Florian DESJOUIS nous partage son expérience de sa journée de ski de randonnée à Campan Payolle dans les Hautes Pyrénnées.
Informations pour préparer une journée de ski de randonnée à Campan Payolle
Date :
1 janvier 2014
Lieu :
France, Midi Pyrénées, Hautes Pyrénées, Payolle (65710)
Depuis Montpellier :
Montpellier => Payolle : 4h17, 411 km, 29 euros de péage.
Participants pour cette journée de ski de randonnée à campan Payolle :
G.A, A.A, Florian DESJOUIS
Où dormir dans les Hautes Pyrénées :
Les hébergements à Payolle même et environs proches :
Offre variée sur le secteur de Payolle, de l’hôtel, en passant par le gite ou bien également par le centre de vacances
Différents gites dans la vallée, un peu en retrait de Payolle
Un site regroupant beaucoup d’offres sur l’ensemble de la vallée voire même un peu plus
Où se restaurer/où se réapprovisionner :
- A Payolle :
Quelques bars et restaurants ouverts en haute saison, rien de plus !
- A Bagnères de Bigorre :
Tout ce qu’il faut ! C’est la « grande ville » de la vallée. Donc aucun soucis pour supermarchés, station services, ou encore magasins de sports etc
Office du tourisme :
Toutes les informations touristiques relatives à la vallée : cliquez ici
Caractéristique du massif des Hautes Pyrénes :
Une vallée qui saura vous offrir un grand nombre d’activités, dans un cadre remarquable :
- Ski de randonnée: des reliefs tout à fait adaptés au ski. Vous pourrez profiter de ces grandes pentes rarement très raides, néanmoins offrant un ski bien agréable. De très nombreuses rando à faire (cf « quelles autres randos »)
- Ski de fond: Payolle convient à merveille à cette activité. Une vallée composée de grands plateaux entourés de quelques collines avec de belles forêts. Un moyen très agréable d’approcher les contreforts nord de l’Arbizon.
- Ski de fond et raquettes: le plateau de lienz.
- Ski alpin: le domaine de Barège/la Mongie, une des grandes stations des Pyrénées, au potentiel hors-piste très intéressant.
- Ski free ride: depuis peu, le téléphérique de la Mongie est ouvert aux skieurs non accompagnés d’un pro. C’est le « La Grave » des Pyrénées. A découvrir !!
Quelles autres randos :
Départ identique à ce que nous avons fait (Payolle):
- Ski de randonnée au col du Pourteillou à Gèdres
- Tour au Crêtes de la Mourelle
- Ski de randonnée au Pic de Madamète
Pour une classique agréable qui sera une alternative plus simple que le moins classique Pène d’Escalère.
Du bien plus raide !
Un jolie sommet et des pentes soutenues.
Et tant d’autres choses ! Utiliser le mode recherche de skitour et cocher : « Mont perdu/Gavarnie/Bigorre »
L’été vous serez surement tenter de découvrir les plus belles randonnées des hautes-pyrénées
Bibliographie :
- « Les plus belles descentes des Hautes Pyrénées : free rando, ski de rando et pentes raides » par Sylvio Egea, édition ski rando magazine. Un bien bon topo (d’où est issue la sortie de cet article), au format intermédiaire entre beau livre et topo plus classique. Il complète à merveille les topos de Frédéric Cabot (cf ci-dessous) en proposant des sorties moins classiques mais certainement pas moins belles. Que c’est plaisant d’avoir une telle matière, avec ça les Pyrénées s’ouvrent à vous.
- « Ski de randonnée dans les Hautes Pyrénées vol 2 » par Frédéric Cabot : un très bon topo qui, avec le volume 1, illustre et informe à merveille sur les nombreuses possibilités de l’ouest du massif pyrénéens. Informations nombreuses, se rapprochant du contenu des topos neiges, illustrations photos, etc… Très complet.
