Découverte du domaine de Veirières pour une session pêche à la mouche
Informations pour préparer un séjour pêche à la mouche au domaine des Veirières
Date:
Du 16 au 18 Octobre 2010
Lieu:
DOMAINE DE VEIRIÈRES
Centre de pêche sportive d’Auvergne
15380 SAINT VINCENT DE SALERS
TEL. FIXE: 04 71 78 66 29
TEL PORTABLE : 06 31 56 57 33
EMAIL :[email protected]
Site internet
HEBERGEMENT :
Possibilité de dormir au gite du domaine des Veirières dans les 3 chambres d’hôtes dans le Buron
RESTAURANT :
vous accueillera après une belle journée de pêche à la mouche
2 jours de pêche à la mouche au Domaine des Veirières
Départ de Montpellier
Cette année, c’est finalement en compagnie d’olivier, un de mes fidèles compagnons de pêches avec qui nous avons passés de longues soirées de montages de streamer pour préparer ce WE, que nous prenons la route du réservoir des Veirières. Je quitte le travail, rentre à la maison pour diner en famille, je couche les enfants et prend vers 21H la direction de Saint Georges d’Orques pour récupérer olivier.
Les affaires pour ce WE étaient prête de la veille, rangé dans le camping car. Nous avons opté pour un WE moins spacieux, les courses sont dans le frigo.
Ce we qui prend le rythme d’une tradition, après ma première initiation en réservoir sur le magnifique réservoir de la Landie en 2008 et le réservoir du Malaguet en 2009, me semble plus confiant, une partie de l’hiver dernier, olivier m’encadra à la pêche au streamer sur l’Hérault.
Non seulement mon lancé devient plus fluide, plus précis, je commence à faire corps avec ma canne de réservoir, et je comprends mieux la nage du streamer. Plus facile à lire dans une eau plus claire.
Comme chaque année, nous sommes excités comme de vrai gosse. Et même si nous ne sommes que deux, l’ambiance est bien la.
La route me semble plus longue, il est vrai aussi qu’après une journée de travail, la fatigue se fait sentir, puis le GPS nous fait passer par des chemins de montagnes, ou le brouillard, le givre et des vaches égarées sur la route nous obligent à une grande méfiance.
Première journée de pêche à la mouche au réservoir de Veirières
Il est environ 1H du matin quand nous posons le véhicule, a l’entrée du réservoir. En sortant du véhicule, nous nous retrouvons frigorifié tant par la température. Mais par l’inquiétude de pouvoir pêcher dans des conditions polaires. On s’en doutait un peu, mais le changement si radical entre les températures de Montpellier et de l’Auvergne nous surprend un peu. Surtout Olivier, craignant le froid.
Heureusement pour lui, j’avais prévu de lui prêter des vêtements de montagne pour l’occasion. Il m’avait refusé dans un premier temps au départ du sud. Mais bizarrement, il accueillit très agréablement les sous-vêtements en laine Mérinos, une doudoune synthétique et une polaire.
Après une nuit de sommeil
Dans le camion, la nuit fut tout de même bonne. A huit heure, on décolle de l’entrée pour découvrir, ou plutôt tenter de voir le réservoir. On suit le chemin de terre, pour arriver au gite. On se rend sur les lieux de restauration et de l’accueil, après s’être équipé chaudement voir très chaudement pour une partie de pêche.
Nous sommes accueillis par Alain BARTHELEMY de ABFLY, un de ses amis, et le responsable des lieux Jean-Baptiste FAURE et Moniteur et Guide pêche en Auvergne, et Guide pêche pour DHD-LAIKA quand le réservoir de Veirières est fermé.
Nous prenons un réconfortant bien chaud et prenons des infos sur le réservoir. On nous fait vite comprendre que la spécialité d’ici c’est surtout la pêche en sèche. Nous prenons l’information, mais restons persuadés que nos streamers devraient faire merveille.
Le thé bu, nous nous décidâmes d’affronter ce temps d’hiver, arrivé bien tôt pour nous. Mais en réservant tout de même un repas pour le midi, convaincu que la pause du midi au chaud nous fera un des plus grands bien, laissant nos courses au frais pour un lendemain plus ensoleillé.
