Nanoq Expéditions nous partage son expédition ski au Spitzberg
Informations pour préparer votre voyage ski au Spitzberg
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Le parcours :
Notre voyage en 2014
Lundi : 19/05 : Knuvlen – 339m
Mardi 20 /05 : Konowfjellet – 758m
Mercredi 21/05: Ny Ålesund (visite de la base de recherche)
Jeudi 22/05 : Feiringjellet – 1054m
Vendredi 23/05 : Dronning Mauds Fjells – 857 m
Samedi 24/05 : Snodomen – 1215m
Dimanche 25/05 : Verrkammen – 856m via Fregatten – 934m
Lundi 26/05 : Phippsfjellet – 1013m
Mardi 27/05 : A la recherche de la faune locale (ours, phoque et morses)
Mercredi 28/05 : Monacofjellet – 1084m
Jeudi 29/05 : Protektorfjellet – 849 m
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Voyage au Spitzberg en bateau
Un « trip » comme le ski au Spitzberg, ne peut être envisagé non plus sans un bon bateau et un capitaine généreux qui maîtrise parfaitement sa région et met tout en œuvre pour vous rendre le séjour inoubliable
Le grand avantage du bateau est qu’il permet de déposer et de récupérer les skieurs à n’importe quel endroit. Bien souvent et quand cela est possible il n’est nul besoin de revenir à son point de départ. Il existe de nombreuses zones prometteuses et inexplorées qui sont à découvrir. Chaque jour il se déplace à la recherche d’une course inédite, dans des lieux grandioses et reculés où il est possible de tracer dans des terrains vierges.
Protektorfjellet 849 m
Philippsfjellet 1013 m
Feiringfjellet 1054 m
Snofjellet 1215 m
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Ours Polaire au Spitzberg :
Nous allons arpenter des lieux ou il est très probable d’apercevoir un ours ou en tous cas, des traces de sa présence, cela constitue quelque chose d’aussi extraordinaire que potentiellement dangereux.
Pensez à vous munir de petites jumelles afin de profiter pleinement de leur observation depuis le bateau et aussi de la surveillance active qu’il faudra effectuer à chaque fois que nous nous approcherons de la bande littorale des 100 mètres ….
Durant l’expédition, nous avons eu également besoin de volontaires pour porter à tour de rôle les 4 armes lorsque nous étions en course (deux pistolets d’alarme, deux fusils de chasse) dont nous disposions afin d’assurer notre sécurité en toute circonstances.
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Documents importants :
Munissez vous de votre passeport, la carte d’identité ne suffit pas au Spitzberg.
Contactez votre assureur, afin qu’il vous fournisse une attestation, prouvant que vous êtes bien couvert pour cette expédition et cette destination…Certaines assurances ne couvrent pas le Spitzberg.
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Pour la cartographie :
Pour les détenteurs d’IPhone ou autre engins du même type, je vous suggère très vivement de charger l’application « motion X GPS » qui coûte environ 2 €, puis, quelques jours avant le début du voyage, de télécharger toute la cartographie formée d’images satellite qui reste environ un mois en mémoire dans l’appareil et qui vous permettra d’enregistrer le traçage de vos courses si vous voulez garder une trace des endroits exacts que vous aurez visité.
Expédition Ski au Spitzberg au nord de la Norvège
Le Spitzberg est la plus grande île de l’archipel du Svalbard situé dans l’océan arctique, au nord de la Norvège. Très montagneuse, l’île du Spitzberg (qui signifie « montagne pointue »), présente toutes les caractéristiques du milieu polaire. Elle offre des panoramas époustouflants, gigantesques glaciers plongeant dans la mer, montagnes escarpées, Elle abrite une faune arctique très diversifiée: ours polaires, phoques barbus, morses, rennes, renards polaires, baleines (belugas et rorqual de minke), ainsi que de très nombreux oiseaux : macareux, guillemots, mergules, mouettes ivoires, phalaropes…
Le Spitzberg est naturellement propice au ski de montagne sous toutes ses formes.
