Marion SIROI nous raconte ses petites randonnées sur les îles Féroé et en Islande ….Des fjords et des moutons…
Informations sur notre voyage en Islande
02 juillet 2014, je suis en partance pour l’Islande, sac sur le dos, je découvre le mode de voyage des backpackers, bus, auto-stop pour se déplacer, camping et bivouac pour dormir, volontariat pour échanger et randonnées pour découvrir. Rien n’est programmé pour laisser place à l’inconnu et à l’imprévu ainsi la magie des belles rencontres peut opérer. Ce voyage est aussi une éloge de la lenteur, je rejoins l’Islande avec le Ferry de la Smyrilline qui part du Danemark et fait une escale sur les îles Féroé, « les îles des moutons ».
Lors de cette escale de trois jours, je réalise une randonnée sur l’île de Streymoy de Vestmanna à Tjornuvik et découvre les paysages magnifiques des fjords. C’est pourquoi arrivée en Islande, je souhaite continuer cette découverte dans les fjords de l’ouest après 10 jours de volontariat pour le centre du renard arctique dans la réserve naturelle de Hornstrandir, je réalise une randonnée dans la région appelée « westfjords alps » petit clin d’œil au précédant périple à travers les alpes, une boucle de trois jours au départ de thingeyri.
Dates et lieux :
– 07/07/2014 : deux jours de marche sur l’île Streymoy aux îles féroé – Danemark.
-17/08/2014 : trois jours de marche dans les alpes des fjords de l’ouest, Thingeyri – Islande.
Participant :
Marion SIROI, 27 ans, amoureuse des grands espaces et des voyages. Après deux mois de randonnée itinérante dans les Alpes lors de l’été 2013, je pensais « plus jamais ! » car la difficulté du terrain, la solitude et l’apprentissage du voyage à pied ont parfois été très lourd à porter. Mais cette liberté et ce bonheur que procure le voyage à pied commence à se faire sentir. Une fois le sac posé, je pense « et ensuite… ».
L’Islande, un voyage tenté plus tôt mais jamais réalisé. Sac sur le dos, ce coup ci mes jambes ne seront pas mon seul moyen de locomotion ! Je veux rencontrer, partager et découvrir à travers les gens.
Où dormir en Islande ?
Sur les îles Féroé et en Islande, il est autorisé de bivouaquer sur les terrains non-privés et/ou non-cultivés. Il est préférable d’avoir l’autorisation de quelqu’un avant de planter sa tente dans les zones habitées mais en pleine nature c’est bien évidemment pas un problème ! L’accès à l’eau est toujours le principal critère de choix d’un lieu de bivouac mais ici ça n’a jamais été un souci ! C’était même le contraire je recherchais un endroit pas trop humide.
Le lieu de bivouac remarquable a été celui à Saksun sur les îles Féroé. Autorisation du propriétaire obligatoire avant de s’installer sur le bord de lagune.;)
Pour trouver un hôtel, un camping : Lonely Planet Islande est très bien fait sinon les sites internet Westfjords.is pour les fjords de l’ouest et Visitfaroeislands.com pour les îles Féroé.
Où se restaurer/Où se réapprovisionner en Islande ?
Torshavn est la capitale des îles féroé, on y trouve tous les commerces, restaurants et bars. Adresse sympa : la bibliothèque municipale (Býarbókasavnið, 7 Niels Finsens gøta) fait également petite restauration.
Isafjordur est la capitale des fjords de l’ouest avec tous les commerces et restaurants. Deux adresses à visiter : Husid, Hrannargata 2, pour un bon repas accompagné d’une bonne bière. Et une énorme glace (industrielle mais à connaître tout de même) dans une épicerie où l’on vend de tout, on choisit son parfum et trois ingrédients au choix !
A Thingeyri, on trouve une station essence avec une petite épicerie et dans le village un petit café, Simbahollin Cafe où l’on peut déguster les gaufres à la confiture de rhubarbe et à la crème.
Offices de tourisme :
– Torshavn
– Vestmanna : www.visit-vestmanna.com
– Isafjordur : www.isafjordur.is/tourist_information_centre
– Thingeyri : www.thingeyri.is/english
Caractéristiques de l’islande :
Les paysages de fjords sont magnifiques, falaises abruptes aux mille oiseaux marins, montagnes vertigineuses où seul les moutons semblent vivre ici et une côte sinueuse parsemée de petits villages de pêcheur au mode de vie traditionnel.
