Guillaume LEDOUX nous partage son ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
Informations pratiques pour cette ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
Date de cette ascension
3 – 4 Août 2013
Durée réelle : 21 ans
Première tentative : 29 – 30 Juin 1992
Lieu
France, Région Rhône-Alpes, Haute-Savoie, Chamonix 74 400
Depuis la Franche-Comté : Besançon – Vallorbe (penser à la vignette d’autoroute suisse) – Martigny – Chamonix par la Forclaz et les Montets
Participants à l’ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
- Sandrine :
Grande randonneuse devant l’éternel : Vanoise, Belledonne, Pyrénées, Mont Blanc, Ecrins… Première tentative sur le Mont Blanc : il y a 21 ans
- Guillaume :
Petit Alpiniste dans la course aux 82 4000. Parcourt la montagne sous toutes ses formes : ski de randonnée, VTT, randonnée, trail…
8 ascensions du Mont Blanc (Arête des Bosses – Traversée des 3 Monts – par l’Aiguille de Bionnassay – à la journée …).
« Mais jamais avec ma femme ! »
Où dormir au Mont-Blanc
Dans la vallée :
- Gîte la Montagne à Chamonix, sur la route des Praz :
Nuitée 16 €
Dortoirs, possibilité de cuisiner. Il y a toujours de la place.
- Refuge du Gouter 3817 m : 60 € la nuitée (hors CAF)
Réservation obligatoire : Site Internet
10 € le petit-déjeuner obligatoire / 95 € la demi-pension
Dortoirs confortables mais un peu grands
Nourriture très correcte
Accueil sympathique en dépit du monde
⚠️ Pour mémoire : le bivouac est interdit au-dessus du refuge de Tête Rousse ⚠️
Où se restaurer/où se réapprovisionner
Chamonix -> Supérette 500 m avant l’entrée dans la ville côté Fayet.
Office du tourisme
Office du tourisme de Chamonix
Caractéristiques du Massif du Mont Blanc
- Le classique : le Mont Blanc
Beaucoup de monde sur la voie en provenance… du monde entier ! Randonnée alpine jusqu’à Tête Rousse.
Course mixte en PD entre Tête Rousse et le Goûter (attention aux chutes de pierres dans le Grand Couloir).
⚠️ Attention également à l’itinéraire au-dessus, penser à rester sur l’éperon ! ⚠️
Course PD – en neige au-dessus. L’altitude ralentit beaucoup l’organisme ! (Attention au mal aiguë des montagnes)
Accès
Se garer au Fayet (parking SNCF gratuit)
Prendre le TMB Train du Mont blanc) depuis le Fayet jusqu’au Nid d’Aigle 33€ l’aller-retour par personne.
- L’été : trains à 7 h 20 et 8 h 30
Attention au retour, pensez à réserver votre train, il faut une contremarque pour accéder à bord !
Quoi d’autre dans les environs du Mont Blanc
Le massif du Mont Blanc est un terrain de jeux sans fin et Chamonix n’usurpe pas son surnom de capitale mondiale de l’alpinisme. Il y en a pour tous les goûts et pour tous les niveaux de la course F (Tête Blanche) aux grandes courses engagées de l’envers du Mont Blanc.
D’autres activités sont bien entendu possibles : randonnée, trail, canyoning, VTT de descente, ski de randonnée (hiver printemps).
Ascension du Mont-Blanc :
Alpinisme autour de Chamonix :
Ski de rando autour de Chamonix :
Randonnée autour de Chamonix :
Escalade autour de Chamonix :
Trail autour de Chamonix :
Plongée en mer de glace :
Bibliographie pour l’ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
- Topo : Les 100 plus belles courses de Gaston Rebuffat pour l’aspect historique du bouquin
- Guide Vallot La Chaine du Mt blanc T1 à l’ouest du col du géant
Dans toutes les bonnes librairies montagne
Fichier GPS
Lien Internet
La référence : Camp To Camp
Le Mont Blanc en amoureux ou : 21 ans pour « vaincre » une montagne… Vingt et Un Ans qu’elle attendait ça.
