanc qui contraste avec le bleu du ciel, le mauvais est passé, le soleil illumine et contre balance le froid piquant et surprenant de ce matin de juin.
Ainsi, nous remontons lentement cette belle vallée, encore et toujours l’impression de découvrir un havre de paix, un petit coin de paradis, qui sent bon le bois fraîchement coupé et l’herbe grasse. Juste le temps de traverser ce petit torrent, les pieds sur des rondins de bois solidement amarrés aux rivages, et de serpenter quelques mètres dans ce petit bois, que nous arrivons au pied des grands murs compacts du secteur « l’eau vive ». Aussitôt et nous sentons que nous allons passer une bonne journée, un lieu apaisant, une belle journée de falaise en perspective.
Il est encore un peu tôt, nous sommes les premiers, le silence règne hormis quelques pépiements qui prennent place au fur et à mesure du lever du jour.
Les longueurs s’enchaînent, techniques, souvent assez longues, le plaisir attendu est au rendez-vous : encore une belle journée dans les Ecrins…
chemin du Roy Couenne dans les Hautes-Alpes :
Caillou : Sublime calcaire !!
Profil : Dalle vertical et léger dévers
Nombre de voies : une trentaine de longueurs
Niveau : du 5+ au 8a+, les voies sont généralement bien exigeantes, avec des cotations plutôt sèches, pour une escalade technique, exigeante. Mais c’est sublime ! Pour des grimpeurs étant à l’aise dans le 6b/c à vue minimum. Majoritairement des voies dans le 7, mais pas que…
Orientation : Sud-ouest
Accès pédestre : 30/40 min environ depuis le parking après le pont de l’alpe.
Accès routier : 20/25 min depuis Briançon
Couenne du chemin des Roy réalisées :
- « Le dièdre à part », 6a, voie n°29 : pas la plus jolie, rocher un peu plus fracturé que le reste du secteur, et pas si facile pour la cotation.
- « Mazette…l’écaille », 6b, voie n°27 : très joli caillou pour une voie assez exigeante pour la cotation. Superbe !
- « Jano intégral », 6c, voie n°22 : Le caillou est toujours aussi excellent, très technique, vraiment superbe.
- « Le jet d’aïe », 7a+, voie n°21 : Ainsi, la plus jolie de la journée ! En effet, calcaire superbement sculpté, qui passe de l’orange au bleu en passant par le rouge. Cotation un peu moins vache que les précédentes.
- « Trou d’la balle », 7b+, voie n°17 : caillou de qualité inférieur aux précédentes mais néanmoins intéressante. De nombreux trous à négocier et valoriser au mieux, un bel effort, assez long. Pas facile.
Sur la route du Lautaret
Nous remontons cette route saturée du Lautaret au cœur de l’été : victime ou bourreau, notre statut évolue au grès de la rencontre de cyclistes, de motards ou de campings cars. Un peu oppressant de se retrouver dans une circulation aussi dense, nous n’avons pas quitté Montpellier pour se retrouver dans un chahut qui nous est si familier.
Nous nous arrêtons sur le parking évidant, déjà quelques voitures mais pas de panique, c’est ici le point de départ de nombreuses grandes voies et randonnées.
Nous traversons cette route au pas de courses, de peur de se faire écraser par ces trop nombreux motards, sans peur ni reproches, qui sillonnent ce formidable terrain de jeu, le leur, qu’est la montée au col.
L’approche est un peu plus longue aujourd’hui, mais cela nous rassure : 40 min, le temps de prendre un peu de distance avec tout ça, de quitter une atmosphère pour en rejoindre une autre. Un sentier raide et poussiéreux au milieu d’une belle forêt de pins, le dénivelé se fait croquer à grand pas, jusqu’à rejoindre ce superbe sentier en balcon : ça y est nous dominons ce long serpent de goudron qui bourdonne encore un peu, mais nous n’avons pas fini de prendre nos distances. Une petite sente raide rejoint le pied de cette grande muraille compacte, nous longeons gaiement ce calcaire prometteur, déjà contents de faire une jolie ballade.
Au pied des voies, l’excitation monte un peu, le calcaire semble aussi beau que les promesses du topo : les chaussons ne sont même pas enfilés qu’une partie du programme est déjà décidé !
En somme, le calcaire est exceptionnel, un petit goût de Taghia par moment : c’est raide, technique, adhérent, joliment sculpté, une escalade exigeante où l’on se concentre dès le 6a.
Ainsi quelques locaux viendront animer un peu le secteur, reléguant un peu plus encore au registre de mauvais souvenirs « l’autoroute » du fond de la vallée, bien loin de nous à présent.