Les îles Féroé ressemblent beaucoup aux hautes terres d’Écosse avec des paysages verdoyants. En revanche, les fjords de l’ouest sont des terres sauvages et minérales.
La randonnée dans ces terres est un véritable bonheur, un retour aux sources dans des paysages grandioses, la liberté n’a plus de limite. En revanche, l’activité n’y est pas très développée.. les chemins existent, sont notés sur les cartes mais il n’y a aucun balisage. L’orientation y est plutôt facile. Les paysages sans arbres permettent de se repérer facilement et de voir le chemin a emprunter pour rejoindre le col et ensuite on descend la vallée ! Les chemins sont entretenus par les moutons !
Quoi d’autres dans les environs :
Vestmanna : les falaises vertigineuses abritent des centaines d’espèces d’oiseaux marin.
Réserve naturelle d’Hornstrandir : randonnées dans un paysage grandiose et très sauvage.
Randonnées à cheval à Thingeyri : l’allure particulière des chevaux islandais, le tölt, donne l’impression de voler ! www.simbahollin.is/
Bibliographie :
- Lonely Planet Islande.
- Les prospectus disponible sur le ferry.
- Cartes de randonnées : 7 cartes couvrent l’ensemble des fjords de l’ouest avec une descrition des randonnées (à pied, à vélo, à cheval). Disponible à l’office de tourisme d’Isafjordur ou dans les boutiques et centres touristiques.
Des petites randonnées sur les îles Féroé et en Islande
Partir à pied pour prendre le temps de découvrir les paysages, les lieux et rencontrer les gens. Voyager en autostop, bus, train et ferry pour se rendre compte des distances et du trajet. Comme le dit si bien le proverbe gitan, « ce n’est pas la destination qui compte mais la route. »
Trois jours me sont nécessaire pour rejoindre Hirtshals, au nord du Danemark. La traversée jusqu’à Torshavn dure 32 heures, nous longeons les côtes norvégiennes puis nous passons devant les îles Shetland. Apercevoir les falaises au loin fait naître des idées de prochains voyages. Le bateau est un voyage à part entière, entre deux temps. Moyen de transport mais aussi moment de lenteur comme suspendu dans le temps.. cela laisse le temps de penser à l’escale de trois jours sur les îles féroés. De nombreux prospectus sont à disposition sur le ferry. Sur l’un d’eux, les chemins de randonnées sont notés. Je choisis l’itinéraire, Vestmanna – Saksun – Tjornuvik. Je rejoins Vestmanna en stop et j’en profite pour visiter, Kvivik, un petit village de pêcheurs.
C’est parti pour la rando à travers les montagnes !
La première partie du chemin est difficile à trouver, je m’oriente grâce aux cours d’eau et remonte le ruisseau jusqu’à une petite ferme puis jusqu’au barrage. Ensuite le chemin est indiqué par des cairns, il suit la ligne électrique qui alimente Hvalvik. Les paysages sont grandioses, la lumière magnifique et changeante comme le temps d’ailleurs. Quelques averses me font garder un rythme soutenu car je suis parti à 11h de Torshavn. Je découvre ce lieu au rythme de mes pas et m’imprègne des ces paysages où j’ai le sentiment d’être seule à passer par là. Sur mon chemin, les huîtriers pie crient lorsque je m’approche de leur nid, les bécasses s’envolent et les skuas m’impressionnent mais ils me laissent passer !
Quant aux moutons, ils sont partagés entre la curiosité et la peur ; cette dernière fait fuir à toute vitesse les quelques lapins. Arrivée au col, la vue sur la vallée de saksun et la mer qui sépare les îles de Streymoy et d’Esturoy est a coupé le souffle. J’aperçois la petite route qui mène à Saksun et coupe tout droit pour éviter le détour par Hvalvik. Je pose mes affaires au bord de la route et attends patiemment l’arrivée d’une voiture.. la troisième est la bonne ! Le stop est un excellent moyen de rencontre et d’échange ! Ils habitent au village de Saksun et m’autorisent à bivouaquer au bord de la lagune. En arrivant sur place, il n’y a pas de mot.. waouh !!!