Glaciers relativement plats et peu crevassés qui s’écoulent lentement, sommets pointus striés de couloirs où même les skieurs les plus exigeants peuvent s’exprimer, grandes étendues qui serpentent entre les montagnes offrant des accès de choix. D’immenses fjords découpent le pays. Situés sur tout le littoral, ce sont d’anciennes vallées glaciaires que la mer a comblées et peu de contrées ont le privilège de combiner ces deux environnements naturels d’une façon aussi pittoresque.
Au départ de Longyearbyen, notre bateau le Polaris nous emmène dans la partie Nord de Spitzberg. Cette région inexplorée est quasiment vierge, le tourisme y est anecdotique. Le but de cette exploration à skis est d’atteindre le Nord de l’archipel en passant par la côte NW. , Les ascensions de n’importe quels sommets peuvent être envisagées, ici tout est à faire. A cette période de mi mai, le jour y est permanent et nous avons profité des très longues journées et des lumières rasantes du soleil de minuit.
Au royaume de l’ours polaire
Nous vous proposons donc de partir à la découverte de cette ile, située à la latitude 80°Nord (soit 1100km seulement du pôle nord !), la terre la plus septentrionale accessible en bateau, royaume de l’ours polaire.
D’ailleurs le nom Arctique vient du grec ancien (árktos) qui signifie ours, en référence aux noms des constellations de la Grande Ourse et de la Petite Ourse, situées près du pôle nord céleste. On ne trouve les ours polaires que sur la « Terre des Ours » (Arctique) et pas en Antarctique.
Cette expérience, sportive et peu commune car sur un territoire hostile où les ours blancs sont plus nombreux que les humains était pour moi un test grandeur nature. Je suis en effet attiré depuis longtemps par ces terres sauvages, froides et magiques, mais là le challenge en devenait intéressant à relever. Nous décidons donc d’entreprendre cette aventure en terre arctique, méconnue…
Une dizaine de personnes répondaient présents : L’aventure pouvait commencer.
Le rendez vous est donc prit pour se retrouver toutes et tous à Oslo, afin de couvrir le dernier vol sur Longyearbyen
Le survol et l’arrivée sur cette terre polaire investie d’immenses glaciers et étendues blanches à perte de vue furent nos premiers moments fort en émotions.
A l’aéroport, …nous sommes accueillis par un ours polaire empaillé, un gros bébé de 300kg, abattu prés de l’aéroport…Le ton est donné…Nous en oublions presque nos bagages, qui tournent sur le tapis, sous le regard de cet emblème du Spitzberg.
Polaris notre bateau
Maintenant que tout est là, direction le Polaris ou nous attend Arthur, le capitaine et son équipage. Son accueil est des plus chaleureux et son bateau se révèle d’un grand confort.
Une fois installé, nous étions impatients de naviguer, mais pas avant la rencontre avec le gouverneur et ses consignes de sécurité relatives à l’ours blanc. Du coup direction le stand de tir et les essais afin de se familiariser avec ces armes, dont nous n’avons bien évidemment pas l’habitude….L’armée est loin pour la majorité d’entre nous. Nous réalisons qu’il ne sera pas évident de s’en servir en cas d’attaque. Pourvu que l’ours ne s’en rende pas compte
De retour au bateau, nous investissons nos cabines et faisons le tour du propriétaire.
Une grande salle pour déjeuner et se retrouver autour d’une bière ou d’un jeu, petit bar pour le soir et des cabines avec douches individuelles…Que demander de plus
Il va s’avérer que le plus sera l’accueil du personnel et la qualité de notre cuisinier
Les amarres sont jetées, et nous commençons à naviguer dans cette baie déjà bien magique. Après quelques heures nous nous stoppons dans un cadre Idyllique sous un soleil encore radieux, malgré l’heure (19h30)
Devant l’excitation, le jour permanent, il nous est difficile de trouver le sommeil. Minuit déjà et le soleil est toujours au Zénith, nous décidons quand même de nous coucher, afin d’aborder notre première, sous de bons hospices.