Equipement de montagne pour une pêche à la mouche « hivernale » aux Veirières
Nos cannes montées, le cache-cou en mérinos, le bonnet en hi-loft de montura sur la tête, nos vestes Arc’teryx zippées jusqu’en haut nous servant d’armure et mes mitaines patagonia, si rarement utilisées depuis mes dernières courses hivernales en montagne, deviennent pour l’occasion de vrai compagnons.
Le ciel est couvert d’une brume épaisse, l’assise de la barque irlandaise est gelée, et j’ai bien du mal à me souvenir des photos du réservoir des Veirières si accueillants qui m’avait fait choisir ce site.
Olivier prit les rames, limite à se battre pour espérer ramer mais surtout se réchauffer. Mon rôle de guide se contentait uniquement à définir les obstacles visibles à moins de 3 mètres de la barque tant la visibilité était réduite. On se motivait a chaque coup de rame, répétant tant nous étions chanceux d’être là.
L’ancre posée, proche du rivage mais surtout de roseaux, nous choisissons finalement de rester à nos premières idées de pêches. On choisit chacun un streamer argenté doré ou argenté réalisé avec des guirlandes de noël.
Première tape
On se lance, chacun son tour la canne en main, debout nous prospectons méthodiquement autour de nous. Et rapidement au 5ème lancé, une première tape sur mon streamer, le sourire givré, je me bats avec cette première truite.
C’est magnifique, j’oublie la température si proche du zéro, je fais durer le combat, terroriser à l’idée de tremper mes mains dans cette eau si « fraîche »pour libérer cette première pêche.
Finalement, je me fais surprendre par une eau pas si glacée, mais cela est de courte durée car le petit vent qui accompagne les températures me glace aux extrémités des doigts.
Seule l’action de pêche me permet de supporter cette ambiance hivernale. Et en plus pendant 30 minutes, j’enchaîne les combats.
Heureusement que nous sommes restés sur notre stratégie de pêche.
Olivier est moins chanceux, mais se régale tout de même.
Vers 11H30, après avoir changé de poste toujours en prospection, mais avec moins de réussite, nous décidons de reprendre les rames, non pas parce que le coin ne nous semble pas bon, mais la nécessité pour olivier de bouger le haut du corps s’impose.
Ses racines antillaises, et son punch légendaire oublié à la maison, ne l’aide pas dans ce climat austère.
Un bon repas pour nous rechauffer
Il est vrai que malgré un excellent équipement, le froid aux mains avec les mitaines en polaire mouillées, je ne le contredit pas quand midi sonne pour se retrouver au chaud, dans le gite autour d’un repas mais surtout proche de la cheminée.
Le repas est doublement apprécié, et nous ne sommes pas les seuls à trainer après le dessert. En discutant, nous nous rendons compte tout de même que nos prises du matin furent les seuls du réservoir de Veirières.
Le guide nous accompagna aux barques, et ouvrant l’annexe, mis en chauffe un puissant poêle JOTUL.
Qu’elle mauvaise idée pour moi, car après une heure de pêche, olivier m’abandonne pour se blottir au chaud. Il est vrai qu’a l’apparition de la neige, il se démoralisa.
Je pêchais du bord, essayant une mouche montée par le guide. Finalement, je fus surpris d’un résultat aussi rapide. Je reconnais bien la le savoir d’un guide.
Le froid Auvergnat
En faite, je me rends compte que la dureté de ce climat ne m’indispose pas tant que cela, surement par l’habitude de m’être retrouvé dans des situations si proche en montagne.
Olivier, la polaire et les chaussettes brûlantes, à la limite de fondre, me retrouve, les rames à la main, nous reprenons la direction du spot du matin.
Nous observons quelques longs moments de solitude, mais le vent s’étant calmé, nous sommes moins frigorifiés.
Nous nous essayons aussi en sèche, posant nos mouches sur les remous d’un gobage.