Réveil magnifique
Le réveil et le petit déjeuner dans cet endroit magnifique est une récompense lorsqu’on voyage pied et cela efface toutes les incertitudes ou les petits tracas. Ces moments magiques me disent :
« tu es ici au bon endroit, au bon moment »
et cela me rend heureuse car :
« le bonheur est de vouloir être ce que l’on est ».
Le chemin part derrière les maisons. La montée est raide et glissante ! Mais la vue est époustouflante ! Je suis dans mon élément, la nature sauvage où l’homme est tout petit face à ce qui l’entoure. En restant attentif et respectueux, cette nature sauvage apporte beaucoup d’énergie positive. Je passe d’une vallée à l’autre avec toujours autant d’émerveillement en apercevant le petit village de Tjornuvik aux toitures colorées et aux pâturages vert avec en toile de fond les falaises vertigineuses de Eidi. L’émotion est grande. J’aime ces paysages et ces moments d’observation et de découverte. L’escale sur les îles féroé se termine avec le retour en stop jusqu’à Torshavn. Je garde en mémoire ces instants. J’espère revenir et rester plus longtemps.
Cette émotion ne fût qu’un prélude à l’arrivée en Islande. Après une semaine de trajet, un rêve est entrain de se réaliser. L’arrivée en ferry possède un côté magique. La brume se dissipe au fur et à mesure que le bateau entre dans les terres et laisse découvrir le fjord de Seydisfjordur…
Le voyage en Islande commence.
J’ai la liberté de temps et d’esprit. Seul impératif, être à Sudavik, dans les fjords de l’ouest, le 5 août pour un volontariat dans le centre du renard arctique. Après 10 jours de suivi et d’observation dans la réserve d’ Hornstrandir, je profite d’un petit congé pour me concocter une randonnée de trois jours au départ de Thingeyri avec au programme l’ascension du sommet des fjords de l’ouest, le Kaldbakur (998m).
La formation des montagnes fait penser aux Alpes. Des sommets et des vallées encaissées mais la présence de la mer, les fjords et le paysage très minéral rappellent bien l’Islande. Cela reste très différent des fjords verdoyants des îles féroé.
La rudesse du climat se fait sentir, je suis seule au monde.. peu d’empreintes, peu d’oiseaux ; heureusement les moutons sont toujours là pour entretenir le chemin car celui-ci n’est ni balisé ni marqué par des cairns. Il est presque inexistant. Je m’oriente grâce aux ruisseaux, aux vallées et aux cols. Grâce à ma petite carte de randonnées, j’arrive à me repérer après quelques minutes de lecture du paysage.
Vers le sommet de Kaldbakur
Le chemin emprunte une piste jusqu’au col et le sentier par sur la droite vers le sommet de Kaldbakur. Je dépose mon gros sac au départ du sentier et entame la montée, légère ! La vue sur les fjords et les montagnes est magnifique. Le vent et la brume m’oblige à redescendre vite. Je serais bien resté plus longtemps à contempler ce paysage… Puis je me dirige vers le deuxième col et cherche un endroit pour planter la tente. Je me surprends à espérer croiser un mammifère sauvage de nos régions, un bouquetin, un chamois, une marmotte.. mais ici seul le renard arctique vit à l’état sauvage. Il est très craintif et se cache dans son terrier lorsqu’une présence humaine se fait sentir car il est toujours chassé.
Le soleil réchauffe la tente, c’est l’heure de se réveiller ! Une belle journée s’annonce. Je passe le col dans un pierrier raide et très instable, surtout avec le poids du sac à dos. C’est le seul endroit où il y a un semblant de sentier.. puis de nouveau plus rien une fois de l’autre côté. A chaque passage de col, c’est une vue magnifique qui s’offre à moi !
La descente se fait de nouveau dans les traces des moutons. « lorsque le chemin n’est pas tracé, le voyageur à pied emprunte souvent des passages d’animaux. » Après un casse-croûte au bord d’un ruisseau, je profite de ce soleil pour faire une petite toilette et une petite bronzette ! Mais je ne reste pas longtemps car l’air est frais malgré tout !