Première randonnée à ski au Spitzberg
Au matin après nos préparatifs, nous nous engageons dans une petite randonnée de mise en jambes sur ce sommet proche de notre lieu d’amarrage, afin de se remémorer les « manip » de cordes, vérifier le bon fonctionnement de notre matériel et revoir les conversions. Aujourd’hui, le temps n’est pas au beau fixe, mais la qualité de la neige nous rassure : elle est excellente…
La bonne humeur elle aussi est au rendez vous et chacun prend soin de son voisin afin de s’assurer que tout va bien. En 2 h00 nous atteignons notre but sans encombre. La descente, elle, est plus épique, car l’un d’entre nous s’aperçoit qu’il n’a plus son pistolet d’alarme : Son holster est vide, l’arme a due tomber pendant la descente. Quelques minutes d’angoisse plus tard, une partie du groupe décide donc de remonter afin de le retrouver, ce qui fut le cas assez rapidement bien heureusement…Et oui il faut s’habituer à avoir et à vérifier ce matériel qui n’est pas courant pour partir skier.
En attendant leur retour, nous mettons en place un petit atelier de recherche ARVA, afin d’être sur que chacun puisse s’en servir en toute quiétude. Et comme chaque jour qui suivra nous vérifions nos fusils et pistolets et nous assurons qu’aucune trace d’ours polaire n’est proche…Ce protocole un peu angoissant et inhabituel au début, deviendra plus serein par la suite.
Découverte du Spitzberg à ski
Chaque jours qui suivent, les rituels se mettent en place : Après un petit déj copieux prit vers 7h30, viennent l’heure des préparatifs et le premier Zodiac, nous débarque sur la banquise. L’organisation est toujours la même : Deux membres du groupe, jumellent avant d’arriver puis se positionnent en surplomb pour vérifier que l’ours n’est pas dans les parages, il est très important au Spitzberg, de s’assurer que la bande de banquise est « Save » afin de partir randonner.
Il nous faut en moyenne 4 h00 de montée, avec régulièrement, une partie de ski alpinisme, pour atteindre notre sommet. Les réalisations sont étudiées le soir voir le matin même en fonction de la météo, de la cartographie et surtout de ce que Jean, notre guide a pu repérer soit aux jumelles soit en s’approchant en zodiac. Des discussions avec Arthur le capitaine qui connaît parfaitement les lieux, sont bien utiles avant de s’engager.
ski exploration
Cependant, nous sommes dans du « ski exploration » et nulle ne sait précisément ce qu’il nous attend. Nous faisons donc entièrement confiance à la grande expérience de Jean dans ce domaine.
De ce fait nous partons chaque jour avec plus de matériel, et de cordes, afin de pallier les éventuelles mauvaises surprises.
Pendant 5 jours, le soleil est au rendez vous et nos journées s’annoncent des plus belles. De notre bateau, nous pouvons voir ce qu’il nous attend et le spectacle est des plus magiques. Après quelques heures de montées, un ou deux cramponnage, nous atteignons enfin les différents sommets. Des panoramas à couper le souffle. La neige est de toute beauté et les descentes de vrai régal. Nous sommes seuls, et nous dominons une immensité glaciaire qui semble infinie. Au loin, certaines vallées sont noyées sous une mer de nuages. C’est étrange comme on a du mal à discerner la neige des nuages…
Les paysages nous laissent sans voix.
Tout est blanc à perte de vue, ponctuée de quelques pics rocheux acérés. L’homme ne semble pas avoir sa place ici, et nous nous sentons minuscules.
Ces journées de plein « Sun » furent de vraies parties de plaisir, tant à la montée, qu’à la descente. Il est évident que tout devient plus facile à organiser et tout le monde est détendu, afin de profiter de ces panoramas, hors normes.
En l’absence d’arbres, les paysages se dessinent plus nettement, comme des pages blanches. Et pourtant il y a de la vie en Arctique. Une vie lente ou toutes les espèces animales ou végétales mettent des années à se reproduire mais incroyablement résistante.