Juin 1992
La première tentative, en 1992, s’était soldée par un échec.
Nous étions jeunes, pas encore mariés, étudiants (en montagne, en général, quand on est étudiant, on est mal équipé, notamment au niveau vestimentaire, par souci d’économie).
Bref, nous avions atteint le refuge du Gouter après une ascension difficile, mal acclimatée, Sandrine avait eu quelques soucis digestifs, et j’étais parti encordé avec Mathieu, un ami, vers les cimes tandis qu’elle occupait les toilettes vertigineuses de l’ancien refuge du Gouter.
Les années passaient, les enfants éloignaient Sandrine de la Haute Montagne, puis, il y a deux ans, l’idée regerme. Et nous décidons de gravir le sommet, à deux, en amoureux !
Juillet 2012
Ce n’est pas le tout, mais il faut réserver le refuge du Goûter, et avec la centrale réservation, les places sont chères. Minuit face à l’ordi, je clique, il y a des places, yes !
Je me rends compte que lorsque j’ai fini ma réservation, il n’y a plus de place disponible en ligne ! Ce fut juste
un mois plus tard (oui, les places se réservent un mois à l’avance).
Le 14 juillet, la météo est pourrie, nous annulons notre réservation, trop tard pour récupérer les arrhes. Grosse déception.
Juin 2013
Ce printemps, nous sommes bien décidés à refaire une tentative. Réservation des places pour le 30 Juin dans des conditions similaires, ça passe.
L’organisation du week-end est complexe : nous nous rejoignons à l’hôtel des deux gares au Fayet, moi, je descends des Droites (le plus petit des 4000), tandis que Sandrine laisse les enfants à ses parents et vient en covoiturage dans la vallée de Chamonix.
Tous ces préparatifs pour rien, la météo est hyper pourrie et on annule au dernier moment !
Août 2013
Les conditions étant trop mauvaises pour réaliser la traversée des Grandes Jorasses, je propose à Sandrine de tenter une fois de plus le Mont Blanc. Et ça tombe bien, on trouve miraculeusement des places sur internet, au dernier moment!
Nous arrivons à Chamonix le mercredi après midi, et là, c’est le drame… la carte bleue chauffe, boutiques de fringues de montagne, de matériel technique, librairie montagne… On a passé un bon moment, mon banquier moins… (mais on s’est bien gardé de le prévenir…)
De retour au gîte, pasta-party en amoureux et au lit.
Le lendemain, lever 6h20 pour être au Fayet à 7h
Malheureusement pas de boulangerie ouverte au Fayet avant de prendre le premier train. Le voyage dans le TMB se fait en compagnie de guides et de leurs clients.
L’un d’eux a cette phrase qui amuse Sandrine : « Le Cervin, c’est sans intérêt, c’est juste un tas de cailloux branlant » il faut dire que j’ai « vaincu » le sommet l’an dernier et en suis revenu fier comme Artaban. Voilà comment tomber de son piédestal en une phrase.
En route pour ce sommet tant attendu
Nid d’Aigle, sacs sur le dos, nous prenons notre place dans la colonne d’alpinistes. La montée à la cabane des Rognes se fait à un rythme tranquille, dépassant les cordées plus lentes, nous faisant dépasser par des alpinistes rapides.
Aux rognes nous poursuivons vers Tête Rousse devant l’impressionnante face Nord de l’aiguille de Bionnassay.
La montée est rapide, nous rejoignons les hauteurs du refuge pour une bonne pause, avant d’attaquer les difficultés,
crampons, corde, casque, piolet, et c’est parti.
Sur le glacier de Tête Rousse, je perds un crampon. Mal réglé, et oui, entre l’hiver et l’été il y a un changement de chaussures qui nécessite un réglage des crampons. J’effectue un resserrage, et lorsque je veux fermer la talonnière… elle me reste dans la main.
Là, c’est grave ! J’observe la pièce en cause en vue de pauser mon diagnostic : le pas de vis de la talonnière a cassé. Je tente une réparation de fortune, mais rapidement, je me rends à l’évidence, ça risque de ne pas être réparable, on verra au refuge.