Aire de campement
J’arrive au bord de l’océan et emprunte la piste qui longe la côte jusqu’à la route. Le sentier passe entre la route et les maisons, il remonte la vallée et suit la rivière. Le terrain est marécageux et difficile d’accès. Le sentier a disparu. Marcher dans les herbes hautes et sur un sol détrempé me fatigue rapidement. Passé cette zone très humide, je trouve un petit coin plat pour planter ma tente.
Je cueille quelques myrtilles en guise de dessert et pour agrémenter le muesli de demain matin.
Je ne suis plus dans la partie «
La première partie du chemin est difficile à trouver, je m’oriente grâce aux cours d’eau et remonte le ruisseau jusqu’à une petite ferme puis jusqu’au barrage. Ensuite le chemin est indiqué par des cairns, il suit la ligne électrique qui alimente Hvalvik. Les paysages sont grandioses, la lumière magnifique et changeante comme le temps d’ailleurs. Quelques averses me font garder un rythme soutenu car je suis parti à 11h de Torshavn. Je découvre ce lieu au rythme de mes pas et m’imprègne des ces paysages où j’ai le sentiment d’être seule à passer par là. Sur mon chemin, les huîtriers pie crient lorsque je m’approche de leur nid, les bécasses s’envolent et les skuas m’impressionnent mais ils me laissent passer !
Les moutons
Ils sont partagés entre la curiosité et la peur ; cette dernière fait fuir à toute vitesse les quelques lapins. Arrivée au col, la vue sur la vallée de saksun et la mer qui sépare les îles de Streymoy et d’Esturoy est a coupé le souffle. J’aperçois la petite route qui mène à Saksun et coupe tout droit pour éviter le détour par Hvalvik. Je pose mes affaires au bord de la route et attends patiemment l’arrivée d’une voiture.. la troisième est la bonne ! Le stop est un excellent moyen de rencontre et d’échange ! Ils habitent au village de Saksun et m’autorisent à bivouaquer au bord de la lagune. En arrivant sur place, il n’y a pas de mot.. waouh !!!
» et la différence est flagrante ! Les vallées ont des allures de canyons et les sommets sont des plateaux rocheux. Les traces de moutons s’arrêtent après les premières cascades. Ensuite, le sentier est jalonnée de bâton jaune. Mais la plupart sont tombés à terre. Il ne doit vraiment pas avoir beaucoup de passage. J’en redresse certains qui m’aurait aidé à repérer le chemin..
Je suis surprise par ce paysage minéral et désertique ! Pas de végétation, pas d’animaux. Une piste traverse ce désert. Je la suit jusqu’à la prochaine vallée qui redescends vers le fjord et marque la fin de la randonnée. Je m’arrête un moment en haut de cette vallée. J’admire le paysage et m’imprègne de ce qui m’entoure. C’est beau.
Les piquets s’arrêtent lorsque un sentier apparaît, les moutons font vraiment bien leur travail de cantonnier ! 😉 La longue descente permet de repenser à ces trois jours en milieu hostile, presque seule au monde.
Conclusion sur mon voyage sur les iles Féroé et l’Islande
C’était une belle expérience différente mais complémentaire de celle sur les îles féroé. J’aime ces paysages sauvages des fjords. Là où l’homme est minuscule face à tout ce qui l’entoure. La rudesse de la nature est impressionnament belle. Traverser ces paysages, les relier à pied, s’orienter dans ces vallées immenses avec toujours l’oeil bienveillant des moutons fût un pur plaisir et un énorme bonheur.
A découvrir pour les amoureux des grands espaces.
Matériel utilisé durant mon séjours sur les îles féroé
Avec plusieurs voyage en un, le sac était un peu plus chargé que nécessaire avec des extras loisirs. Chaussons d’escalade, livres. Les chaussons n’ont jamais servi.. L’Islande n’est pas une destination « grimpe » il y a peu de sites et donc peu de grimpeurs. Être véhiculé est nécessaire pour se rendre sur les sites.
La totalité du matériel a déjà été utilisé lors d’une randonnée itinérante de deux mois dans les Alpes.
