Line KONG A SIOU nous partage son voyage kayak de mer en Norvège dans la péninsule scandinave.
Informations pour préparer un voyage de kayak de mer en Norvège
Date du séjour kayak de mer en Norvège
20-26 Juillet 2017
Comment s’y rendre
Norvège, Nordland, Engeløya, Steigen. Environ 4000 km soit 4 jours de voyage en voiture pour s’y rendre depuis le sud de la France (Souhaitant prendre nos propres kayaks, la voyage par la route était obligatoire). Au niveau des dépenses il faut compter près de 1000 € aller-retour. Entre les péages (en France et pour les ponts au Danemark), l’essence et une éventuelle halte dans un hôtel ou autre.
Participants à ce voyage kayak de mer en norvège
Line et JC. Nous naviguons en kayak de mer depuis 6-7 ans.
Retrouvez leurs expériences en kayak de mer :
- Kayak de mer au Groenland
- Kayak de mer en sud de la Bretagne
- Kayak de mer en corse
- 5 jours d’itinérance en kayak de mer en Bretagne
- Découvrir Belle-île en mer en Kayak de mer
Dodo et miam-miam en Norvège
En Suède et en Norvège le camping sauvage est autorisé dès lors que l’on se trouve à plus de 150 m des habitations, que l’on ne reste pas plus de 2-3 nuits et que l’on laisse place parfaitement nette en partant, évidemment. A Steigen il y a un camping « en libre-service » pour 100 Nok (environ 10€) la nuit pour deux avec une tente.
Douche (30 Nok soit environ 3 €) et WC au niveau du port. Partis tard le 1er jour et arrivés tôt le dernier jour nous n’avons pas eu besoin d’y faire halte, mais ça peut être pratique ! Pour le reste de notre voyage dans le pays nous avons quelques fois dormi en camping pour une moyenne de 250 Nok la nuit. Les campings sont généralement équipés de petites cuisines communes avec plaques permettant de cuisiner et manger à l’abri. Les douches fonctionnent souvent avec des pièces de 10 Nok.
Concernant le ravitaillement c’est autre chose : la nourriture est très chère en Norvège. Nous avions pris soin de remplir la voiture de victuailles ce qui a limité nos courses. Autrement, on trouve assez facilement de petits supermarchés.
Infos dans le coin
Informations sur Steigen
Il est possible de louer des kayaks sur place avec guides, et de faire des parties de pêche. Le coin semble aussi propice à la randonnée.
Sur notre parcours, deux réserves naturelles destinées à protéger plusieurs espèces d’oiseaux sont présentes : Engelvær et Flatøya. Il est interdit d’y débarquer du 15 avril au 31 juillet. En dehors de cette période : débarquement et même bivouac autorisés.
Informations plus générales
Les amateurs de pleine nature ne devraient pas être déçus en Norvège. Ces grands espaces sont propices à la randonnée (à pieds ou à ski selon la saison), il est aussi possible de faire de l’escalade dans les Lofoten notamment).
La difficulté majeure pour la navigation a été l’orientation entre toutes ces îles. Compas et cartes sont indispensables, avec un suivi minutieux du parcours. Nous n’avons pas l’habitude d’utiliser un GPS mais sur ce genre de navigation ça peut être intéressant. Nous n’avons pas été gênés par les courants de marées bien que nous les ayons quand même sentis dans la zone des îles immédiatement au Sud de Steigen.
Enfin nous avons eu des conditions excellentes toute la semaine, mais ce plan d’eau peut être aussi très agité les jours de tempête, et en particulier de vent du Nord.
Bibliographie et liens utiles
- Site en norvégien mais permettant de télécharger les horaires de marées ainsi que toutes sortes de cartes à différentes échelles (1/50 000 pour la plus précise, celle que nous avons utilisé) moyennant un enregistrement gratuit sur le site. Attention néanmoins il faut après recoller soi-même toutes les tuiles ensemble pour faire les cartes, ça demande un peu de boulot.
- Appli yr.no : Application très simple, très légère et permettant une consultation rapide de la météo sur le terrain avec une bonne précision
- Norvège site du pays à destination des touristes. Plutôt bien fait.