Encore un matin ou nous partons à la recherche de notre nouveau spot de randonnée. Mais après une heure de « nav », la tempête et la neige se réveillent. Tout le monde cherche à fuir ce mal de mer, de la manière qui lui semble la plus judicieuse. Pour ma part, je décide de devenir « matelot de fortune ». Et m’engage dans le nettoyage des vitres extérieures de la timonerie, afin de prendre l’air et de m’occuper l’esprit
Station scientifique
4 heures après nous arrivons à Ny Ålesund. La station la plus septentrionale du monde (78e55), ancienne cité minière marquée par une série d’accidents meurtriers, abrite une communauté scientifique à géométrie variable : trente chercheurs l’hiver, cent cinquante l’été. Une dizaine de pays (dont la France) y sont représentés. Du bateau, le village ne ressemble à rien : deux quais de débarquement, un bâtiment un peu élevé où s’effectuait le tri du charbon, une vingtaine de maisons en bois… Cette base de scientifiques, quasi déserte à cette époque de l’année est une escale importante pour atténuer nos maux et descendre quelque peu à terre. De mon coté la réussite n’est pas totale, je choppe maintenant le mal de terre…Mais cette petite visite, nous fait quand même du bien…
Nous sommes dans la baie du Roi
Reprise de la « nav »environ 1 heure, dans des conditions beaucoup plus calme. Nous amarrons dans un fjord, d’une beauté rare et notre nuit sera bercée par la chute de séracs et les parades nuptiales des phoques…Nous sommes dans la baie du Roi. Devant nous, sous un soleil radieux des pentes vierges à perte de vue …De belles journées nous attendent encore.
Ce soir, le diner se fera sans excès, de peur de voir resurgir le « mal de mer » encore présent dans nos estomacs. Une bonne nuit de repos et « En avant », j’ai envie de dire…
Un petit mot sur Snodomen….Il faut le vivre pour s’en rendre compte, cette randonnée réunie, tout se qu’un skieur peut rêver de plus magique….A faire une fois dans sa vie.
L’approche en zodiac est parsemée d’iceberg et de phoques sur leur ilot de banquise, la journée s’annonce des plus merveilleuse, et ce que nous allons voir nous ne pouvions l’imaginer. La randonnée ski au Spitzberg est de toute beauté. En arrivant au sommet, Jean me confirme que cette randonnée est majeure. Tout le monde arrive à son rythme, en ayant bien prit soin de figer dans sa mémoire, ces paysages somptueux.
Le sourire aux lèvres, nous abordons la descente, dans une qualité de neige rare. Nous avons l’impression d’être en plein océan. Difficile d’apercevoir l’horizon, tant les étendues sont immenses.
De retour au bateau, nous organisons un apéro sur le « Sun Deck », afin de trinquer à cette belle journée. Devant nous le spectacle est des plus majestueux, nous pouvons encore observer nos traces uniques et nous remémorer notre descente d’anthologie.
Au bout de 10 jours
La fatigue commence à se faire ressentir, mais notre objectif semble encore une fois « majeur », alors nous décidons de partir à la conquête de cette pyramide de neige. Malheureusement le brouillard est omniprésent et l’arrivée au sommet sera sans visibilité. Cependant, nos images des jours précédents, nous permettent aisément d’imaginer le panorama…La descente est épique, mais nous sommes quand même enchanté de cette expérience.
Le lendemain pour reposer nos jambes un peu lourdes, nous décidons de partir à la recherche de cette faune d’exception. Le capitaine connaît un coin ou les morses viennent se prélasser. Nous envisageons donc de nous y rendre et de les observer. Grand spectacle quand nous arrivons chez eux, nous débarquons tranquillement pour ne pas les déranger, et nous posons quelques temps pour les observer….Une dizaine de morses d’environ 1 tonne se prélassent sur la plage…même pas affolés par notre arrivée. Ici la faune ne connaît que peu de prédateurs. En tout cas l’humain n’en fait pas parti, ce qui facilite notre observation de proximité.
