Lucile NICOLOTTO et Bruno nous partagent leur séjour de grandes voies escalade dans les gorges du Todgha (Todra) au Maroc.
Pour bien préparer votre séjour ans les gorges du Todgha voici article conseils voyage au Maroc :
Information sur un séjour grimpe dans les gorges du Todgha
Dates :
Du 23 février au 06 mars 2018.
Lieu :
Maroc, Gorges du Todgha (Province de Tinghir).
Accès
- Montpellier => aéroport de Marseille (150 km).
- Vol RyanAir Marseille-Marrakech : 3h de vol – 517€ pour 2 avec 20 kg en soute (budget pendant les vacances scolaires, moins cher hors vacances).
- Bus ou taxi de l’aéroport à la gare routière de Marrakech.
- Car Marrakech-Ouarzazate puis Tinghir (8h, 130 dirhams par personne environ).
- De Tinghir, taxi collectif jusqu’aux gorges de Todgha (2/3 dirhams !).
Participants :
Bruno
Lucile
Où dormir :
Chez l’habitant !
Nous avons choisi l’improvisation et cela a payé : une rencontre, une chambre d’hôte fermée en cette saison, un « rabatteur » qui nous mène vers un restaurant… Un thé offert dans ce restaurant, la proposition d’aller loger dans sa famille un peu plus loin… Mais non, nous sommes bien ici, alors pourquoi bouger ?
Il nous aménagera donc une chambre à base de tapis : un lit en tapis, des oreillers en tapis, des étagères en tapis… « Comme la famille » !
Plus officiels, on trouve de nombreux gîtes et chambres d’hôtes autour des gorges du Todgha .
Les adresses des grimpeurs prévoyants, c’est chez Allal Fadili qui tient une auberge (contact par Facebook), et chez Julio Suarez, de « Aventures Verticales ».
L’hôtel des Roches et l’hôtel Yasmina, au fond des gorges du Todgha , ne sont plus que des ruines et de lointains souvenirs…
Pour ceux qui préfèrent louer une voiture, quelques campings à proximité, et possibilité de bivouac sauvage vraisemblablement bien toléré (au moins hors-saison !).
Où se restaurer/où se réapprovisionner dans les gorges du Todra :
Chez l’habitant, aussi !
Nous hôte Mohammed nous proposant une demi-pension délicieuse, nous ne sommes pas allés tester la concurrence !
Mais plusieurs hôtels restaurants sont présents à l’entrée des gorges. On peut également trouver tous les commerces dans la ville de Tinghir. Dans les gorges, les denrées disponibles se limitent à quelques chips et paquets de gâteaux.
Caractéristiques du massif :
Massif calcaire proposant un rocher sculpté et abrasif, les falaises des gorges de Todgha sont le paradis d’une escalade « vacances » : des couennes aux grandes voies (jusqu’à 350m), il y en a pour tous les goûts sur ce rocher extraordinaire !
L’équipement est par contre hétérogène : des voies à l’équipement moderne et rapproché aux envolées plus aventureuses.
Une spécificité : de nombreux itinéraires plus ou moins longs équipés dans un niveau IV/V… De quoi régaler les débutants ou les familles !
Meilleure saison :
Les différentes orientations permettent de grimper à Todgha quasiment toute l’année !
Il faudra se concentrer sur les parois à l’ombre en été et se mettre au soleil et à l’abri du vent en hiver, les meilleures saisons semblent donc de février à avril-mai et de septembre à novembre-décembre.
Activités dans les environs :
Les gorges de Todgha attirent de nombreux touristes : des bus déversent toutes la journée des cars de paparazzis qui contemplent ces falaises et achètent des tapis… Mais ils ne restent jamais bien longtemps !
Ces paysages et grands espaces incitent à la randonnée : aller de Tinghir aux gorges à pied en traversant la palmeraie (4h de marche) est déjà une belle entrée en matière.
Située entre les chaînes du Haut Atlas et du Jebel Saghro, Tinghir offre de nombreuses possibilités pour la randonnée pédestre : des simples promenades d’une demi-journée jusqu’aux traversées, tous ces sentiers offrent surement de magnifiques panoramas !