Équipement de bivouac utilisé durant le séjour sur les îles féroé
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
SAC À DOS | Deva 85 | GREGORY | Bon compromis entre légèreté, confort, volume. Le prix : 90€ acheté sur leboncoin.fr à un cordonnier. | Sac très confortable. 85L C’est beaucoup ! Le sac est facilement trop lourd. Poids du sac : 2,6kg Sac très fonctionnel, nombreuses poches et sangles. Le dessus du sac peut se transformer en petit sac pour la journée. | Je prendrais un sac de 70l max. J’ai beaucoup apprécier son confort de portage et ses « fonctions ». |
SAC DE COUCHAGE | Duvet | MOUNTAIN HARDWEAR | Confort. -acheté en soldes (fin de série) | Le duvet craint l’humidité et perd de son isolant. | Je choisirai un duvet en synthétique et d’une température -10°C en confort. |
TAPIS DE SOL | Z-Lite Regular | THERMAREST | Pliable -Léger -Increvable | R.A.S | J’ai toujours le même ! |
TENTE | T2 Ultralight pro | QUECHUA | Prix : D8 -Poids : 2kg -2 places | Facile à monter. Résistante au vent. Résistante à la pluie. Mais pas les deux en même temps ! | La tente à résister aux tempêtes islandaises mais l’eau s’infiltrent lorsque les deux parois se touchent. Je choisirai une tente avec des arceaux qui se croisent sur le dessus pour une meilleur résistance au vent. |
RÉCHAUD | Kiro ST | EDELRID | cartouches à visser -simple, petit, léger | Sensible au vent -Peu stable | Sa légèreté et sa taille font oublier ses « défauts » |
POPOTE | Alu 0,5L | CAO | Pour chauffer l’eau. Très léger. | Bien mieux que les réchaud jetboil ! | À refaire. |
LUNCH BOX | LIGHT MY FIRE | Pratique -2 assiettes -1 tasse graduée 300 ml -Sprok (Couverts 3 en 1) -1 boire hermétique ronde -planche à découper -poids : 350 gr | Pas si pratique que ça pour la randonnée ! | Une boîte hermétique pour stocker la nourriture qui sert d’assiette et le couvercle de planche. Une tasse. Un opinel et une cuillère. |
Vêtement utilisé pour durant le séjour sur les îles féroé
CATÉGORIE | NOM DU MODÈLE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART | EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE | SI C’ÉTAIT À REFAIRE |
CHAUSSURES RANDO | Vakuum men GTX | MEINDL | Confort Résistance | Chaussures déjà bien usée et plus imperméable. | Chaussures en cuir à semelles cousues. |
SANDALES | QUECHUA | Prix. Idéal pour l’après marche. | J’ai eu froid aux pieds ! | Chaussures fermées légères. | |
PANTALON LÉGER | SALEWA | légèreté -imperméabilité | Aucune mauvaise surprise. | Une casquette, un chapeau ou un buff pour se protéger du soleil. | |
PANTALON CHAUD | SCHÖFFEL | – isolant | Un sur-pantalon imperméable. | ||
T-SHIRT MANCHE LONGUE +1 T-SHIRT MANCHE COURTE EN LAINE DE MÉRINOS | ICEBREAKER | -la laine permet de porter un habit plusieurs jours sans odeurs (plus d’une semaine) | |||
PASTILLE POUR PURIFIER L’EAU | MICROPUR | KATADYN | |||
APPAREIL PHOTO | D60 | NIKON | Qualité Reflex Objectif polyvalent Objectif 18-200mm | LOURD !! 1,2kg | Le poids du plaisir. |
JUMELLES MINOX | 10×42 | SIGMA | Grossissement idéal et stabilité. | Observer la nature sauvage | Idem |
1 commentaire
Waouh trop bien ton expérience des iles Féroé et de l’islande en solo à pied.
Ton recap est un vrai bonheur et techniquement très utile.
Je m’y retrouve complètement!
Je pratique l’islande depuis 5 ans, sac à dos, volontariat etc…mais pas les Iles Féroé que je veux découvrir cet été. J’avoue que je n’aurai pas le courage de me lancer toute seule par peur de me perdre …
C’est pourtant pas l’envie qui m’en manque!
Est-ce qu’il y aurait une possibilité de partir ensemble ou je rêve?…..
sans doute car le voyage initiatique se fait seul/e
Je suis une vieille baroudeuse qui aime la solitude des grands espaces et des grands frissons qu’ils procurent.
Merci de nous faire partager tes émotions et ton expérience.
J’ai hâte d’être à nouveau sur le terrain.