Voyage collectif itinérant la Groupe avec la descente de la Loire en canoe. Ce petit récit a pour but de vous faire revivre le camp (ou celui de vos enfants)… Il n’a pas la prétention d’évoquer toutes les situations de ces 8 jours (bien trop nombreuses), mais plutôt de vous partager les moments de vie, les galères et les joies… Bref, ce qui a fait ce camp ! Récit écrit par François Struys. Photos : François Perniaux. Carnet offert par le collectif Kéfaré !
Présentation de la descente de la Loire en canoe
Date de la descente de la Loire
Du 19 août 2016 au 26 août 2016
Lieu
France, département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté
De Diou à Nevers sur la Loire.
Depuis Montpellier à Nevers : 514km, 5h14 en voiture via A75.
Participants à la descente de la Loire en canoe
5 animateurs :
François (Francky), François, Damien, Vincent et Charlotte.
22 jeunes de 12 à 19 ans :
Julien, Clothilde, Gaia, Amara, Adrien, Jonathan, Tom, Pierre, Louis, Moïse, François, Jason, Bélize, Binta, Daniel, Lucas, Pauline, Line, Agathe, Marceau, Robin, Adam.
Où Dormir durant la descente de la Loire en canoe
En bivouac le long de la Loire.
Où se ravitailler durant la descente de la Loire en canoe
Nevers, Diou et Decise.
Une grande partie de la nourriture était achetée à l’avance.
Caractéristiques de cette descente de la Loire en canoe
80km de descente de la Loire de Diou à Nevers.
Durant notre périple nous n’avons pratiquement rencontré personne. Nous avions l’impression d’être seul au monde.
Lien Internet pour la descente de la Loire en canoe
Récit de la descente de la Loire en canoe de Diou à Nevers
Vendredi 19 août 2016 : le grand départ !
Il est 8h30 ce vendredi matin. Une douce lumière beigne la place de Vierset-Barse dans une sorte de quiétude apaisante… Les premiers jeunes, accompagnés de leurs parents arrivent les uns après les autres. Les sourires sont légions en ce début de journée et les parents, vite rassurés. On fait le tour, on prend des nouvelles et les papiers, on découvre les sacs de tout le monde et on commence à charger dans les camionnettes… Nos trois camionnettes 9 places seront vite et bien remplie de tout ce qui doit nous permettre de vivre durant une semaine. Les tentes et les sacs de couchage pour dormir, les casseroles, des vivres de base que l’on tentera d’accompagner au mieux durant le séjour et beaucoup de bonne humeur !
9h15 : c’est parti ! Les camionnettes rugissent de plaisir et nous sommes prêts à avaler les quelques 600km qui nous séparent de Nevers. Les jeunes, qui ne se connaissent pas encore tous vraiment, se placent chacun dans le véhicule de leur institution. La découverte des autres se fera plus tard.
Pour rester liés entre nous, nous testons nos supers talkies-walkies… Enfin, les jeunes s’amusent particulièrement avec ces petits gadgets !
Les heures passent, les kilomètres aussi…
L’arrivée à Nevers
17h20 : arrivée à Nevers ! Nous faisons connaissance avec le bureau des guides de la Loire et ses très nombreux guides ! Nous organisons notre soirée et la journée du lendemain… Première surprise : notre bonbonne de gaz a voulu rester en Belgique et passera donc la semaine bien au chaud dans le coffre de la voiture de François ! Mais avec Kéfaré, il n’y a pas de problème, que des solutions… Ni une, ni deux, Damien s’empresse d’aller en acheter une nouvelle… On se rendra compte plus tard que le tuyau de gaz ne correspond pas à notre détendeur ! Il était écrit que nous allions vivre une semaine en véritable autonomie…
Après avoir récupéré nos rames et nos gilets de sauvetage, nous nous rendons au Bec de l’Allier pour notre première nuit en bivouac. Une belle plage rien que pour nous… On monte les tentes et pour certains, c’est déjà l’apprentissage qui commence ! Première petite réunion pour expliquer nos traditionnelles règles de vie : on prend soin de soi, des autres et du lieu qui nous accueille…
Premier repas, premier feu, première nuit sous les étoiles… Demain, les choses sérieuses commencent et nous avons hâte !