Into the Wild
Tout au long de ce périple, du genre « Into the Wild »…Nous avons eu l’impression de vivre une expérience unique, loin de notre quotidien et de toute forme de civilisation.
Nous observons encore une dernière fois ces décors de cinéma afin de les graver dans nos mémoires. Pas un mot, personne ne parle et profite à sa manière de ces instants photos. Une heure plus tard, nous arrivons dans le port de Longyearbyen, quasi désert ou la vie semble en suspend. L’amarrage s’effectue en douceur et les moteurs s’arrêtent de ronronner : La réalité est la nous en avons fini avec cette expédition.
Après quelques préparatifs succincts, nous nous rendons au centre ville pour fêter notre magnifique séjour autour d’un verre ou deux d’aquavit. Le bar est des plus typique. L’ambiance est au rendez-vous. Et nous trinquons à cette belle expérience et nos belles rencontres. Nous rigolons de nos parties de « Polar quizz », jeu sur le thème de l’arctique, qui ont égayées nos soirées.
20 minutes de marche plus tard, retour au bateau sur les coups de 2 h du matin, sous un soleil de plomb…Quel paradoxe !!!
Fin d’expédition ski au Spitzberg
Cette aventure exceptionnelle, nous a permis de vivre des moments forts. De réaliser des sorties et sommets d’anthologie, que nous considérons comme « majeurs ». En partant skier au Spitzberg, vous découvrez des paysages époustoufflants. Une nature encore à l’état vierge ou tout semble n’avoir jamais été foulé par l’homme.
Nous recommandons vivement à tous les amateurs de « randonnées à skis» de vivre cette expédition que nous referons avec grand plaisir (voir le site « nanoq-expeditions.com »)
Il est aussi bon de savoir que le jour étant permanent en mai. Il nous permet de partir skier, même en fin d’après midi. De randonner 2 fois par jour ou de décaler notre départ en fonction seulement de la météo. Un luxe que l’on ne retrouve pas dans nos Alpes.
Nous remercions aussi Jean Bouchet, notre guide, qui grâce à ses qualités et compétences « hors normes », n’est jamais avare de partager sa passion de la haute montagne, qu’il met fort volontiers au service du collectif.
Matériel à emporter au pour un séjour ski au Spitzberg
Afin de bien se préparer en vue de notre expédition de ski-alpinisme d’exploration du Spitzberg, voici une petite liste de choses à penser et de matériel individuel dont nous devons nous munir afin de profiter pleinement du potentiel alpinistique des secteurs que nous avons exploité :
A vérifier avant le départ :
- Prenez le temps de faire farter vos semelles et affûter vos carres,
- Si vous avez le choix, préférez des lanières amovibles plutôt que des stop-skis. Inutiles et inadaptés à 90 % des circonstances réelles.
- Veillez à avoir un excellent encollage de vos peaux de phoques. Si vous avez un doute, n’hésitez pas à acheter de la colle de la même marque que celle de vos peaux.
- Vérifiez bien la tenue de vos rondelles de bâtons
- Veillez à ce que les fixations soient bien réglées à votre poids réel avec sac de transport….
- N’oubliez pas vos couteaux
- Si vous avez le choix, préférez une pelle métallique plutôt qu’en plastique
- Pensez bien aussi à prendre des piles de rechange adaptées à votre ARVA
Lire notre article : Check -List ski de randonnée
Matériel technique individuel pour du ski au Spitzberg :
- Un baudrier avec une longe munie d’un mousqueton a vis + un autre à vis sur le pontet
- Un casque d’alpinisme ou à défaut, de ski
- Une broche à glace à vis avec un mousqueton simple
- Un ARVA, une pelle et une sonde
- Une sangle cousue en nylon ou dynema de 120 cm avec un mousqueton simple
- Un petit bloqueur mécanique style tibloc ou ropeman avec un mousqueton a vis
- Un petit anneau de cordelette avec un mousqueton simple.
- Une paire de crampons en acier réglés et essayés préalablement sur les chaussures !!
- Un piolet classique d’alpinisme de + ou – 60 cm.