- Le Routard – Norvège 2017 : Bien utile pour toutes les petites choses à savoir (mode de péage des ponts à l’intérieur du pays, monnaie etc.). En revanche les conseils sur les campings n’étaient pas du tout fiables, en tout cas pour ceux où nous sommes allés (Lofoten, Vesteralen et un peu plus au Nord). Utile aussi si l’on veut faire d’autres activités.
6 jours d’itinérance en l’Ofoten en kayak de mer en Norvège
Lofoten sans le « L » ça donne Ofoten, leurs petites sœurs juste un peu plus au Sud. Engeløya est l’une d’elle, et elle est entourée d’une myriade d’îles et d’îlots autour desquels nous allons promener nos étraves, tremper nos pagaies. Des paysages idylliques, des conditions très favorables et une nature généreuse nous ont fait passer quelques bons moments de contemplation au-delà du 66ème parallèle Nord.
Le port de pêche de Steigen
Au bout d’une des presqu’îles d’Engeløya se trouve Steigen. Petit port de pêche, avec ses maisons de bois rouges qui nous sont devenues familières depuis 2 semaines déjà que nous sommes en Norvège, ses bateaux de pêche au pont blanc et à la coque en bois et ses quelques aménagements pour les gens de passage : camping en libre-service, locations en dur (les fameuses hytter) etc. tout cela complété d’une petite mise à l’eau bien pratique.
Alors que nous chargeons les kayaks, deux autres kayakistes font des préparatifs similaires. La conversation s’engage avec ce couple de norvégiens. La carte est dépliée et ils nous donnent des informations bien utiles sur les règlements des réserves naturelles et aussi sur les possibilités de bivouac.
Peut-être nous retrouverons-nous sur une de ces îles ?
Le bivouac inespéré
Le vent est installé. Prévu de force 3 ou 4, il souffle plutôt à 4-5 les deux premiers jours. Après un départ de quelques kilomètres face au vent histoire de se mettre en jambes (ou plutôt en bras), nous partons downwind (vent dans le dos), plein Sud. Il est déjà tard, et nous recherchons un bivouac abrité du vent. Pas facile, d’autant que la mer descend. Je crains un long portage et un bivouac venté. Contre toute attente, JC trouve pourtant LE bivouac.
Une grande plage pour un atterrissage facile, un chemin frayé entre de petits buis, et nous voilà abrités. Devant nous, un petit bras de mer où il n’y a que quelques cm d’eau à marée haute. Nous faisons tout de même quelques aller-retours aux kayaks pour prendre l’essentiel c’est-à-dire de quoi se changer et manger. Une fois réchauffés et rassasiés, nous regardons l’eau monter et avancer de chaque côté dans le chenal. Jugeant qu’elle est assez haute, nous filons bout de remorquage en main, faire le tour de l’île en guidant les kayaks avec bouts et pagaies… confort ce portage !
Demain nous devrons attendre midi pour qu’il y ait de l’eau dans ce petit chenal. Une bonne excuse pour faire la grasse matinée !
Engelvær : des sternes en colonies
Notre objectif du jour est la visite de la réserve naturelle d’Engelvær. Il est interdit d’y débarquer à cette période mais on peut la visiter en kayak. Le vent nous pousse dans le dos jusqu’à ces îlots puis nous cheminons dans le labyrinthe, tantôt s’abritant derrière un caillou, tantôt traversant un canal venté.
L’endroit est magnifique et ce jour-là nous verrons des oies sauvages, des poules d’eau noires et blanches dont on ignore le nom, des genres de bécassines à long bec et qui font « tut-tut » (probablement des Courlis Courlieu), des pygargues (aigles) à queue blanche (quasiment quotidien depuis que nous sommes en Norvège), des sternes et des labbes parasites qui les poursuivent pour leur voler le poisson. A la pose de midi (dans nos kayaks puisque débarquement interdit) on trouve un endroit abrité et on s’avance au milieu de quelques algues flottantes qui nous empêcheront de dériver.