Samedi 20 août 2016 : premiers coups de pagaie
Toujours dans la civilisation, nous sommes tenus par des horaires aujourd’hui. Nous avons un bus à prendre qui doit nous conduire jusqu’à Diou, ville de départ de notre périple. La Belgique ne veut pas nous quitter et c’est donc sous la pluie que nous rangeons notre campement. Nous prenons néanmoins le temps d’expliquer à tout le monde la technique pour bien replier sa tente et nous tentons de placer les affaires de chacun dans les fûts étanches. N’ayant reçu que 15 fûts en lieu et place des 27 que l’on pressentait, il nous faut faire le deuil de certaines de nos affaires qui resteront bien sagement dans les camionnettes.
Tout est en place dans la soute du car… Une bonne heure de sieste plus tard, nous arrivons à Diou, toujours accompagnés par ce temps bien belge. Premières petites courses pour dîner puis une longue attente commence… Nos canoës vont-ils arriver ?
Ils arrivent, enfin… Et avec eux, les premiers rayons de soleil… Tout se met en place.
Notre erreur du jour ? Proposer au guide de nous donner une petite (in)formation avant de démarrer… 45 minutes plus tard, nous essayons de réveiller tout le monde pour nous mettre en route ! Les embarcations se succèdent… On installe les jeunes et on partage tout le matériel… Tout doit rentrer ! Pendant ce temps-là, Vincent, parti le premier, nous montre en moins de 10 minutes tout ce que l’on ne peut pas faire… Et notre guide de répéter inlassablement : « on ne peut pas nager dans la Loire », « il faut toujours garder son gilet »,
« on doit toujours rester dans son bateau »… Merci Vincent de mettre en actes les théories parfois un peu nébuleuses…
Départ des canoës pour la descente de la Loire en canoe
Le dernier canoë glisse dans l’eau, on se regroupe et on rappelle à tout le monde d’être vigilant, attentif et de faire l’inverse de ce que fait Vincent !
Une demi heure plus tard, un premier obstacle s’offre à nous. Sur le topoguide, il est bien stipulé : « KM 32 : Bec de Besbre : seuil rocheux. Passage délicat (classe 3). Repérage obligatoire, passage à la corde ou portage rive gauche conseillé. » À peine démarré que l’on découvre les joies des informations précises du topoguide… Alors on repère… On teste… Un canoë à gauche… Un à droite… Un avec la corde et un sans… On trouve finalement ce qui nous semble être la meilleure et la plus sécurisante des options. Nous franchirons cet obstacle sans accroc mais sans être sûrs non plus que c’était la marche à suivre !
En étant parti vers 15h de Diou et en ayant perdu un peu de temps au Bec de Besbre, il est temps de commencer à chercher un endroit pour s’arrêter pour la nuit… Pour être honnête, ce ne sera pas notre meilleur ! Mais on découvre et on apprend !
L’endroit n’est pas très pratique pour sortir les canoës de l’eau et les herbes sont fort hautes pour planter les tentes. Mais on est bien !
Chacun s’installe le sourire aux lèvres… L’heure de préparer le repas arrive… très vite suivie par l’heure où l’on se rend compte de impossible connexion entre le tuyau de gaz et le détendeur. Le début d’une semaine de cuisine au feu de bois a commencé ! Et les expériences continuent… Ce soir, Franky fait découvrir la dégustation de sauterelles… Un peu timorés au début, certains se sont finalement complètement pris au jeu pour en déguster par dizaine. Même les plus récalcitrants finiront par tester la chose. Entre nous, si vous fermez les yeux, on dirait des chips au sel !
Du dimanche 21 août 2016 au mercredi 24 août 2016
4 jours de vie, de découvertes et de nature éblouissante.
Ces 4 journées sont regroupées dans ce récit tant elles ont été similaires et complètement différentes à la fois… Nous avons assez vite trouvé notre rythme de croisière : tranquille ! Parfois un peu trop au goût de certains mais se laisser emporter par le calme courant nous a permis de sortir des infernales obligations quotidiennes qui dictent nos vies à une vitesse hors norme… Alors, pour une fois, on s’est laissé aller ! Notre journée type ressemblait un peu à ça :
– entre 7h30 et 9h30 : lever et déjeuner. On range sa tente, on replace ses affaires dans les fûts étanches et on réorganise nos canoës pour repartir…
– 10h-10h30 : départ pour 2 ou 3 heures de canoë.