Couenne rocher gafouille dans les Hautes-Alpes :
Caillou : Calcaire
Profil : +/- vertical
Nombre de voies : une quarantaine
Niveau : du 2b au 8a. un secteur initiation (des voies en 2, 3, 4, 5 et 6a), un secteur de niveau plus élevé (du 5c au 6c avec un 7b en prime) et un secteur plus dur avec majoritairement des voies dans le 6 et le 7, assez également réparties.
Orientation : ouest nord-ouest
Accès pédestre : Quelques minutes
Accès routier : Une dizaine de minutes du centre de Briançon, une demi-heure depuis l’Argentière.
Voies réalisées au secteur rocher gafouille :
Secteur gauche :
- « Les cachis », 6b/6b+, voie n°16 : un départ tonique, qui s’apaise jusqu’à atteindre le mur final.
- « Chorus », 6b, voie n°15 : Voie intéressante bien qu’un peu décousue avec un crux déstabilisant dans le haut.
- « Papouse », 6c, voie n°2 : joli caillou, très compact. Bombés teigneux à négocier.
- « Pourvu que ça dure », 6c, voie n°5 : superbe voie, très beau caillou et bel effort de continuité. A faire !
Un jour sans entrain, c’est comme cela que ça commence. En fait, une journée où l’on y va à reculons, un peu, d’autres envies, surtout. Ou plutôt peu d’envies si ce n’est celles de la flânerie, succomber à des plaisirs faciles, laisser s’évaporer les pensées, pensées qui se diluent et se dispersent au grès des imprévus.
Mais nous sommes dans les Hautes Alpes et nous ne sommes pas venus pour ça, pour de la flânerie : nous ferons les choses, simplement, sans se presser.
Et notre insu, la première voie ne se fera que tardivement, trouver la bonne rue et le bon lotissement à traverser, se lancer sur la bonne piste qui nous conduira à bon port : définitivement une journée qui ne sera pas placée sous le signe de l’efficacité. Tant pis, il y a des jours sans, ce jour en fera partie.
Nous appréhendons un peu la qualité de ce caillou si proche de Briançon, si proche de la ville, un site citadin, souvent synonyme de patine… L’approche est courte mais néanmoins agréable, une forêt de grands pins, un sentier tapissé d’aiguilles. Si les voies ne nous contentent pas, le cadre fera l’affaire.
C’est un caillou très compact qui nous accueille, une escalade technique, plutôt à doigt, pour des efforts de résistances assez toniques. La patine est à peine perceptible et en aucun cas gênante, l’envie croit tout au long des voies, sans grandes ambitions si ce n’est celle de se faire plaisir.
Un site de couenne dans les Hautes-Alpes sans prétention mais qui conviendra parfaitement aux demi-journées efficaces d’escalade, une jolie petite étape dans tous les cas.
Conclusion de cette sortie couenne dans les Hautes-Alpes
Une illustration parfaite de la richesse et de la variété de cette si belle région : le quartzite déroutante de Rocher baron, le merveilleux calcaire du Chemin du Roy (certainement un des plus beaux cailloux des Hautes Alpes), le calcaire très compact de rocher Gafouille, la calcaire un peu plus fracturé mais néanmoins très agréable à grimper des Ayes. Et à chaque fois un cadre enchanteur, des forêts de pins qui bordent des prairies accueillantes. On s’y sent bien, tout simplement…
Matériel utilisé pour cette sortie couenne dans les Hautes-Alpes
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
CHAUSSON D’ESCALADE | APACHE | ANDREA BOLDRINI | – Super précis – Confortable | Nikel | Des chaussons que j’ai pris taillé assez petits pour la couenne et je me régale : un confort tout à fait honnête pour une précision vraiment très appréciable. Malgré que je pensais ne pas quitter mes katana LA SPORTIVA, je nuance, à chaque chausson son domaine. Les katanas conservent tout de même la palme de la polyvalence ! |
BASKET | ARPENAZ | DECATHLON | – bon marché – robuste | Très bien | Finalement, un rapport qualité prix qui semble excellent, il faudra voir concernant sa durée de vie… |
SHORT | DÉCATHLON | RAS | |||
T-SHIRT | LAINE MERINOS 260 | ICEBREAKER | Très bon apport de chaleur – 1 détail : l’encoche pour placer le pouce dans la manche => mine de rien, quand il fait frais, ça couvre un peu plus de surface et ferme franchement les écoutilles : efficace | Tout à fait adapté | Je le garde, sans aucun doute. Effectivement en France, je l’utilise à toutes les sauces : salles, couenne grande voie, ski… Il a sa place partout. J’ai payé un peu cher mais je ne regrette pas. Le prix reste excessif tout de même… |