Cela nous oblige à être plus réactif, surtout que je suis surpris de voir à cette altitude et dans ces conditions des truites pointant le nez hors de l’eau.
Notre persévérance a payée, je fer une belle truite, le combat est dynamique, pas si long mais suffisamment pour retrouver des comportements de prédateur, concentré pour ne pas trop brider la canne, ni trop violenté le poisson, mais juste comme il faut pour être maître à bord.
Rapidement, je retire la mouche de sa bouche, une photo pris au vol avec Olivier, concentré à suivre des gobages le narguant, puis je relâche délicatement la truite.
Olivier, enfin réussit à positionner sa mouche au bon moment et au bon endroit. Le combat commence. Ces poissons ont de belles énergies, et cela fait oublier ce temps tout blanc.
Tranquillement, Olivier ramène le poisson à la barque, épuisette en main gauche, le poisson est dans le filet.
Il décroche très délicatement sa mouche, inspecta si le poisson n’est pas blessé comme à son habitude, puis un dernier regard dans les yeax de l’animal et une remise à l’eau dans les plus belles règles de l’art.
L’après-midi est loin d’être finit
Nous décidons de nous remettre au streamer, et de longer une bordure.
Nous lançons dans les roseaux, en croisant les doigts de ne pas accrocher nos streamers.
Olivier et moi-même alternons nos lancés pour éviter un accrochage. Nous serions sinon obliger de faire le constat autour d’une bière au lodge, chacun se justifiant et accusant l’autre dans je l’imagine une excellente bonne humeur.
Maintenant, avec cette troisième expérience en réservoir, après mon séjour à la Landie en 2008, puis le réservoir du Malaguet en 2009, je découvre de plus en plus les performances de ma canne à mouche GATTI. Je me souviens encore des débuts laborieux au réservoir de la Landie, quelques mois après mon apprentissage à la pêche à la mouche, puis maudissant les conseils de Fred.
Mais je suis bien obligé de reconnaître que Fred du magasin d’Europêche 34, m’avait bien conseillé, anticipant déjà en me proposant une canne surement peu adapté au départ, mais si agréable maintenant.
Déjà, lors de ma première acquisition de ma tactical MARRYAT, j’ai pu apprécier toutes les qualités d’une canne à mouche depuis mes débuts à ce jour. Surement surdimensionné, je n’ai aucun regret, mais que du plaisir en partie de pêche, et cela m’a aussi permis de conserver ma canne avec le temps.
Olivier, lui poursuit avec une session de réussite… petit à petit il se fait au doux climat de l’Auvergne. Il alterne truite prise en sèche et au streamer.
Toutes ces actions de pêche nous réchauffe, surtout que le ciel se dégage, et commençons à profiter d’un paysage plus ouvert.
La fin de journée se rapproche
et nos parties de pêche plus actives ne nous motivent pas à rentrer boire une pression au coin du feu.
Nous changeons régulièrement de coin, Olivier à la rame et moi même à l’orienter vers de nouveaux spots.
La prise des rames et son rangement est toute une organisation. Ces barques irlandaise sont agréables à naviguer, très stable, mais son espace malgré tout restreint nous oblige à une organisation, entre l’épuisette, nos 4 cannes à mouche, nos boites à streamer et autres bardas qui encombrent nos mouvements.
Une dernière truite pour Olivier avant de ramer vers l’embarcadère, descendre toutes nos affaires, puis les déposer dans le lodge encore chaud et gentiment prêté par Jean-Baptiste FAURE. Après avoir changé de tenue vestimentaire, nous nous dirigeâmes vers le gite et plus particulièrement vers la cuisine. La cheminée bien chaude nous transperça le corps encore humide et froid de cette longue journée.
Deuxième journée « hivernale » au domaine de Veirières
La nuit dans le camping-car fut calme, et rapidement nous avons sombrés dans les bras de formés. Le repas d’hier soir animé et arrosé avec des échanges passionnants sur les destinations de pêche et certains coup de gueule énoncé sur la dégradation de certaines rivières, nous permis de nous endormir après avoir compter que quelques gobages.