– 12h30-13h : pause dîner puis en route à nouveau pour quelques coups de pagaie…
– 16h-17h : on trouve une plage rien que pour nous, on s’installe, on profite jusqu’au lendemain matin où tout recommence…
Durant ces quelques jours, le soleil nous a de plus en plus accompagné, rendant notre trajet lumineux, nous obligeant à nous badigeonner de crème et à, de temps en temps, piquer une tête pour se rafraîchir. Quel contraste avec le camp de l’année dernière où K-way et pantalons cirés étaient de rigueur…
On nous avait mis en garde sur les dangers de la Loire (tourbillon possible, sable mouvant) mais la faible quantité d’eau nous aura rendus la tâche moins périlleuse. Le seul petit défi était de bien naviguer et de choisir les bonnes courbes pour ne pas rester coincés sur un lit de gravier. On finit d’ailleurs par se prendre au jeu. Chacun choisit sa voie, on compare, certains choisissent mieux mais au final, tout le monde arrivera à bon port.
Durant cette semaine, nous aurons avancé à notre rythme, sans nous presser ni nous tracasser d’une obligation d’arriver à un endroit précis pour dormir. Le bivouac « sauvage » étant autorisé sur les berges de la Loire, il nous suffisait d’attendre la plage qui nous tendait les bras. Et nous en avons trouvé des endroits hors du temps, qui nous donnaient cette somptueuse impression d’être seuls sur terre. -vite au nous dictent -replace pour quelques on –se way tourbillon -naviguer lit choisit le nous -berges tendait qui terre.
Nos seules exigences étaient d’avoir du bois pour faire le feu et cuisiner, suffisamment d’endroits discrets pour nos besoins naturels et un espace plat pour planter nos tentes. Une fois trouvé, nous n’avions plus qu’à nous installer et profiter ! Et profiter, nous l’avons fait… Entre baignades, foot improvisé, partie de catch clandestin dans le sable à la lueur d’une lampe de poche et séances de massage à la chaîne, chacun a pu trouver son bonheur…
Nos soirées aussi ont été intenses… Un feu au centre de notre campement et cela donne le ton. Nous avons résisté aux demandes incessantes de certain de faire un feu de leur côté. Le feu, nous le voulions rassembleur. Et il l’a été ! Cette magie des flammes qui envoûte celles et ceux qui se sont réunis. On parle… On chante… On tape sur des casseroles pendant que d’autres dansent… On s’arrête un moment et on lève la tête… Quelques instants où l’on envoie nos bienveillantes pensées vers ce ciel illuminé d’étoiles. Un moment suspendu où l’on pense à ceux qui veillent sur nous. Un moment simple mais tellement chargé de ces émotions que l’on tente, parfois, un peu trop de refouler… Pouvoir s’arrêter de parler, de crier et juste contempler cette nature qui nous rend toutes et tous un peu poète…
Une nature qui nous aura envoûtée pendant tout le camp… Durant nos avancées diurnes avec ces paysages uniques qui s’offrent à nous. Durant nos moments nocturnes où, tout à coup, la lune fait son apparition, reflète sa lumière dans l’eau et nous invite à la contempler… Parole de Damien, nous avons rarement vu une lune si belle… Et jusqu’à 11h le lendemain, elle nous suivait comme pour nous protéger et nous guider…
Et puis, il y a eu des moments plus terre-à-terre durant cette semaine pourtant bien aquatique… En vrac et dans le désordre :
– Damien et Franky qui font du stop à 7h du matin pour aller faire les courses car la veille, c’était dimanche et on l’avait un peu oublié ! Pour finalement tomber sur une très sympathique dame qui, touchée par la lourdeur de leurs sacs, décide de les ramener…
– Une petite frayeur, quand même, avec un bateau qui se retourne et la tête d’un de nos jeunes un peu paniqué qui sort de l’eau, s’agrippe à une branche et ne veut plus la quitter. Un animateur qui vole à sa rescousse et qui, en tentant de s’accrocher à la branche, la casse et renvoie le jeune à l’eau… Mais, au final, plus de peur que de mal !