Ce que nous avons fait :
Pène d’escalère, 2634 m (un peu à l’est du pic de Montfaucon) : 2.3, 1500 d+ environ depuis Payolle (en fin de saison, possibilité de réduire à 1200 m d+ en partant des cabanes de Camoudiet).
C’est un beau « couloir » avec une pente assez soutenue sur les 300 derniers mètres. Orienté nord-ouest, dans un vallon assez froid, il conserve donc bien la poudreuse. Cela fait une sortie assez longue (de la longueur au départ) mais qui toutefois offre un beau voyage. Une belle ambiance, à faire.
1 journée de ski à Payolle dans les Hautes Pyrénées
Besoin d’air :
Voilà 10 jours que nous sommes retournés dans nos familles respectives : ou plus exactement où nous naviguons d’un foyer à l’autre au grès des occasions, des dates symboliques, des allées et venues des uns et des autres. Chaque soir à son occasion, son prétexte, sa motivation pour déboucher une bouteille, pour justifier ce bon repas, ces quelques heures à festoyer.
Les 5 sens sont aux aguets (et plus particulièrement le goût). Nous apprécions ces retrouvailles, ces bonnes cuisines, ces plaisirs faciles. Ensuite, l’exceptionnel devient banal et ainsi on se lasse. Trop plein de bonne chère, trop de temps attablés, trop monotone.
De plus, ces plaisirs se font corvées: le moindre créneau sera exploité pour aérer la tête et le corps, quitte à raccourcir les nuits. Cependant tout cela fatigue un peu et les réveils se font de plus en plus douloureux.
Par conséquent pour ce 31, nous avons envie de tout sauf d’un énième repas. Cela tombe bien car nous ne sommes pas les seuls.
A l’heure des poules :
C’est donc en comité pas si restreint que ça nous envisagerons ce 31. Les « victimes » des périodes de fêtes se rassemblent pour une thérapie de groupe : à savoir un repas programmé à 20h, et un coucher à 22h30 ! Le passage à la nouvelle année se fera dans nos songes.
Et le comble est que tout le monde appréciera d’autant plus cette soirée qu’elle sera courte. Et pour une fois, l’horaire sera tenu : 22h30 et ça ronfle déjà…
Diesel :
Le couché précoce ne nous empêchera pas de subir l’heure du réveil. On se doute bien qu’à cette heure-ci, certains se mettent à peine sous la couette, un peu éméchés. Nous, on démarre en douceur, en mettant un carburant non alcoolisé dans les réservoirs.
Le jour se lève à peine lorsque le moteur de titine se met à ronronner gentiment. Et l’on s’élance sur ces petites routes où chaque voiture croisée sera suspecte. En effet, il est plus probable de faire face à un conducteur alcoolisé qu’à un randonneur matinal.
1h30 plus tard, nous croisons les abords de la station de ski de fond de Payolle, bien calme encore…
De l’ombre à la lumière, de la lumière à l’ombre:
Le soleil a pris un peu de hauteur lorsque nous rejoignons la croupe qui fait notamment suite à cette belle forêt. De grands arbres dégarnis laissent apparaitre de belles pentes enneigées, à gauche comme à droite.
Cette croupe se poursuit et nous indique donc la voie à suivre. Les arbres disparaissent au fur et à mesure que nous avançons, et le champ de vison s’élargit. Nous longeons une belle corniche, comme la lèvre d’une vague, qui fait le lien entre l’ombre sur un versant et le soleil de l’autre.
Au loin, les contreforts nord de l’Arbizon s’imposent, de leur masse, de leur obscurité. Il est difficile d’imaginer qu’un cheminement va apparaitre dans ces entrailles. Et bientôt ça sera à notre tour de nous faire happer par cette obscurité.
Prise de distance :
Et vient le carrefour, la bifurcation et d’un côté de belles combes ombragées, mais déjà bien tracées, la classique du coin qui semble avoir de sacrés atouts.