Enfin, la ville de Tinghir propose souks, jardins, mosquées et kasbahs : avec son architecture en terre crue, c’est déjà une invitation au voyage !
Bibliographie et topos :
Vous trouverez plein d’information sur le Maroc avec le guide de voyage Lonely Planet.
Le topo de référence est fort bien fait, et son l’achat contribue à l’équipement et au rééquipement des voies.
Guy Abert met également à disposition sur son site de nombreux topos : un formidable complément !
Et le classique : camptocamp !
Voies parcourues :
- Samedi 24 février :
Mansour Gauche – Tiwira 300m, 6b max, 5c oblig
- Dimanche 25 février, Une journée au Mur du Scorpion !
La voie du Scorpion 165m, 6c max, 6a+ oblig
Prisa Mata 150m, 6b max, 6a+ oblig
Berber 150m, 6b+ max, 6a oblig
- Lundi 26 février :
Paroi du Levant : Voie Tifégha (serpent en Amazigh) 250m, 6c max, 6b oblig
- Mardi 27 février :
Mansour Gauche : Coeur de Palmier, 160m, 6c max, 6a+ oblig
Pilier du Couchant : Voie Abert, 280m, 6a+ max et oblig
- Mercredi 28 février :
Patchwork Family : Polo del sol, 210m, 6b max
- Jeudi 1er mars :
Paroi du Levant : Tromba Bitonale, 300m, 6c+ max, 6c oblig
- Vendredi 2 mars :
Mansour Droite : China Perdida, 200m, 6c+ max, 6b oblig
Pilier du Couchant : SmoufonWeb, 150m, 6a+ max, 5c oblig
Pilier du Couchant : Chibania, 250m, 6b max, 6a oblig
- Samedi 3 mars :
Aiguille du Grabe : Pilier du Guetteur, 150m, 6b max, 6a oblig.
- Dimanche 4 mars : Une journée à l’Elephant !
Elephant 100m, 6b max, 6a+ oblig
Rachidia 100m, 6b+ max, 6a+ oblig
Curgunio cuito, 90m, 6b+ max, 6b oblig
- Lundi 5 mars :
Paroi du Levant : Hannah chez les grands, 320m, 6a max, 5c oblig
Escalade hivernale : notre séjour de grandes voies dans les gorges du Todgha , au Maroc.
Le légendaire accueil marocain
Après une longue journée de transfert, l’arrivée à Tinghir sera tardive. Mais c’est trop facile la vie dans ce pays : tu arrives à 23h rôti de ta journée d’avion et de bus, et là tu es accueilli comme un roi dans un hôtel forcément parfait vu la fatigue, et régalé de tajine, brochettes et lentilles revigorantes au bouiboui d’en face !
De bon matin, la gare des taxis collectifs trouvée, en route pour les gorges ! Sauf que, le minibus s’apprêtant à faire demi-tour une fois arrivé à l’entrée des gorges, nous nous rendons compte que nous ne savons pas bien où dormir…
Un gars nous mène à un hôtel, qui semble fermé. Mais l’ami d’en face guette, il nous alpague, nous offre un thé sur la terrasse…
Nous nous laissons porter, négocions un logement, des coups de fil sont passés au cousin, au beau-frère, mais sa maison est trop loin à notre goût : on est bien ici !
Il se mettra donc en quatre pour nous goupiller une chambre, et nous ne quitterons plus cette réjouissante terrasse !
La plage !
Avant de ne nous faire servir un énième thé, nous allons profiter de ces falaises ensoleillées : l’idée d’aller à la plage en hiver nous parle !
Le secteur « Mansour », à deux pas de la maison, c’est une escalade qui nous a chaque fois enchantés : ensoleillée dès le matin, cette paroi propose des envolées techniques sur un caillou abrasif à souhait !
L’approche est juste géniale : si nous choisissons le premier jour de quitter les baskets pour traverser la rivière pieds nus, nous longerons le plus souvent les rigoles, suffisamment concentrés pour ne pas se faire souffler par les rafales de vent !