– Une journée à l’envers où, une fois sur terre, ce sont les jeunes qui prennent les choses en main pour la collectivité et les animateurs qui n’en touchent pas une ! L’idée étant de faire participer tout le monde aux tâches communes. Pas de chance pour eux, c’est couscous au menu du soir et au feu de camp, ce n’est pas évident. Merci à Charlotte et Vincent d’avoir sauvé les meubles en fin de cuisson !!
– Des oréo qui disparaissent et réapparaissent fondus fin de journée…
– Le barrage de Decize, seul moment réellement galère du camp. Où quand, tout à coup, l’avantage d’avoir l’eau qui porte nos affaires disparaît… Il faut vider les embarcations, porter le tout en contrebas et pousser les canoës sur un petit pipi d’eau stagnante, infestée de petites bestioles, le tout sous une chaleur à faire tomber… Heureusement pour nous, ce fut le seul barrage du voyage !
– Le souper du mercredi soir appelé « Les pâtes aux restes ! »
– Du riz au lait pour déjeuner… Chacun ses goûts !
Nous sommes mercredi soir, nous avons bien avancé et il ne nous reste que quelques kilomètres à faire le lendemain pour arriver à Nevers. On profite de ce moment qui a comme un air de dernière soirée. On sent les jeunes plus proches que jamais les uns des autres. On sent cette excitation caractéristique d’un dernier soir. On se remémore déjà quelques moments du camp. Et pourtant, ce n’est pas encore fini… Nuit à la belle étoile pour certains et un lever en mode « gueule de bois », tous encore un peu ivre de cette paisible aventure…
Jeudi 25 août 2016 : les derniers coups de pagaie et le retour dans la civilisation
6km ! Voilà ce qu’il nous reste à faire ! Il est temps que l’on arrive à destination. Pagayer c’est bien 5 minutes mais il ne faut pas abuser ! On cherche désespérément l’ancien pont des Américains mais il est tellement ancien que les seuls vestiges sont 3 pilasses en bois qui dépassent à peine de l’eau. On aperçoit le pont de l’autoroute, on se rapproche. Nous arrivons à Nevers et débarquons au camping, endroit où nos chers guides doivent venir rechercher leurs biens…
Nous vidons nos canoës, nous les sortons une dernière fois de l’eau… Nous récupérons nos affaires… Et nous disons au revoir à nos deux supers animateurs Charlotte et Vincent qui doivent reprendre la route plus tôt. C’est toutes et tous le coeur serré que nous les accompagnons. La vie leur aura pris un ami cher durant ce camp et nous espérons que les rires de la semaine les auront accompagnés durant cette épreuve !
Nous revoilà donc au milieu des voitures, dans les grands magasins (où les jeunes font preuve d’une étourdissante capacité à acheter des trucs dégueulasses !) entourés d’autres êtres humains. Alors très vite, on retourne sur notre première plage. Et quelle ne fut pas notre surprise de découvrir que d’autres, sans gène, étaient venus squatter notre petit paradis… Nous ne sommes plus seuls, c’est maintenant une certitude.
Notre tradition avec Kéfaré est de terminer nos camps avec une bonne frite ! Mais bon, on est en France alors on s’adapte et on trouve un très chouette pub, avec des serveurs charmants et attentionnés, nous interdisant de prendre la commande pour les aider et nous invitant à profiter. Ca tombe bien, cela faisait longtemps ! Au menu : flammekueche ou hamburger maison. Que du bonheur !
Cette fois-ci, c’est vraiment la dernière ! Cette nuit, tout le monde dort à la belle étoile, pour profiter une dernière fois de ce ciel somptueux qui nous aura accompagné tout du long et pour être plus rapide dans le rangement le lendemain matin… Nous ne sommes plus seuls ! D’autres font la fête quelques dizaines de mètres plus loin… On se rend compte de la chance que nous avons eu durant toute la semaine…
Vendredi 26 août 2016 : Nevers – Vierset-Barse
Après avoir été expéditifs dans le réveil et le rangement, nous allons prendre un petit déjeuner sur la route du retour. Puis c’est parti ! Nous sommes agréablement surpris par la composition des camionnettes. Fini le chacun dans son « groupe » de base. Pour ce retour, tout le monde est mélangé ! On prend les camionnettes de départ, on secoue très fort et on obtient un groupe qui a appris à se connaître, qui s’est découvert…
On s’arrête sur la dernière aire d’autoroute avant d’arriver. On se réunit, une dernière fois avant de retrouver les proches… On fait le bilan de la semaine écoulée… Et quelle semaine ! Une expérience enrichissante, apaisante, humaine et naturelle. Des fous rires, des pleurs, des découvertes sur soi et sur les autres, des rencontres… Merci à tous et rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle expérience de vie !