Je poursuis sans crampon, connaissant la montée, je sais que ça passe.
Voilà les grands couloirs, nous nous vachons sur le câble, mis en place par les guides de Saint Gervais, et filons entre deux grosses chutes de pierres, j’en ai encore des frissons en l’écrivant. Sur l’autre rive, c’est plus calme, il faut croiser quelques cordées. Mais ça passe.
Nous remontons sur l’éperon qui borde le grand couloir, observant au loin les régulières chutes de pierres. Par moments, des frigos dévalent le couloir.
J’imagine que la canicule de la semaine précédente y est pour quelque chose. Sandrine a le souffle court dans cette portion où les pas d’escalade facile cassent le rythme, d’autant plus qu’il y a pas mal de glace par endroits.
Le Refuge du Gouter
Nous gagnons l’ancien refuge du Gouter, puis le nouveau, perché sur l’arête de l’aiguille, je le trouve magnifique !
Nous visitons le bâtiment avant de nous offrir une bonne sieste.
Je gère mon problème de crampons, un aide gardien me propose de me prêter les siens, il me sauve la mise. Nous passons à table, pour un repas d’anthologie, à notre table deux guides suisses nous relatons leur péripétie avec leurs clients russes, richissimes, qui ont payé pour « faire » le Mont Blanc, et visiblement l’affaire n’est pas dans le sac.
Nous filons nous coucher tôt, la nuit fut bonne, moi qui craignais les ronfleurs dans le dortoir, il paraît que je fus le responsable du bruit dans notre chambrée, pour le coup, ça ne m’a pas dérangé.
1h45, bruit dans le dortoir, des personnes décollent, nous sommes réveillés, et décidons de nous habiller tranquillement. Passage dans la salle à manger pour déjeuner, équipement et nous voilà dans la nuit noire devant le refuge, nombreuses sont les cordées qui sont déjà parties.
La colonne de frontales s’étend sur le Dôme du goûter, les étoiles scintillent, quelques étoiles filantes traversent le ciel, en bas, les lumières de Chamonix illuminent la vallée.
Le Dôme du goûter
Nous remontons le Dôme en suivant le « sentier », souvent entre deux cordées. J’essaie de garder un rythme constant et pas trop rapide, afin que Sandrine ne se mette pas dans le rouge.
L’épaule du Dôme est gagnée, nous apercevons le sommet du Mont Blanc, il fait toujours nuit noire.
Replat du col des Dômes, où j’ai bivouaqué il y a 5 ou 6 ans puis petite remontée à Vallot, tout va bien. Pause contre le refuge pour se protéger du vent. J’oblige Sandrine à grignoter une barre de céréales, je sais que la journée sera longue.
Nous repartons en direction des Bosses, ça bouchonne au passage d’une crevasse, puis ça repart, le faisceau des frontales s’étire tout le long de l’arête, c’est magnifique.
Le rythme est lent, mais c’est le bon. Sans difficulté nous arrivons à la hauteur des Rochers Rouges. Je sais que c’est gagné. Le vent balaye l’arête, le soleil se lève. L’arête finale est fine, impressionnante, mais tout va bien.
Enfin le sommet du Mont Blanc
Voilà le sommet, la lumière est magnifique, l’ombre du soleil s’étire au loin.
Je peux enfin embrasser Sandrine là haut.
Nous faisons quelques photos, profitons du moment, de la lumière, incroyable ce matin. Au Nord s’étire la chaîne du Mont Blanc, au premier plan le Maudit, puis le Tacul aiguille du Midi et plus loin la Verte.
À droite, le Valais avec les Monts roses et le Cervin. Le Grand Paradis plus à l’est, la Vanoise avec la face nord de la Grande Casse, plus près, à l’ouest les Aravis, avec au premier plan le bassin de Tré la Tête avec les Dômes de Miage puis au nord-ouest notre Jura, la maison.