Du levant…
La paroi du Levant, admirée à toutes heures depuis la terrasse du gîte où nous nous régalons de thé, est déjà envoutante à distance : tellement haute, tellement classe ! Avec son inscription en arabe au pied traduite par notre hôte : « Dieu, le Peuple, le Royaume »…
L’approche nous fait traverser le vieux village, cet amas de maisons en pierre crue, cet univers de bric, de broc, d’odeurs et de couleurs : pâles, mais aucunement fades !
Abritée du vent soufflant souvent violemment, cette paroi est surement celle qui nous a le plus séduis : par sa hauteur, sa qualité, son ampleur ! Et puis la vue, d’abord surplombante sur le village, s’ouvre peu à peu sur la vallée : splendide…
Plus haut, c’est même Tinghir et ses palmeraies que nous pouvons contempler : magnifique !
Le retour, non moins superbe, nous offre une balade sur le plateau.
Le (très !) jeune berger avec son troupeau a bien mérité un bonbon du haut de tout le courage et l’énergie de ses 5 ans…
Avant de trouver le raccourci le dernier jour, nous profitons de cette promenade à flanc, jusqu’à ce col au bout du monde qui ramène tranquillement à la maison… Où, à défaut d’apéro, le thé est prêt, pour changer !
… au couchant.
Quand le vent se calme, il est temps de revenir savourer les envolées dans les gorges !
Lieux des premières escalades locales (en 1977 !), ces falaises entre ombre et soleil proposent des envolées dans un style génial en murs cannelurés abrasifs, raides et surtout avec une super ambiance, perchés au-dessus des gorges.
Si les topos et croquis que nous avions étaient contradictoires, nous avons pris beaucoup de plaisir à nous élever toujours plus haut dans ces lignes à protéger : une grimpe à l’ancienne, sur les traces des pionniers !
Les voies Abert ou Chibania sont des lignes atypiques pour le coin, mais vraiment bien trouvées !
De l’autre côté des gorges ! Seuls au monde…
Si les critiques pleuvent sur la toile sur ce site qui ne serait plus « ce qu’il était » depuis la construction de la route… Nous avons trouvé la fréquentation bien moindre qu’imaginée !
Quelques cars déversent certes des centaines de japonais tout au long de la journée, mais, comme on est au-dessus…. Ils ne dérangent pas un brin : on est plus « gênés » par les tambourins des vendeurs que par les voitures ! Un côté folklorique, donc !
Une sensation de solitude est ainsi bien présente, surtout hors des gorges ! Le mur du scorpion, ou le secteur Eléphant, nous ont, de fait, enchantés !
S’il ne faut pas espérer rentrer à la maison avec des empreintes digitales tellement les lames de rasoir du rocher pénètrent les doigts, ces envolées de 3-4 longueurs sont des bijoux à savourer sans modération !
Une journée marathon et optimisation de la météo
Tandis que les nouvelles de France nous annoncent que les éléments se déchainent à la maison : grêle, tempête de neige, froid… Le printemps n’arrive pas là-bas ! Nous nous permettons quand même de faire les difficiles en se plaignant du vent qui nous oblige à stratéger les orientations de nos envolées !
N’empêche, une journée de beau et d’accalmie est l’occasion de nous concocter le programme rêvé : une voie à la plage, et une double-envolée de bas en haut des gorges !
Une approche en équilibre sur la rigole, une petite plateforme pour mettre les chaussons, une plagette en-dessous pour garder la corde au sec : China Perdida, notre voie du matin, sera encore une pépite ! Super caillou, grimpe en finesse, regard embrassant les palmiers…
Et puis il est temps d’aller voir en face, maintenant que c’est au soleil : on enchaîne les voies à l’intérieur du défilé en profitant de l’absence de vent.
C’est ben joli, ça envoie quand même un peu pour la cotation, et quelle ambiance !!! Si le départ encore au ras de l’eau attire les touristes et les photographes, dès que l’on s’élève, plus personne pour vous embêter à part peut-être quelques écureuils de l’Atlas qui dévalent les 6a/b en gambadant et se riant de nous !