Tout en dégustant nos tartines on peut observer les sternes qui sont occupées à chasser un aigle. C’est un spectacle assez curieux que de voir ces petits oiseaux blancs foncer dans un oiseau bien plus grand qu’eux, le déséquilibrer parfois, et en tout cas lui mener la vie dure. On a l’impression qu’à chaque instant l’aigle pourrait se retourner et punir d’un seul coup de bec, d’un seul coup de serres ces petites impertinentes. Mais il n’en fait rien, il a l’air presque pataud au milieu de ces petites sternes agiles. En repartant on contourne le rocher pour découvrir la colonie de sternes, assez importante, c’est la 3ème que l’on voit aujourd’hui.
Le bivouac parfait
2 jours après être partis de Steigen, nous arrivons aux alentours de l’île Maløya. Elle est désignée par nos conseillers norvégiens comme un lieu de bivouac intéressant. Cette île est surprenante : d’un côté elle semble une de ces îles du pacifique, verte de la tête aux pieds et baignant dans un lagon bleu ; De l’autre, les roches sans doute battus par vents et marées lui donnent un petit air de Cap Corse.
Le bivouac sur cette île nous a offert tout ce qu’on peut espérer en venant traîner sa tente dans les parages. Ça commence par une pêche miraculeuse : un cabillaud d’au moins 55 ou 60 cm de long sorti de l’eau en moins de 20 minutes de pêche en face de la plage. La bête est évidemment rôtie au barbecue dans l’heure, sur une grille trouvée sur place, toute propre et prête à l’emploi sur son foyer.
L’ascension du petit mont le plus proche nous offre une vue panoramique de toute beauté, et la dégustation de nos premières baies arctiques. Ces petits fruits en forme de mûre, blanches lorsqu’elles le sont, ont un petit goût rappelant curieusement la mangue. Beaucoup plus tard dans la soirée nous assistons au fameux soleil de minuit, qui baigne de ses rayons orangés la chaîne des Lofoten au loin.
Pour compléter le tableau, les norvégiens en kayak croisés à Steigen débarquent peu après nous. Des gens très sympathiques qui n’ont pas hésité une seule seconde à nous faire part d’un de leurs « secret spot » à bivouac à quelques encablures de là. Et c’est ainsi que l’on de se dit peut être à bientôt, sur une autre île.
Le bivouac perturbé
Il est bien connu que dans ces contrées, au mois de Juillet, le soleil ne se couche pas. Sur ce constat chacun s’imagine tenter de dormir malgré une luminosité forte, avec son petit masque d’avion sur les yeux. La réalité peut être un peu différente. Tout d’abord il faut prendre en compte la météo au moment où l’on se couche. Quelques nuages suffisent à rendre la luminosité beaucoup moins forte ce qui facilite les choses. Alors vous vous endormez tranquillement le soir par un ciel un peu nuageux. Une température juste assez fraîche pour vous faire apprécier ce moment où vous rentrez dans votre douillet sac de couchage.
Et vous vous réveillez quelques heures plus tard, suffoquant dans le-dit sac de couchage. Vous sortez de la tente pour prendre un peu le frais (et c’est là l’erreur), et là vous êtes ébloui par la lumière d’un soleil qu’on croirait de 10 ou 11h. Un coup d’œil à la montre : 3h. La nuit sans nuit risque d’être longue, mais qu’importe l’insomnie, voilà une curiosité locale dont on se souviendra !
Le bivouac secret
Le vent tombé, on remonte vers le Nord, prévoyant un passage à la voiture pour ravitailler. On se promène encore une fois dans un labyrinthe d’îles et d’îlots. Mais la mer descend rapidement et nous sommes finissons par être bloqués dans des petites passes qui se vident très rapidement. Reprenons le chenal principal, ce sera mieux, bien qu’un peu à contre-courant. Dans ce dédale, mieux vaut avoir le sens de l’orientation et surtout être précis dans la navigation et l’itinéraire. C’est JC qui s’y colle et nous mène brillamment en bateau mais à bon port pendant tout ce voyage. Dans le secteur du bivouac, je commence à m’inquiéter un peu : peu d’emplacements semblent corrects.
Cailloux, plages entièrement recouvertes à marée hautes, plages marécageuses et îles en réserve naturelle ne facilitent pas la tâche. Les copains norvégiens nous ont prévenus : ce bivouac secret est difficile à trouver lorsque l’on vient du Sud. Et ils ont ajouté qu’eux arriveront du Nord et qu’on verrait leurs tentes. Au détour d’une île, nous reconnaissons les tentes.