Finalement, nous décidons de redescendre. Alors nous reprenons la fine arête, je sens que Sandrine se crispe lorsque nous croisons d’autres cordées, mais ça passe.
Nous déroulons, tout se passe bien, nous passons les Bosses au soleil, puis Vallot, où l’absence de vent est propice à une pause. Sandrine est en forme.
Nous sommes heureux.
Descente vers le Goûter, les genoux de Sandrine montrent des signes de faiblesse. Nous opérons une mini-pause pique-nique. Et c’est reparti vers les pentes sous le Goûter.
Sandrine avance doucement mais régulièrement. Je la sens fatiguée et je redouble de vigilance. Elle est pas mal stressée à l’idée de devoir retraverser le Grand Couloir.
Chutes de pierres à la descente
Le voilà justement, il y a du monde. Légère attente, à l’abri (du couloir, mais pas des gens au-dessus) chute de pierres venant des cordées au-dessus, et malheureusement, Sandrine la prend sur le casque, gros moment de stress, elle est blême, assez rapidement, elle reprend ses esprits. Je décide de ne pas rester là. Je file et nous traversons rapido sans problème.
De l’autre coté nous nous mettons à l’abri puis rejoignons le glacier de Tête Rousse et à son pied, nouvelle pause, le thème : déshabillage ( dans la limite du raisonnable bien entendu).
Nous retrouvons le sentier, nos organismes un peu fatigués, nous croisons un bouquetin peu farouche aux Rognes. Voilà Tête Rousse, beaucoup de monde, le TMB est là, mais il est complet, nous aurons le suivant, 1h15 d’attente… Nous en profitons pour faire une sieste avant de nous retrouver dans le TMB en direction du Fayet.
Une courte mais belle aventure sur les cimes !
Conclusion de cette ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
Le Mont Blanc, reste un sommet magique. Les paysages sont grandioses !
Bien entraînés, nous sommes parvenus au sommet sans trop de difficulté, et avons pu profiter pleinement de chaque instant !
Seul point noir de l’ascension, la traversée du Grand couloir, et ses chutes de pierres, trop fréquentes à notre goût !
Mais ça n’empêche que même s’il y a trop de monde sur ce sommet, son ascension est grandiose.
Et se retrouver en haut, en amoureux restera un grand moment de notre vie !
Matériel utilisé pour cette ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
Équipements pour grimper le Mont Blanc
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
CRAMPONS | M10 | PETZL | Technique s et polyvalents . L’objectif était de pouvoir utiliser sur des courses bien différentes : depuis le F (Facile ) au D (Difficile) cotation alpinisme | Trop technique pour cette course Antibottes pas top (les éléments métalliques ont tendance à partir dans le mixte) | Un crampon light avec un bon antibotte voilà le bon compromis Pour remplace je prendrais des sarken plus léger et antibotte dur ! |
CRAMPONS | Makalu speed | SIMOND | Légèreté | Achetés d’occasion il y a 2 ans, ces crampons se sont brisés dès le début de la course (pas de vis de la talonnière cassé) | Non, je prendrais des crampons camp xlc corsananotech : crampons légers, et techniquement bien suffisants pour cette course |
PIOLET | Fox carving Simond | SIMOND | Légèreté | J’ai pris le plus petit modèle, un peu court à mon goût pour être à l’aise | Peut-être un corsa nanotech 70 cm |
CASQUE | Armor kid | CAMP | La taille | Sandrine a une petite tête, le casque est bien adapté | Casque confortable |
CASQUE | Elios | PETZL | Poids | Ce modèle me satisfait ! Parfait pour l’ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses | Voir dans les nouveaux modèles « hyperlight » si il n’y a pas plus adapté |
CORDE | Rando 8mm | BEAL | Poids | Théoriquement pas adaptée à l’alpinisme, on l’a utilisée en 25 m | Prendre une corde avec certificat de conformité alpinisme |