SAC À MAGNÉSIE | LE YÉTI | RAS | J’achèterai le cocoon clic clac de chez BEAL : il a une fermeture plus simple et hermétiques que le serrage avec cordon. | ||
LUNETTES DE SOLEIL | PANORAMIQUE | LOUBSOL | – bon rapport qualité prix – bonne protection pour les visages fins | RAS | En effet, des lunettes bon marché, qui sont adapté à un grand nombre de situation avec un maintien au visage très correct pour les visages fins, indispensable en escalade. Sauf que elles sont un peu fragiles : l’encoche qui permet de lier les branches au reste de la lunette casse assez facilement. |
MICROPOLAIRE | R1 | PATAGONIA | – apport de chaleur correct – très confortable (membrane souple, intérieur doux) – assez bien taillée, bien que le diamètre des manches soit un peu trop important, je flotte un peu (pour moi, mais je suis fin …) | Tout à fait adapté | Je le garde, sans aucun doute. En France, je l’utilise à toutes les sauces : salles, couenne grande voie, ski… Il a sa place partout. J’ai payé un peu cher mais je ne regrette pas. |
BAUDRIER ESCALADE | SAMA | PETZL | – Confort – Bon marché | Tout à fait adapté | Baudrier qui répond à mes attentes.En effet, plutôt léger, confortable (en couenne comme en grande voie. Et j’arrive à l’enfiler avec mon pantalon d’alpinisme malgré les jambières non réglables. Je reprendrai donc le même. |
DÉGAINES | ANGES | PETZL | Poids !! | Plus ou moins : le mousquetonnage n’est pas si évident sur ces petits mousquetons. De plus lorsque l’on arrive au taquet et que l’on veut s’agripper à la dégaine, la sangle est vraiment très étroite ! C’est un modèle plus adapté à la grande voie et la montagne qu’à la couenne. | Si c’était à refaire, je me renseignerai sur les dégaines CAMP, la nano 23 express : plus légère encore (52 grammes), à voir si le clippage est plus aisé. Donc je reprends les anges. Mais la version avec le mousqueton de clippage plus grand, et en grande taille majoritairement. Par ailleurs, je m’orienterai vers ce type de dégaines light, le gain de poids est considérable. Particulièrement intéressant en montagne et grandes voies, ainsi que pour les à vue en couenne. |
SYSTÈME ASSURAGE | GRIGRI | PETZL | – Facile d’utilisation – Permet de donner le mou rapidement, par rapport à d’autres systèmes d’assurage | Idéal | Une référence mais quelques bémols : – Les diamètres de cordes trop fines ne sont pas conseillés – Poids – volume Tous les défauts évoqués ici sont résolus dans le grigri II. Donc ce serait à refaire, je prendrai ce dernier |
LUNETTES D’ASSURAGE | CU | POWER N PLAY | – Tellement plus confortable en falaise – Je suis beaucoup plus attentif à mon grimpeur : je le suis du regard en permanence | Vraiment confortable | Très utile en en extérieur dans des voies un peu longue, dans des essais qui s’éternisent, dans des voies au dévers prononcé… Peu d’intérêt en salle où les voies sont courtes, et les essais aussi. Dans tous les cas, je ne regrette pas mon achat. |
SAC À CORDE | ROPE BAG | SALEWA | – Assez compact – Grande surface au sol quand il est déplié | Bien | Donc, un bon sac à cordes, pratique. Bien confortable d’avoir une grande surface au sol quand il est déplié, pour que la corde ne traine pas dans la poussière, et nos shorts, pantalons et chaussons non plus. |
CORDE | CRISTAL | MILLET | – Bonne durée de vie – Agréable à manipuler | Tout à fait adapté | Je garde celle-ci : je ne céderai pas à la mode des cordes fines car bien qu’extrêmement agréable à manipuler (fluide, légère) leur durée de vie est quand même assez réduite. |
SAC À DOS | PEUTEREY | MILLET | – confortable – bon serrage ventrale – poche à crampons extérieurs (très bien pour mettre le thermos aussi) – simple et sans fioritures – solide | Tout à fait adapté | Pour conclure un sac à dos tout terrain qui répond à beaucoup de mes attentes : ski de randonnée, randonnée à pied, couenne. Ainsi, un volume et une organisation qui le rend polyvalent. Sauf concernant les tiges rigidifiant le dos qui ont la fâcheuse tendance à sortir de leur emplacement : un peu pénible. |