Etrange : ils sont sur une grande plage, et en plus près d’une maison. C’est donc ça le super bivouac difficile à trouver ??
En s’approchant tout s’éclaire, l’illusion d’optique se dissipe. Il n’est pas si direct de se rendre sur cette plage qui n’est pas grande et où il n’y a pas de maison ! Nous sommes accueillis à bras ouverts et une aide est bienvenue pour nous aider à monter les kayaks. La marée est au plus bas maintenant.
Bain frais
L’une des norvégiennes présente au bivouac ce jour-là entre dans l’eau sans difficulté. Elle nage, ramasse des coquillages ou autres fruits de mer dans l’eau. Un peu fatigués pour ce soir, on tentera l’expérience demain. Je tente de me baigner mais au bout de quelques instants mes pieds déjà presque insensibles, refusent de me porter au loin, où la profondeur serait suffisante. Je n’ai même pas de l’eau aux genoux !
JC, après s’être chaudement habillé malgré les 25°c ambiants (oui vous avez bien lu, une véritable canicule !), réussi trois esquimautages dans une eau limpide (mais à 13°c). Nous apprendrons ensuite que cette personne qui s’est baignée hier est une « ice swimmer ». Elle se baigne tous les jours et a déjà connu une eau à 3,5 °c !
Une dernière nuit et ce sont les derniers coups de pagaie que nous donnons en mer de Norvège. Un voyage magnifique, un paradis pour les kayakistes d’eau salée et les amateurs de bivouac.
Matériel utilisé pour ce séjour kayak de mer en Norvège
Vous retrouverez dans ce lien tous les conseils pour préparer un voyage en kayak de mer :
Matériel essentiel pour le kayak de mer en Norvège
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE DE DÉPART ? | EST-CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉE DANS CE TRIP KAYAK DE MER EN NORVEGE ? | ET SI C’ÉTAIT À REFAIRE ? |
KAYAK LINE | Xplore-S | TIDERACE | C’est en réalité le kayak de JC pour les balades à la journée. Mon propre kayak étant trop peu volumineux pour emmener les affaires de bivouac. | Oui, c’est plutôt la kayakiste qui n’était pas habituée au kayak, la forme de la coque étant très différente de ce à quoi je suis habituée. Mais c’est un kayak assez rapide et permettant de prendre le nécessaire pour quelques jours | Pas vraiment le choix, sinon d’acheter un autre kayak ! |
KAYAK JC | Autoconstruction bois/fibre de verre, forme inspirée du Tiderace | Kayak vraiment léger (plus léger qu’un kayak en carbone), et avec un volume correct pour plusieurs d’autonomie. (Quelques photos de la construction) | Oui. Bon comportement, même chargé | Rien à changer | |
PAGAIES | Autoconstruction bois (red cedar) | Depuis plusieurs années nous naviguons avec des pagaies groenlandaises. 2 pagaies principale et une pagaie « tempête », plus courte, de secours. Vraiment bien pour la randonnée. Nous en sommes à la 3ème génération de fabrication. | Oui, sans problème. | Oui. Au fur et à mesure de notre progression nous améliorons aussi les pagaies. | |
PAGAIE LINE | Sea Cruiser | SELECT | Une pagaie « classique » en carbone qui se scinde en 2 morceaux. Elle est utile notamment pour pouvoir y adapter les manchons en cas de temps très froid, ou pour pouvoir changer un peu le mouvement de pagaie par rapport aux pagaies groenlandaises en cas de blessure. | Oui | Je la reprendrais sans problème. |
Vêtements techniques pour le kayak de mer en Norvège
GILET LINE | Kaikoura | PALM | Je cherchais un gilet facile à enfiler, qui flotte bien, avec possibilité d’y mettre une poche à eau et avec de nombreuses poches (pratique en rando) | Parfaitement | Rien à changer, c’est vraiment un excellent choix. |
GILET JC | Xtrem | PALM | Bonne flottabilité, Système d’attache d’un bout de remorquage avec largage rapide. En revanche le système de fermeture n’est pas très pratique et la poche à eau est à l’intérieur et non à l’extérieur du gilet. | Oui parfait pour ce trip kayak en norvège | Rien à changer |