Levé, puis habillé, nous primes notre petit déjeuner au chaud, et avions bien du mal à prendre la direction des bateaux. Certes la météo est plus accueillante que la veille mais rien de comparable aux années précédentes. L’hiver est bien la, avec 1 gros mois d’avance pour des montpelliérains.
Nous cherchons nos cannes à mouche dans le lodge et le reste de notre équipement de pêche, et remplissons notre barque irlandaise. Olivier reprend les commandes, et rame en longeant la berge de gauche lorsque nous regardons le lodge du domaine des Veirières. Quelques gobages de bon matin nous ravi. La température ambiante est plus agréable, le vent s’est calmé. Ce n’est pas pour autant que nous pêchons en débardeur.
Pêche miraculeuse
Olivier est le premier à faire « mouche », et sa canne se galbe avec le combat de ce beau poisson.
Puis c’est a mon tour de me confronter à l’énergie de ces poissons bien actifs, et nous laissant à chaque fois de beaux souvenirs avant de présenter la truite sous l’objectif pour un souvenir, et de remettre à l’eau notre « adversaire » de pêche à la mouche.
Puis je propose à Olivier, pour finir notre WE de se positionner dans un coin du réservoir des Veirières qui me faisait envie depuis le matin.
Nous ramons délicatement en bordure des roseaux, posant l’ancre.
Je lance en premier dans un entonnoir, je strip, et immédiatement je me fais « taper » violement. Ma canne se pli, je lâche ma soie, cramponner à la canne, je suis des yeux le trajet de la soie perpendiculaire à l’eau.
Un combat magnifique
Je commence à remoulinet, puis j’en profite pour resserrer le débit du moulinet. Le combat est magnifique, je sens que le poisson connait son territoire, il m’impose sa cadence. Puis changement de situation, la truite semble fatiguée, je reprends le dessus.
Heureux de voir cette belle truite dans les mains avant de la remettre à l’eau en la ré-oxigenant.
C’est au tour d’Olivier de lancer, mais rien ne se présente à lui.
De nouveau prêt, je récidive à quelques centimètres du coup précédent, je strip plusieurs fois en rythmant comme Olivier me l’a tant répété durant ce we. Une longue pose et je ramène… de nouveau une belle « tape ». Ma soie plonge, puis reste fixe au dessus d’un roseau. Ma canne est en tension, mais rien qui bouge.
Olivier rapproche la barque, je prends une rame pour voir ce qui se passe au niveau de ma soie. Je comprends enfin, la maline a fait deux-trois tour autour de cette végétation et faisant une clef et cassant mon bas de ligne.
Fin de séjour aux Veirières
Que du bonheur, je serais obligé de revenir pour récupérer ce streamer « maison » et l’enlever du bec de ce poisson.
Nous rentrons, vers le lodge, débarquons tout notre attirail de la barque. Rangeons nos cannes, puis nous nous changeons au chaud, content de retrouver d’autres habits.
Nous chargeons l’ensemble de nos affaires et prenons le départ après avoir sincèrement remercié Jean-Baptiste pour son accueil chaleureux, ses repas, son poêle au lodge si chaud, ses conseils, ses voyages en Patagonie.
C’est promis, nous reviendrons pour voir ce réservoir du domaine des Veirières au soleil.