BAUDRIER | Air | CAMP | Poids | Les lanières qui rejoignent le baudrier au tour de cuisse on tendance à lâcher | Je prendrais un baudrier plus solide. |
Accessoires pour l’expédition
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
SAC À DOS | Guide 45 | DEUTER | Sac à dos polyvalent, technique et confortable Volume correct Porte matériel à la ceinture | Un peu trop lourd Confort excellent (surtout pour mon dos) | Pour une course de 2 jours 35 litres suffisent ( d’autant plus qu’on a pris la demi pension…) |
SAC À DOS | Prolight 35 | MILLET | Le poids porte matériel à la ceinture | Oui par contre Le rabat trop rempli est parfois difficile à placer | Sac correct. Sa légèreté est adaptée |
GUÊTRES | Alpine gaiters Dryedge | MILLET | Etanchéité | RAS elles ont bien protégé de la neige e du froid ! | Rien à redire : pas de neige dans les chaussures, c’es ce qu’on leur demandait ! |
FRONTALE | Myo XP | PETZL | Puissance | Rien à redire pour la puissance, par contre les boutons sont un peu petits et parfois difficiles d’accès | Je prendrais la même |
LUNETTES | Bivouac J383 Spectron 4 | JULBO | Qualité des verres | Pas de problème pour les yeux, mais je les trouve un peu inconfortable ( pas assez derrière l’oreille) | Choix d’un autre modèle avec la même qualité de verre ! |
BÂTONS DE RANDONNÉE | Diamond trail trekking pole | BLACK DIAMOND | Fiabilité | Rien à redire, ils n’ont pas bougé | Je reprendrais les mêmes |
DUVET | Down fil powder | MAMMUT | Chaleur Légèreté Compact | Utilisé entre 3800 et 4800 m , pas eu froid Il a par contre perdu quelques plumes | Adapté à ce type de courseje le reprendrais |
Vêtements pour l’ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
POLAIRE | Aconcagua jkt | MAMMUT | Chaleur Poche | Impeccable pas eu froid au piton des Neige Poche tip top pour appareil photo ou GPS | Je reprendrais les mêmes ! |
VESTE | K jkt | MILLET | Pour être à l’abri des éléments (vent neige pluie) | J’adore cette veste idéal pour cette ascension du Mont Blanc par l’arête des bosses | Déjà partagé de nombreux sommets de plus de 4000 m avec elle : bon choix |
GANTS | Punischer | BLACK DIAMOND | Thermicité Technicité | Les coutures commencent à la cher au bout de 2 ans 1/2 | Pas eu froid au mains et c’est là le principal ! |
MOUFLES | Bionnassay | DÉCATHLON | Chaleur | Utilisées comme moufles de rechange, en fond de sac, bon rapport qualité prix | Avec un budget un peu plus élevé, des moufles plus techniques type BD |
PANTALON | Svalbard | NORONA | Technicité Chaleur | Beaucoup de poches utilies pour y ranger carte, GPS …) Le pantalon est un chouilla lourd Les ceintures scratchs ne sont pas efficace | Je le trouve assez confortable, je lui ai ajouté des bretelles |
CHAUSSURES | Trango Extreme EvoLight GTX | LA SPORTIVA | Technicité précision | Je suis super bien dans ces chaussures adaptées au pied fin, ce qui est mon cas | Je reprendrais la même paire – confortables et ne me provoquant pas d’ampoules. |
CHAUSSURES | Sultan | MEINDL | Solidité | Chaussures plus adaptées à la randonnée qu’à l’alpinisme Prévoir un débord avant ET arrière pour d’éventuels crampons fixation rapide. | Modèle peut être plus léger et mieux protégé style Cripi Lapponia HTG |
Autres matos utiles pour l’ascension
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
APPAREIL PHOTO | Cybershot DSC HX50 | SONY | Compact | Un peu trop lourd Grain sur les photos Vidéo au top | Peut-être revenir chez panasonic (TZ 40 par exemple) |
GPS | E Trek vista HCX | GARMIN | GPS de rando | Rien à redire Avec le fond de carte et la préparation de la rando (téléchargement des fichiers GPS sur internet) | Je rachèterais le même modèle ! |