JUPES DE KAYAK | Aquatherm | REED CHILL CHEATER | Léger, bien étanche, sèche vite vraiment beaucoup d’avantages par rapport au néoprène. | Oui | Rien à changer |
VESTE DE KAYAK LINE | Thalassa | PALM | Je cherchais un kway bien étanche pour la navigation par mauvais temps ou temps froid. Les manchons en latex sont très confortable et le grand col doublé de polaire qui remonte jusqu’au-dessus du nez est juste un bonheur par temps froid et venté. Les poches sur les manches : super car la poche ventrale ne peut pas être utilisée lorsqu’on porte un gilet ! | Oui. Quelques difficultés à l’enfiler (il est vraiment ajusté), mais c’est une protection excellente. | Rien à changer |
Autres vêtements de kayak
PANTALON DE KAYAK LINE | KOKATAT | Pantalon étanche avec chaussettes intégrées. Vraiment idéal avec des chaussons néopène ou des crocs. La combinaison avec la veste permet de rester bien au sec et de mettre une couche thermique dessous. | Impeccable | Rien à changer | |
VESTE DE KAYAK JC | Chinook | PALM | Bien mais système de fermeture sur la jupe un peu léger. | Correct | A refaire je prendrais le modèle du dessus, avec une fermeture scratch/néopène au niveau de la taille. |
PANTALON JC | Atom | PALM | Salopette avec les chaussettes intégrées. Très bien mais un problème d’étanchéité au niveau d’une couture qui n’a pu être réglé qu’à notre retour. | Oui | Choix ok, je repartirais avec la même mais avec de quoi la réparer (seamgrip) |
PANTALON JC | Aquatherm | REED | Salopette sans chaussons intégrés. Ne prend pas trop de place, sèche vite… | Oui, mais pour l’eau froide les chaussettes manquent un peu. | Une valeur sûre en secours ! |
SOUS-VÊTEMENTS THERMIQUES JC | 100% Laine Merinos | PATAGONIA | Excellente régulation de la température et d’odeur ! | Oui, excellent | Rien à changer |
Matériel de camping pour ce séjour kayak de mer en Norvège
TENTE DE CAMPING | Arco XT | VAUDE | Choisie pour sa très grande abside qui permet éventuellement de cuisiner dessous et la possibilité de monter d’abord le double toit puis la chambre. On a du coup conservé la chambre bien au sec à part dans un sac étanche et à chaque fois monté les 2 séparément. Très confortable à 2 (vu que c’est une 3 places). Attention par contre, malgré les apparences, le sac d’origine n’est pas du tout étanche (pas pour des kayakistes en tout cas J ) | Oui, nous avons dormi 1 mois dedans, essuyé une tempête au cours du voyage, et c’était parfait. | Rien à changer |
MATELAS LINE // MATELAS JC | Prolite Small//A150 Ultralight | THERMAREST // QUECHUA | Peu encombrants et très confortables, on les utilise depuis plusieurs années. | Oui | Rien à changer |
SAC DE COUCHAGES | W’s Ecopro 15 // Cat’s Meow | MARMOT // THE NORTH FACE | Prévus pour être relativement polyvalents et résistants aux fortes humidités qu’on peut trouver au bord de la mer la nuit. On les utilise depuis plusieurs années. | Impeccable, presque trop chaud les nuits de beau temps mais super pour l’ensemble du voyage | Rien à changer |
APPAREIL PHOTO | µtough-6030 | OLYMPUS | Il nous fallait un appareil vraiment étanche, très solide, qu’on puisse « dégainer » facilement à tout moment pour ce voyage kayak en norvège | Excellent : fait de bonnes photos et sa robustesse est incroyable… Malgré le peu de rinçage à l’eau douce nous l’avons depuis plusieurs années. Nous avons juste fait changer un bouton qui était défaillant avant de partir. | Rien à changer |
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quelques photos de la construction d’un des deux kayak qui nous a servi pour ce voyage : https://goo.gl/photos/Z5H67e6pGAs9G7MD9
Line tu nous régale avec ce récit de votre aventure norvégienne. Ça donne envie …merci.
Bravo ! très belles photos. Merci pour ce récit détaillé et précis. Et oui, tu nous donnes envie de partir vers cette destination