Mais nous avons fait le choix de « l’exploration » (bien modestement) et de sortir des sentiers battus dirons-nous. Donc nous prendrons la direction opposée, ce vallon sombre et un peu austère, d’où aucune trace n’apparait.
Rapidement, nous nous retrouvons à tracer dans une neige profonde et froide, bien loin de la neige venté et dur des croupes, et traffolées des combes des classiques. Le silence est total, et l’atmosphère en total décalage avec la quiétude et la douceur de l’approche ensoleillée. L’effort se fait plus intense malgré une cadence qui ralentit, plaisir intense que cette impression de larguer les amarres et de se lancer dans cet univers vierge…
Trésors cachés :
Nous avançons au grès des combes et des croupes. A chaque fois la suite du cheminement ne se dévoile qu’au dernier moment, comme pour attiser la curiosité, éveiller le doute. Je voudrais voir la suite, les dernières pentes, l’assaut final. Je pousse encore un peu, encore un peu, en vain… Les filles ont disparu derrière, la pause devient indispensable !
Je prends donc mon mal en patience et puis après tout, elle ne me fera pas de mal cette pause.
Summit :
Enfin, la suite se dégage et pas l’ombre d’une trace, ancienne ou récente mais simplement un billard de poudreuse tassé, un boulevard qui nous est offert.
Un petit vallon débonnaire et une pente qui se redresse, soutenue. Puis le ciel se voile et le soleil finit par disparaitre. L’atmosphère change encore un peu plus. Nous, isolés du reste de la vallée, nous évoluons dans ce si grand jardin que nous ne partagerons pas aujourd’hui.
Nous nous faufilons au grès de reliefs, de zones abritées en zone abritées, entre 2 grandes pentes de neiges. Jusqu’à buter 50 m sous le col : le vent a largement dégarnis ses abords. Les skis resteront ici, nous poursuivons à 4 pattes dans cette pente qui hésite entre neige sans cohésion, glace, rochers branlants et terres gelées.
Les filles fatiguent derrière, cela fait déjà un petit moment que nous sommes partis. Ces derniers instants de concentration puiseront le peu d’énergie qu’il leur reste. Et donc il est temps de manger quelque chose de consistant.
Un mal pour un bien :
Après l’effort, le réconfort : après une longue pause régénérante, nous nous lançons avec plaisir dans ces pentes assez raides et bien enneigées. Dommage que la luminosité ne soit pas au rendez-vous !
Mais, cela reste excellent. Plusieurs centaines de mètres plus bas, sortis du vallon, la neige se dégradera au fur et à mesure, jusqu’à à nous déposer sur cette salutaire piste de ski de fond qui nous ramènera à la voiture.
Rassasiés d’effort et de plein air, nous irons ensuite nous réfugier dans un bar pour trinquer à la nouvelle année. Nous ne l’avions pas encore fait…
Conclusion sur notre journée de ski de randonnée à Campan Payolle :
Pour le coup, voilà l’illustration type de ce qu’un topo peut apporter. Il vous donne accès un des lieux où vous ne seriez jamais allé autrement. Mais sur la carte, ce col parait bien anodin, peut être sans intérêt. Et pourtant…
Voici donc un bien beau secteur à visiter si sauvage dès que l’on a quitté les pistes de ski de fond. Vous auriez tort de vous en priver.