Check-list pour une session pêche à la mouche au domaine des Veirières :
Check list Michaël:
Équipement de pêche utilisé pour une session pêche à la mouche au domaine des Veirières
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | ETAT | POURQUOI CE CHOIX | COMMENTAIRES |
WADERS | watermaster waders | PATAGONIA | 2008 | protection a l’eau | je n’aurais pas imagine faire sans tant les conditions etaient epouvantables |
CHAUSSURES DE WADING | riverwalker | PATAGONIA | 2008 | protection a l’eau | je n’aurais pas imagine faire sans tant les conditions etaient epouvantables |
GILET DE PECHE | river master vest | PATAGONIA | 2008 | POUR M’EVITER DE DEFAIRE MON GILET ET DE LE RANGER DANS UN AUTRE SAC. POSER SUR UN BANC DE LA BARQUE. PARFOIS GENANT. |
Vêtements utilisés pour une session pêche à la mouche au domaine des Veirières
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | ETAT | POURQUOI CE CHOIX |
VESTE EN GORE-TEX | alpha sv | ARC’TERYX | 2004 | protection a l’eau |
COLLANT | power strech | LOWE ALPINE | 1996 | |
SOUS-VETEMENT | ulfrotte 200 col rond | WOOLPOWER | 2010 | chaleur |
SWEAT POLAIRE | monkey zip | MOUNTAIN HARDWEAR | 2007 | bonne grosse polaire |
CHAUSSETTE | extra heavyweight expedition | TEKO | 2010 | chaleur |
DOUDOUNE SYNTHETIQUE SANS MANCHE | atom lt vest | ARC’TERYX | 2010 | complement de chaleur |
Accessoires utilisés pour une session pêche à la mouche au domaine des Veirières
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | ETAT | POURQUOI CE CHOIX | COMMENTAIRES |
CACHE COU | rho ltw neck gaiter | ARC’TERYX | 2008 | pour proteger mon cou et ma nuque | indispensable. toujours dans mon sac de peche quand il n’est pas dans un autre sac. avec le bonnet qui remonte j’ai pu me proteger une partie de la tete. ridicul, mais efficace. |
MITAINE EN POLAIRE | PATAGONIA | 1993 | depuis que je me suis a la peche toujours present dans mon sac en cas ou | genial avec ce temps. mais pas toujours suffisant car apres la remise a l’eau, meme si c’est de la polaire c’est long a secher. l’annee prochaine j’essaie les r1 glove | |
BONNET | collarpolar cap | MONTURA | 2009 | polaire comme le sweat | tout simplement parfait pour moi. possibilite de le transformer en tour de cou |
LUNETTE | OAKLEY | 2008 | verre polarisante adaptee a ma vue sur une monture qui protege mon visage | peu utilise mais lunettes de vue etait suffisante |
Matériel utilisés pour une session pêche à la mouche au domaine des Veirières
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | ETAT | POURQUOI CE CHOIX | COMMENTAIRES |
CANNE A RESERVOIR | frx 907-3 brins 9 line 7 | GATTI | |||
MOULINET | varka 79 | JMC | |||
SOIE PLONGEANTE | s2 | AIRFLO | |||
CANNE A RESERVOIR | SAGE | Prêté par Olivier | |||
MOULINET | Prêté par mes amis d’europeche 34 | ||||
SOIE FLOTTANTE | |||||
FRONTALE | e-lite+ | PETZL | indispensable | ||
PINCE MULTIFONCTION | skeletool | LEATHERMAN | 2010 | toujours util | Se fixe partout quand il n’est pas dans l’étui, ne cesse de me dépanner. |
SAC ETANCHE | great divider | PATAGONIA | 2009 | sac etanche de taille moyenne pour proteger vetement et equipement sensible comme appareil photo | Comme déjà dit sur mon séjour au réservoir malaguet parfait. |
Check list Olivier:
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | ETAT | POURQUOI CE CHOIX | COMMENTAIRES |
WADERS | expert | JMC | 2010 | ||
PANTALON | paramount convertible | THE NORTH FACE | |||
COLLANT | capilene 2 | PATAGONIA | 1993 | prete par michael | |
SOUS-VETEMENT | bodyfit 260 | ICEBREAKER | prete par michael | ||
POLAIRE | powertstretch | PATAGONIA | 1993 | prete par michael | |
POLAIRE JACKET | noir | ||||
VESTE GORE-TEX | alpha sv | ARC’TERYX | 2010 | super protection au vent, la pluie, et la neige. | |
CHAUSSETTE | st | THORLO’S |
Retrouvez les autres récits pêche à la mouche :
- Pêche à la mouche sur l’Asteran en Suède
- Sortie de pêche à la mouche dans l’Hérault à Laroque
- Séjours Pêche à la mouche au réservoir de La Landie
- WE Pêche à la mouche au réservoir du Malaguet
- Pêche à la mouche au lac de Virieu-le-grand