Chibania
Chibania sera le clou de la journée, pour le coté historique, la grimpe pas évidente et l’aventure mentale !
Dans les longueurs clés du dièdre, tu prends cher moralement : l’équipement n’est, comme qui dirait, pas « école » ! Du coup les pas en écart avec quelques minis crougnes (style Lulu), ou en renfougne le dos d’un côté et les pieds de l’autre (méthode Bruno), tu les sens passer !
Dans tous les cas c’n’est pas une grimpe qui déroule facilement, il faut se donner !
A la recherche des chaussons perdus
Bruno, distrait qu’il a été par les sympathiques discussions de sortie au sommet de Chibania, en a oublié ses chaussons au sommet ! Qu’à cela ne tienne, nous y retournerons le lendemain… En grimpant !
L’aiguille du guetteur semble appropriée pour ne pas complètement perdre la journée à tourner en rond. Ce sera donc tout en second pour lui, et en baskets. Dur le 6b, tout le poids du corps sur les doigts, ça arrache la peau ! C’est en tous cas très beau, le rocher est hyper abrasif. Je suis là pour affirmer qu’en chaussons, ça donne des mouv’s sympathiques !
Pilier dominant l’entrée des gorges, cette voie faisait vraiment partie des envies du trip…. Elle a tenu ses promesses, même si les chaussons n’étaient plus au sommet ! Il est donc temps de faire fonctionner le téléphone arabe (berbère ?) pour chercher qui les aurait récupérés.
Tous nos efforts et discussions avec les hôteliers et commerçants n’ayant pas portés leurs fruits pour les retrouver, c’est finalement la générosité des locaux qui nous permettra de profiter de la suite de ces vacances : merci Hassan pour le prêt !
Dernier voyage… Pour trouver la descente !
Une dernière envolée sur la falaise du levant, dernière contemplation de la palmeraie et ses verts contrastant avec les tons plus sombres des montagnes, puis 3ème descente de cette falaise pour trouver enfin le couloir que nous cherchions !
Après un long détour par le (superbe) col du fond la première fois, une mauvaise réchapp’ dans un mauvais couloir la seconde… C’est la bonne, et c’n’est même pas compliqué : faut juste prendre le couloir situé derrière l’âne caractéristique !
Comme ce point de repère reste quelque peu mouvant ( !), il vaut mieux viser les constructions en pierre, avec un gros cairn, d’où ça descend parfaitement vers l’est avec un poil de désescalade.
C’était évident : il nous a juste fallu 3 descentes de cette montagne pour trouver l’évidence !
Conclusion de ce séjour dans les gorges du Todgha (Todra)
Ce séjour à parcourir les falaises marocaines restera pour moi celui des vacances « faciles ».
Si le terme « escalade plaisir » m’insupporte, signifiant par là-même que, lorsque l’escalade est plus difficile, plus engagée, ou l’itinéraire moins évident, ce n’est plus du plaisir ?… ! On a vraiment passé à Todghra un séjour empreint de zénitude, de repos.
Entre l’hospitalité berbère qui reste une référence en la matière, le rocher exceptionnel, la générosité des ouvreurs pour nous offrir des lignes toutes plus belles les unes que les autres, l’accessibilité du site, et surtout la météo idéale pour la grimpe en hiver…
Todghra reste une destination à se garder sous l’coude pour une dose de sourire et de chaleur paisible !