Matériel utilisé pour notre journée de ski de randonnée à Campan Payolle:
Equipements utilisés sur la randonnée à ski de Campan Payolle
Catégorie | Modèle | Marque | Pourquoi avoir fait ce choix lors de l’achat | Ce choix a-t-il répondu aux besoins de la sortie | Si c’était à refaire |
Pantalon alpinisme/ski | K pro gore tex pant | Millet | coupe : que l’intérieur du pantalon soit collé à la cheville, pour que les crampons n’accroche pas en grimpant ou en marchant. Une ouverture totale sur le côté de chaque jambe : vraiment efficace en ski de rando. Une coupe adapté à mon gabarit (grand et fin) Poches idéalement placées (pas gênés par le baudrier) | Bien adapté. Un bémol tout de même : pas de renfort au fesses, alors que l’on est souvent amené, en ski, alpi, cascade etc à s’asseoir sur de la neige/glace/roche… | Malgré ce bémol, je ne regrette pas du tout mon achat, bien au contraire, d’autant plus que ma couturière préférée à pallier à ce défaut ! |
Tshirt | capilene 2 Lightweight | Patagonia | – confortable (élastane) – léger – sèche très vite | Bien adapté à ce trip ski de randonnée à campan Payolle | Malgré un prix assez élevé, il se fait vraiment oublier : un très bon compagnon pour les sports d’extérieur. |
Micro polaire | R1 | Patagonia | – apport de chaleur correct – très confortable (membrane souple, intérieur doux) – assez bien taillée, bien que le diamètre des manches soit un peu trop important, je flotte un peu (pour moi, mais je suis fin …) | Bien adaptée | Je la garde, sans aucun doute. En France, je l’utilise à toutes les sauces : salle, couenne grande voie, ski… Elle a sa place partout. J’ai payé un peu cher mais je ne regrette pas. |
T shirt laine mérinos | Mérinos 260 | Ice breaker | Très bon apport de chaleur – Léger, confortable, bien taillé pour les hommes fins : on l’oublie complètement, même en grimpant – 1 détail : l’encoche pour placer le pouce dans la manche => mine de rien, quand il fait frais, ça couvre un peu plus de surface et ferme franchement les écoutilles : efficace | Très bien adapté | Je le garde, sans aucun doute. En France, je l’utilise à toutes les sauces : salles, couenne grande voie, ski… Il a sa place partout. J’ai payé un peu cher mais je ne regrette pas. Le prix reste excessif tout de même… |
Doudoune | Down sweater sans manches | Patagonia | – bon apport de chaleur pour un poids et volume très correct – pas de gêne en actif, elle se fait complétement oublier. | Très bien adapté | Je la garde : j’ai fait ici un très bon achat, extrêmement polyvalent, je l’utilise à toutes les sauces : ski, alpinisme, escalade et tout simplement chez moi. Top. |
Veste | Soft shell en néo shell | Westcomb | Une veste qui m’a été prêté, je n’avais donc pas d’argument autre que la curiosité justifiant l’utilisation de cette veste. | Très bien adapté | Veste tout à fait intéressante, offrant une vrai protection. Le tissu vieillit t-il bien ? En terme de protection : très bien, j’ai grimpé avec dans de la glace saupoudré de neige, sur de la glace assez humide, et je ne me sentais pas humide.En terme de confort d’utilisation : pas de gêne dans le mouvement.Ce qui m’a semblé particulièrement important en termes de protection et confort est la coupe du produit : une bonne veste d’hiver est une veste « longue » ! Et c’est d’autant plus important lorsque l’on met le baudrier sur la veste, et que l’on ne veut pas que celle ci en sorte et recouvre tout le matériel du porte matos (ca m’est déjà arrivé avec une autre veste, et cela m’a franchement aidé à faire tomber une broche). Faites y attention ! |
Chaussettes | Patagonia | Bonne protection Ne bouge pas durant l’effort : pas de frottements. | Très bien adapté a cette sortie de ski de randonnée à campan Payolle | J’ai eu du mal à trouver une paire de chaussettes bien ajustée à mon pied fin : j’ai pris 2 tailles en dessous de ma pointure et le problème était réglé ! Prendre le temps de bien choisir (bien ajustées au pied et assez épaisses), c’est un élément fondamental en randonnée (à ski comme à pied) |