Conclusion sur cette descente de la Loire en canoe
Le camp en quelques chiffres :
- 22 jeunes
- 5 accompagnants
- 10 embarcations
- 80,8km de descente en canoë
- 1300km de camionnette
- Des dizaines de boîtes de maquereaux consommées
- Des dizaines de millions d’étoiles dans notre ciel
- 4 retournements de bateau dont 3 volontaires !
- Plus ou moins 400 photos
- 1 barrage rencontré allons Nous camionnettes. monde fort découvert… réunit, –découvertes vous
Matériels utilisés pour la descente de la Loire en canoe
Chaque participant à ce voyage devait avoir un sac de voyage dans lequel il mettait son matériel personnel. Celui-ci ne devait pas dépasser 10kg.
Tentes légères de 2 à 3.
Chaque participant a droit à ½ tonneau étanche soit un tonneau de 50l pour 2.
Les tentes étaient stockées dans un gros coffre en plastique avec couvercle.
La nourriture était stockée dans des coffres en plastique avec couvercle idem pour le matériel de cuisine.
1 bidon de 35l + 3 bidons de 10 litres pour l’eau potable.
Le canoë semble être le bon choix pour ce type de voyage car on a beaucoup de place pour charger le matériel. Nous avions 9 canoës de 2, 3 et 4 places et un Kayak de 2 places
Il est impossible de détailler le matériel utilisé car il y a presque autant de matériel différent que de participants à ce voyage.
Matériel type de François P. (accompagnateur/animateur)
CATÉGORIE | MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX | CE CHOIX A-T-IL RÉPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
TENTE | Quickhicker 2 | QUECHUA | Le prix, La facilité de montage. la résistance à la pluie | Parfait .Attention toutefois tous les points d’encrages de la tente, doivent être placés pour la bonne tenue de la tente. Les bivouacs sur la Loire se font sur des plages de sables et les « sardines » ne tiennent pas toujours et la tente se laisse aller. Si pas de vent ok mais si il y a du vent et de la pluie… | Pour le bivouac sur du sable prendre un modèle de tente auto portante. |
SAC DE COUCHAGE | Forclaz 10°Light | QUECHUA | Le poids. le prix. | Parfait pour l’été. Sèche très vite. chaud. Matière agréable. Sac de rangement trop petit. | Le même mais plus grand. |
MATELAS | Matelas gonflable randonnée Forclaz air rouge | QUECHUA | Le prix. Le poids | A bien résisté, malgré les nuits à la belle étoile sur sol rocailleux. | Le même |
VESTE COUPE-VENT | Veste coupe-vent Forclaz 600 Light | QUECHUA | Le prix | parfait | La même |
LAMPE DE POCHE | Lampe frontal avec 2 piles AAA | Suffisant pour une dizaine de jours | La même | ||
BIDONS D’EAU DOUCE | 1 bidon de 35l + 3 bidon de 10l | Besoin d’une grande quantité d’eau pour le groupe. | La gestion de l’eau est gérable pour le groupe de 27 personnes. | Remplacer le gros bidons par 3 bidons de 10l car lorsque le ravitaillement est loin c’est lourd à transporter à pied. | |
CHAUSSURE D’EAU | Chaussure de randonnée ventilée Arpenza 200 fress rouge | QUECHUA | Légèreté,Prix,Polyvalence (rando, eau, respiration du pied) | Erreur. C’est une chaussure pour rando et par pour l’eau. Ne sèche pas et au bout de 3 jours elle pue (normal) | Prendre des vrai chaussure pour l’eau. |
CANOË | Canoë 2 places | CANOË FOURNI PAR LE LOUEUR. | Pour la facilité de la conduite.Pour la position assise. | Parfait. | Les mêmes |
0 commentaire
Super compte rendu. Merci.