Matériel utilisé dans les gorges du Todgha (Todra)
Matériel d’escalade utilisé dans les gorges du Todgha (Todra)
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST-CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À L’EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS LES GORGES DU TODGHA | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
CORDE A DOUBLE | Cobra II | BEAL | Référence | C’est la corde de Bruno, et même si elle commence à être usée, elle reste solide, fluide, agréable. | N’ayant plus de rappel, je cherche à en racheter un : je crois que je vais me décider pour celui-ci, même si je regarde aussi du côté des autres marques. |
BAUDRIER | PRIMROSE | BLACK DIAMOND | Confort, prix | Parfait. | Il me convient partout pour le confort et suffisamment de porte-matériel. Mais il vieillit : il faut que je teste mon PETZL Sama acheté en promo (fin de série) pour comparer. |
DEGAINES | Finess /OZ | ANGE | Trouvées, et offertes. | Parfait ! | Idéales pour la légèreté et la facilité d’utilisation. |
DEGAINES | WILD WIRE QUICKDRAW | WILD COUNTRY | Promotion. | Oui, une dizaine. | Les premières que j’ai achetées, parfaites pour compléter les 10 « Ange » et avoir 20 dégaines. |
SANGLES | DYNEEMA | DIVERSES… | Hasard… | Répondent à toutes les situations. | J’en reprends, 4 à 6. |
SYSTEME d’ASSURAGE | REVERSO | PETZL | Référence | Il me convient toujours. | Pareil. |
FRIENDS | C4 | BLACK DIAMOND | Référence en la matière | Parfait, utiles pour des voies peu équipées ! Nous avions un jeu du 0.3 au 3, et mousquetons colorés adaptés. | Les mêmes ! |
Micro-FRIENDS | KAILAS | ALIENS | Promotion et référence en la matière | Parfait les petites tailles dans les dalles ! | Je ne m’en sépare plus : 2-3 exemplaires viennent toujours compléter mon jeu de C4, je peux alors me passer de câblés le plus souvent ! |
Équipement d’escalade utilisé dans les gorges du Todgha (Todra)
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST-CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À L’EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE ROADBOOK | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
CASQUE | METEOR IV | PETZL | Légèreté | Adapté. | C’était l’un des derniers voyages de ce casque qui m’a accompagnée pendant 8 ans… J’ai acheté un Sirocco depuis qu’ils ont fait un effort esthétique : pour un confort plus important et une légèreté inégalable ! |
CHAUSSONS | Anasazi | FIVE TEN | Ceux qui me correspondent le mieux ! | J’en ai pris deux paires comme à chaque voyage : une un peu plus usée que l’autre, pour alterner le confort et l’inconfort selon les voies ! | Oui, ils sont à ma pointure, ça fait donc mal aux orteils mais pas trop, la précision est bonne. |
Vêtements et accessoires utilisés dans les gorges du Todgha (Todra)
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST-CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À L’EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE ROADBOOK | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
CHAUSSURES | N’existent plus ! | SALOMON | Je rachète une paire de baskets Salomon chaque année, je les sais adaptées à mon pied. | Idéales pour la légèreté et le confort lors de marches sur tous terrains. | J’ai déjà racheté le modèle suivant, puisque celles-ci sont désormais trouées ! |
SAC A DOS | CLIFF 20 | SIMOND | Prix, légèreté | Oui , même s’il manque d’attaches sur le dos du sac. | Pareil : ce sac est parfait pour des voies à la journée, suffisament léger pour se faire oublier, et d’une contenance permettant de tout rentrer ! |
PANTALON | Onda story | E9 | Qualité/Prix | Parfait | Le même. |
Collant | KIABI OU GEMO | Premier Prix | Parfait pour mettre sous le pantalon durant les fraiches soirées. | Le même, ou un autre sous-pantalon : c’est juste pour faire une 2ème couche. | |
Polaire | QUECHUA | Trouvée | Remplit son job. | Pareil. | |
Doudoune | Down Sweater femme | PATAGONIA | Légère et compacte | Oui, parfaite pour les soirées au gîte. | La même, difficile de trouver si léger et plus chaud ! |
Gore-tex | ALPINISM | SIMOND | Rapport qualité /prix | Sa légèreté incité à la prendre souvent, quitte à la porter ! | La même, j’apprécie l’ouverture de la fermeture éclair depuis le bas pour libérer le pontet. |
Lampe Frontale | Tikka | PETZL | Autonomie, recharge sur secteur. | Elle a été parfaite. | Ne me déçoit jamais, notamment sur l’autonomie ! |