Matériel de ski de randonnée utilisé sur la journée à Campan Payolle
Catégorie | Modèle | Marque | Pourquoi avoir fait ce choix lors de l’achat | Ce choix a-t-il répondu aux besoins de la sortie | Si c’était à refaire |
Ski de randonnée | Ubac 174 | Zag | Le caractère très skiant Des côtes assez généreuses et une taille un peu plus importante que mon précèdent modèle Un poids raisonnable La synthèse du ski à tout faire : de la station à la rando. | Très bien adapté. | Excellent : un gain de stabilité remarquable, en poudre comme en neige traffolée. Un peu moins nerveux que mes aspect (car un peu plus lourd, en tout cas avec les fixations). Un excellent niveau de polyvalence. |
Fixation ski de randonnée | Radical ST | Dynafit | Du costaud dans la gamme tlt Stop skis | Bien adapté, mais un peu lourd par rapport à ce que l’on peut trouver sur le marché. | Je souhaitais une fixation fiable, avec stops skis (station oblige). Pour être franc, j’ai pris ce modèle car c’était celui qui était disponible en magasin et qui se rapprochait le plus de mes besoins. Mais je les trouve un peu lourd : certainement des fixations aussi performantes et plus lights chez des marque comme plum (ou autre…) |
Chaussure matrix | Maestrale RS | Scarpa | Bon maintien du pied pour les pieds fins (forme du chausson idéal et bonne qualité de la bouclerie) Performance en descente (rigidité +) Fiabilité : coque en pebax : ne se déforme pas avec le temps confort poids correct | Très bien adaptés | Je cherchais une chaussure de randonnée avec lesquels je puisse faire de la piste/hors piste sans problème : et c’est trouver. Le serrage vraiment efficace permet d’ajuster au plus près du pied, la rigidité est vraiment sécurisante. Et en randonnée, elles sont confortables, et le poids raisonnable les rend tout à fait polyvalente. Un bon achat. |
Bâtons | Rando SG 130 | skitrab | pour ne plus skier avec mes bâtons télescopiques, trop fragiles (un des 2 c’est plié sur une chute assez anodine) Pour en avoir des plus grands que mes anciens | Très bien adapté | Excellent choix. J’ai été très agréablement surpris par le gain d’efficacité avec ces bâtons plus long, à la montée : cela permet de vraiment pousser loin, le gain d’efficacité se ressent sensiblement (mes anciens bâtons faisait 125 au max, mais je ne les régler jamais au max, de peur que cela les fragilise avec un trop grand bras de levier). Et à la descente aussi, je suis un peu mon plié en 2 pour planter mon bâton. |
Peau de phoque | Ubac | ZAG | Coupe ajustée au millimètres, il faut être bien réveiller lorsque l’on colle les peaux ! Accroche avant et arrière | Très bien adaptées. | Je n’ai jamais été déçu. Le système d’accroche avant ET arrière est vraiment très important : sur un oubli ou une fausse manip, une peau qui ne colle plus trop tiendra correctement, grâce à la tension entre les 2 points d’attaches. |
Matériel de sécurité utilisé sur la journée de ski de rando à Campan Payolle
Arva | Evolution +(modèle 2005) | Nic impex | indice sonore et visuel simplicité | Très bien adapté. | Son principale défaut et que l’on a du mal à le décrocher du torse pour entamer une recherche arva si nécessaire : c’est quand même dommage ! Dans tous les cas, ce qui fait une bonne recherche arva c’est avant tout chose l’entrainement, et l’entrainement avec son arva pour créer ses automatismes. La simplicité est un atout prioritaire : ne pas avoir trop de signaux, d’informations à traiter lors de la recherche me semble indispensable. |
Pelle : la pelle norvégienne de mon père, du costaud (pas de marque). | Héritage familial | Je la garde car on me l’a donnée, mais elle n’est pas très adapté : bien trop lourde !! Par contre, suite aux différents échos que j’ai pu avoir, je ne prendrai pas la plus légère ou la moins chère : souvent la partie en contact avec la neige se casse si celle-ci est trop dure (ce qui est la cas pour une neige d’avalanche, très compacte !). | |||
Sonde | Nic impex | légère montage rapide | Ne pas oublier lors de vos entrainements arva de jouer le jeu de A à Z, c’est-à-dire de monter la sonde aussi : le montage est rapide, mais uniquement quand on a bien pris le coup de main ! | ||
Couteaux |
Accessoires vestimentaires utilisés sur la journée de ski de randonnée à Campan Payolle
Gants léger | Olan | Racer | confortable Bien ajustée | Très bien adaptés | Si c’était à refaire, j’essaierais de trouver le même type de gants mais version mitaine, pour une raison : manipuler l’appareil photo plus facilement (le sortir de sa poche, changer les modes de prises de vues etc.) |
Gants de ski | Kingston | Reusch | Chaleur confort | Très bien adaptés | Je prends les mêmes : des bons gros gants de ski. |
Masque de ski | Apache | Uvex | confort prix | Bien adaptée, mais la visière n’était pas parfaite pour ce temps couvert (visibilité médiocre) | Un masque assez classique avec un champ de vision correct et un confort honnête : je prends le même, car je ne demande pas beaucoup plus à un masque. |
Lunette de soleil | Spectron | Julbo | Bon maintient au visage (fin) Protection 4 | Trop sombre (temps couvert) | Ce serait à refaire, je me renseignerais sur les lunettes en verre photochromique : la protection 4 est évidemment une garantie lorsque l’on évolue sur la neige toute la journée, mais dans des situations où la luminosité est intermédiaire, c’est un peu trop sombre. |
Bonnet | High point | The north face | Protection au top confort | Très bien adapté à la journée de ski de randonnée à campan Payolle | Je prends le même! Un bon bonnet, c’est un bonnet qui protège TOUTE la tête, les oreilles y compris : c’est le seul bonnet qui est répondu à mes attentes jusqu’à maintenant, à savoir une protection efficace. Une référence à mes yeux. |
Accessoires utilisés sur la journée de ski de rando à Campan Payolle
Catégorie | Modèle | Marque | Pourquoi avoir fait ce choix lors de l’achat | Ce choix a-t-il répondu aux besoins de la sortie | Si c’était à refaire |
Thermos | 75 cl | La playa | bon maintien de la chaleur Volume bien adapté pour 2 personnes à la journée. | Très bien adapté à la journée de ski de randonnée à campan Payolle | Quoi de plus revigorant qu’un bon thé sucré ! pas convaincu ? allez donc au Maroc ! On le prend systématiquement en ski de randonnée : on s’hydrate, on se réchauffe, on apporte de l’énergie si c’est suffisamment sucré. Je ne vois pas l’intérêt de prendre un volume inférieur, cela fait vraiment peu. |
Couverture de survie | |||||
Carte IGN/boussole | |||||
Sac à dos | Stratus 24 | osprey | très confortable volume assez polyvalent (pour une utilisation au quotidien, randonnée à la journée etc…) Sac globalement bien pensé, avec ce qu’il faut de technicité (poches, rangements, sangles…) | Bien adaptée, mais il manque quelques litres ! C’est bien la seule chose qui lui manque. | Un sac à dos que je n’avais jamais utilisé auparavant pour des sorties ski de rando à la journée : bien m’en a pris d’essayer, c’est idéal. Le volume (24l) permet de mettre le matos nécessaire tout en gardant un sac très compact et léger, qui se fait complétement oublié. Le dos typique opsrey est très confortable, en épousant comme il le faut les courbures du notre dos, et permettant également une bonne ventilation (finis les grandes flaques de sueur dans le dos). Cette marque a vraiment apporté quelque chose de nouveau concernant ce type de produit. Néanmoins, quelques traces d’usure prématurée sur l’assise du sac, le tissu aurait dû être un peu renforcé à ce niveau-là. |